Discussion:Cloud computing

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Quelle est la différence entre les termes "GRID computing" et "Cloud Computing"

Je crois que la différence est que, dans le GRID computing, on est maître des ordinateurs qui partagent le calcul (on les achète, on les met en réseau, on les administre soi-même, etc.), alors que dans le cloud computing, on ne contrôle pas les ordinateurs. Le cloud computing ne fait intervenir que des utilisateurs anonymes qui prêtent du temps de calcul sur leur ordinateur. (SETI@home et autres projets du genre). Ceci dit, je ne suis que néophytes dans ces domaines. Daïn, the Dwarf causer ? 20 novembre 2009 à 14:00 (CET)[répondre]
Un article d'IBM (en anglais) explique les ressemblances et différences. Ce n'est pas si limpide, l'un étant l'évolution de l'autre et ajoute le passage à l'échelle quasi-instantanné--Jil Larner (d) 9 décembre 2009 à 11:46 (CET)[répondre]

Introduction[modifier le code]

Afternoon all,

Apologies for speaking English but my French is not yet at the level where I am ready to embarass myself by trying to write it! I wrote and monitor the English version of this article at http://en.wikipedia.org/wiki/Cloud_computing and I noticed that while a lot of this content is from there it is lagging behind somewhat (particularly with some recent additions about private clouds and economics). Hopefully I can work with a native French speaker (in English) to improve this article.

SamJohnston (d) 7 mars 2009 à 15:58 (CET)[répondre]

Hi Sam, If you are still looking for someone to work with you on the French version of this article, I am interested. I should be able to translate most of the article by myself, but might need some help from you on a few specific terms. I forgot to mention: I am French! Let me know if we can work on it together.

--Marine31 (d) 18 mars 2009 à 12:18 (CET)[répondre]

Bonjour, Je trouve la définition du cloud trop limité par rapport à ce qu'est réellement le cloud aujourd'hui Le cloud n'est plus un concept mais une réalité et on ne retrouve dans la définition que les concepts de ressources informatiques (seulement mémoire et cpu d'ailleurs) distribuées, partagées et accessibles/reliées via un réseau.

Ces concepts sont des plus vrais mais il manque, selon moi :

  • le coté à la demande du cloud (augmentation des capacités en fonction de la charge)
  • les ressources autres que le hardware, le cloud ce n'est pas uniquement la couche IAAS mais aussi les couches PAAS & SAAS
  • le paiement à l'utilisation des ressources
  • la formalisation sous formes de services de l'accès à ces ressources.

Je vous propose la définition suivante : "Ressources informatiques distribuées, disponibles à la demande et accessibles via Internet. Ces ressources sont proposées en tant que services que les utilisateurs paient à l’utilisation.»

--any45 (d) 27 décembre 2009 à 20:12 (CET)[répondre]

A propos du titre[modifier le code]

pourquoi relayer cette erreur sur la traduction du terme ? cloud computing = nuage informatique non pas informatique dans les nuages

Oui, je ne suis pas sur qu'il soit bon de traduire ce terme. D'ailleurs quel organisme officiel utilise ce nom? J'avoue avoir été très surpris de trouver l'article sous le titre d'informatique dans les nuages au lieu de cloud computing. J'ai d'ailleurs cru à une blague. Ne faudrait-il pas, au moins, donner une source à cette traduction pour que les autres personnes se posant la question de la validité du titre aient une réponse ? Cordialement. Axel.

