Discussion:Christophe Ono-dit-Biot

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En novembre 2007, Birmane reçoit le prix Interallié, que l’auteur dédie immédiatement au peuple birman. Christophe Ono-dit-Biot signe plusieurs tribunes à la une du Monde et de Libération, et se rend à l’Élysée avec une délégation d’écrivains dont Bernard-Henri Lévy, Pascal Bruckner, et André Glucksmann, pour demander au président de la République qui s’apprête à partir en Chine, d’intervenir auprès de Pékin en faveur des prisonniers politiques et notamment la plus célèbre d’entre eux, Aung San Suu Kyi, prix Nobel de la Paix.

Paragraphe un peu curieux : pourquoi envisager avec Pékin le sort d'une prisonnière (en fait assignée à résidence) birmane ? --François SUEUR (discuter) 14 septembre 2013 à 23:57 (CEST)[répondre]

Probablement parce que la Chine est un acteur majeur de l'Asie, et qu'elle a de bonnes relations avec la Birmanie. Cela s'appelle de la diplomatie.
L'assignation à résidence est une forme de privation de liberté, et donc d'emprisonnement...
--213.190.91.21 (discuter) 25 octobre 2013 à 10:23 (CEST)[répondre]