J'ai ajouté à l'article une référence indiquant qu'informatique dans les nuages est l'expression proposée par l'Office québécois de la langue française pour traduire l'expression anglaise cloud computing. L'expression informatique dans les nuages semble assez bien acceptée, car j'ai trouvé avec Google 4 000 000 pages contenant cette expression exacte et seulement 12 000 pages affichant l'expression nuage informatique. Mig (d) 11 août 2009 à 01:40 (CEST)[répondre]
http://www.google.fr/search?hl=fr&client=firefox-a&rls=org.mozilla%3Afr%3Aofficial&hs=pqr&q=%22informatique+dans+les+nuages%22&btnG=Rechercher&meta= Me donne 25 100 réponses alors que http://www.google.fr/search?hl=fr&client=firefox-a&rls=org.mozilla%3Afr%3Aofficial&hs=tqr&q=%22cloud+computing%22&btnG=Rechercher&meta= m'en donne 18 000 000. Je parle de résultats uniquement en français. Après je comprends que l'on veuille franciser certains termes, mais là ça ne me parait pas pertinent. Wikipédia est en français, pas en français de France ni en français du Canada ou de Suisse ou de Belgique. Pourquoi un terme proposé uniquement par l'Office québécois de la langue française devrait faire référence alors que tout le reste de la francophonie utilise le terme anglophone Cloud Computing? Axel
Bonjour Axel, Je procède peut-être de façon incorrecte, mais j'obtiens 3 700 000 occurrences en restreignant la première recherche (le premier lien de ton message) aux pages francophones et 300 000 en restreignant la seconde recherche (le second lien de ton message) aux pages francophones. Cela n'indique-t-il pas que le terme informatique dans les nuages est plus utilisé que cloud computing en français? Mig (d) 11 août 2009 à 23:29 (CEST)[répondre]
En restreignant aux pages francophones je tombe à 24 700 pour "informatique dans les nuages" et 291 000 pour "cloud computing". Mais au-delà des résultats des requêtes Google, est-il pertinent de nommer un article d'après la proposition d'un seul et unique organisme de la langue française ? Pour des termes comme courriel qui sont, de mémoire, préconisé par plusieurs organismes, je comprend tout à fait le choix. Mais là, on est dans le cas où seul l'OQLF fait cette préconisation (revoir le GDT, mars 2010), je trouverai plus pertinent de nommer l'article d'après le terme d'usage et non d'après la préconisation faite par un seul organisme. Axel.
Bonjour Axel, Je crois que notre discussion démontre que le choix d’un titre d’article dans Wikipédia est un processus difficile. Je ne suis pas un intégriste de la langue et je ne tiens pas à imposer un terme proposé par l’Office québécois de la langue française. J’ai même, à l’occasion, utilisé des termes anglais lorsque je ne trouvais aucun terme français approprié. Par contre, je tente d’éviter les termes anglais lorsque des termes français existent. Étant donné la dominance du monde anglophone dans le domaine de la recherche et du développement des technologies et étant donné que les non-anglophones publient souvent les résultats de leurs recherches an anglais pour pouvoir communiquer avec leurs confrères du monde entier, les nouveaux termes (comme cloud computing) apparaissent souvent en anglais. Si nous ne faisons aucun effort pour traduire ces termes, dans quelques années les textes français seront truffés de mots anglais. Je ne crois pas que ce soit désirable. D’ailleurs, en regardant la section Autres langues de l’article Informatique dans les nuages (à la fin du texte après avoir cliqué sur l’onglet modifier), on peut voir que la plupart des langues utilisent un terme propre à leur langue.

Si on accepte le fait qu’il est préférable d’utiliser un terme français, il nous reste à choisir un terme parmi tous ceux qui sont utilisés ou proposés. Étant un adepte de la standardisation, je suis prêt à utiliser le terme proposé par l’organisme qui représente le plus grand nombre de personnes, ce qui serait probablement ici un organisme de France. Sais-tu s’il existe un organisme français, semblable à l’Office québécois de la langue française, qui propose des termes pour la francisation d’expressions anglaises comme cloud computing? L’Office québécois de la langue française fait dans ce domaine un très bon travail avec son grand dictionnaire terminologique, mais je cois que l’idéal serait d’utiliser les termes proposés par l’organisme représentant le plus grand nombre de personnes pour éviter la confusion.

Qu’en penses-tu? Mig (d) 14 août 2009 à 14:57 (CEST)[répondre]
Je ne pense pas que ce soit dramatique que d'avoir le titre actuel. Juste que même étant dans le milieu je n'avais jamais entendu cette expression. Or si je suis surpris, je pense que tous les lecteurs le seront. Je suis quelqu'un d'assez pragmatique et je me dis que l'important est le contenu de l'article et que le titre de l'article doit être le titre soit attendu, donc usuel, et si ce n'est pas l'usuel c'est qu'il y a une excellente raison. Mais je n'irai pas plus loin, je ne pense pas que le titre actuel soit le plus pertinent mais ce n'est pas bien grave. Bonne journée. Axel.
L'expression "dans les nuages" a une forte connotation négative en français, c'est pourquoi je propose (comme 44 700 pages sur Google, 27 août 2009) plutôt la traduction "Informatique dans le nuage". Je comprends qu'un nombre beaucoup plus important de références utilisent "informatique dans les nuages", et il est peut-être trop tard pour rectifier la traduction, mais je crois quand même que l'expression "informatique dans le nuage" est plus juste et non péjorative. En effet, l'origine de l'expression vient que l'on représente l'Internet par un nuage et non pas des nuages. J'ai fait aussi ma suggestion à l'OLF, même si je ne suis pas optimiste que ma suggestion sera rapidement considéré. Pour le moins, ne pourrait-on pas au moins mentionner en début de page les différentes traductions ou appellations possibles, les autres étant "nuage informatique" et "informatique en nuages". La question de la traduction est aussi discutée dans "Cloud manifesto". Ou encore, ne pourrait-on pas faire au moins une page d'homonymie? J'aimerai avoir des réactions avant de proposer formellement une modification. Martial Van Neste --Mvanneste (d) 27 août 2009 à 18:16 (CEST)[répondre]


Tout à fait d'accord, d'autant plus que la traduction exacte est informatique dans LE nuage. Quiconque a architecturé un tant soit peu de réseaux depuis 20 ans dessine souvent un (et un seul !) nuage représentant d'abord le réseau téléphonique (à l'époque...) mais ensuite internet. La notion de nuage provient exactement de ces innombrables schémas que nous avons gribouillés depuis 20 ans. Nous ne disions pas : that's the clouds, mais : this is the cloud. Pas de 's'... Informatique dans les nuages est monstrueux pour ma part. Et ne laisse en rien deviner l'origine.
Une traduction exacte n'est pas nécessairement un calque parfait de l'anglais, bien au contraire. La traduction la plus adaptée que j'ai rencontrée est «informatique dématérialisée», où dématérialiser s'entend au sens figuré, c'est-à-dire qu'on élimine toute référence au matériel, ce qui rejoint le concept d'illimité (stockage illimité, CPU illimité, etc.). Il y aussi «informatique nébuleuse» qui, pour sa défense, présente l'intérêt d'avoir un substantif et de pouvoir parler de nébuleuse plutôt que d'avoir à réutiliser constamment le terme complet. --Jil Larner (d) 9 décembre 2009 à 11:46 (CET)[répondre]
Pas mal de langues gardent aussi "cloud computing" tout de même.
Mais l'informatique dans le nuage me semble faux, je pense que cloud ici est un adjectif, l'informatique n'est pas dans le nuage mais utilisée de façon nuageuse.
Informatique nuageuse serait pas mal mais est un terme qui peut sembler négatif (nuageux = mauvais temps).
L'expression "traduttore, traditore" prend ici tout son sens, traduire littéralement est rarement une bonne chose.
Il aurait fallut trouver un terme qui renvoie au même sens peut être pas nuage.
Informatique nébuleuse ? (négatif aussi :)), Informatique brumeuse ?
Etant donné qu'apparemment tout le monde est plutôt d'accord sur le changement du titre, pourquoi ne pas y procéder ? Personnellement informatique en nuage me paraît la traduction la plus appropriée de cloud computing. Tizz (d) 19 juillet 2010 à 20:05 (CEST)[répondre]

"Si on accepte le fait qu’il est préférable d’utiliser un terme français," (Mig). Hmmm, voilà une supposition un peu rapide. Non, je n'accepte pas ce fait. Il me semble que cloud computing est plus employé dans les pays francophones. Voire aussi Wikipédia:Sondage/Conventions sur les titres et anglicismes : Le consensus penche pour le terme le plus usité par le milieu professionnel, quelque soit la langue du terme. Daïn, the Dwarf causer ? 20 novembre 2009 à 13:11 (CET)[répondre]

Le titre est en effet très déconcertant. Quelques recherches sur Google m'ont donné le terme "informatique en nuages" (~722 000 résultats sur google), qui me semble nettement plus adapté que "informatique dans les nuages" (~415 000 résultats) ou "informatique dans le nuage" (~24 000 résultats). Par ailleurs, étant doctorant en informatique, je peux assurer n'avoir jamais croisé aucun de ces termes : le terme utilisé dans la communauté est toujours "cloud computing". Utilisateur: Arenthis 20 novembre 2009 à 13:31 (CET)[répondre]

Pour Je suis partisan de privilégier le terme informatique en nuage ou informatique en nuages, ce terme est plus approprié, plus élégant et commence à être de plus en plus utilisé, par exemple: lemagit , le monde-diplomatique , reseaux-telecom -- Speculos [Discuter] 27 avril 2010 à 16:36 (CEST)[répondre]

Franchement Informatique dans les nuages, ca fait pas très sérieux !!! Ca a un côté "Ile aux enfants" ou Bisounours... Ecoutons les pros : Intel parle d'informatique virtuelle pour évoquer le concept et de nébuleuses pour désigner son application objective. [1] Informatique virtualisée ou informatique nébuleuse pourrait aussi convenir. On parle bien de machine virtuelle pour désigner un émulateur. Quant à la définition, elle devrait spécifiquement mentionner la virtualisation des réseaux, ce qui me parait le plus gros bénéfice de cette (r)évolution. Wdek (d) 12 mai 2010 à 12:01 (CEST)[répondre]

En français nous avons su proposer des équivalents aux termes anglais, qui sont passés dans le langage courant : informatique, logiciel, domotique,... Pour le cloud computing, pourquoi ne pas suivre la même logique, en proposant "nubétique", du latin nubes=nuage (voir http://www.punsola.fr/Nubetique.htm) --79.81.249.78 (d) 27 novembre 2011 à 11:33 (CET)[répondre]
Tout simplement : ici on ne propose pas, on décrit objectivement les usages déjà en cours. JackPotte ($) 27 novembre 2011 à 11:43 (CET)[répondre]

Proposition : informatique floue[modifier le code]

Il y a la logique floue, alors pourquoi ne parlerait-on pas ici d'informatique floue, expression qui rendrait bien compte de l'imprécision du concept (pas de maîtrise des données) ?Pautard (d) 23 octobre 2009 à 21:38 (CEST)[répondre]

flou, voire même… nébuleux ? Oyp (d) 18 novembre 2009 à 10:52 (CET)[répondre]

Et pourquoi pas "informatique en essaim" (qui pourait être abrégé en "informatique S1") ? Un nuage, c'est pas très réactif, voire un peu nébuleux... Un essaim d'abeilles ou d'étourneaux, ça a une certaine cohérence. --Jean-François Clet (d) 18 janvier 2011 à 19:29 (CET)[répondre]

Le petit nouveau du jour : infonuagique[modifier le code]

Faites comme vous voulez, moi, j'en ai marre. 0yP· 20 mars 2010 à 08:44 (CET)[répondre]

Renommage en Cloud computing[modifier le code]

L'article vient d'être renommé et je suis d'accord avec ce renommage, wikipédia doit restituer l'usage dominant et ne pas servir de tribune pour promouvoir des néologismes peu utilisés. –Akeron (d) 20 juillet 2010 à 13:52 (CEST)[répondre]

Mais que dire des néologismes lorsqu'ils sont prescrits par un organisme (OLF, Académie)? 70.83.220.148 (d) 13 septembre 2010 à 08:41 (CEST)[répondre]

Cloud computing est du jargon. L'usage courant est cloud. En bon français cloud computing c'est informatique en nuage. Un article encyclopédique rédigé en français ne suit en général pas l'usage de jargon en langue étrangère mais le transcrit en termes de la langue de rédaction (le français donc). Ce n'est que dans le corps de l'article qu'elle précise que c'est un néologisme d'emprunt à une autre langue. Wikipédia n'est pas non plus là pour promouvoir le déclin d'une langue en faveur d'une autre.--Overkilled [discuter] 7 octobre 2020 à 14:11 (CEST)[répondre]

Que de néologismes ![modifier le code]

J'apporte ma pierre à la discussion sur la traduction de "Cloud Computing". Je suis tombé aujourd'hui sur l'article du monde d'aujourd'hui qui utilise "informatique dématérialisée" dans son titre, expression qui en plus d'être longue semble être un non-sens. "Infonuagique" et "informatique en nuage" sonnent certes un peu mieux. Pour ceux qui tiennent absolument à remplacer l'angliscisme "Cloud computing", j'opterais pour un tout autre néologisme, NÉPHORMATIQUE (du grec nephos, nuage), qui présente l'avantage d'être plus court, en un seul mot et plus agréable syntaxiquement.

--Hywsh (d) 20 octobre 2010 à 20:37 (CEST)[répondre]

C'est gentil mais on se doit de retranscrire objectivement les termes employés par l'usage :
  1. 308 000 Cloud Computing
  2. 178 000 informatique en nuage
  3. 922 Infonuagique
  4. 0 NÉPHORMATIQUE
JackPotte ($) 23 octobre 2010 à 17:58 (CEST)[répondre]
+1 Faire du Cloud computing, c'est maintenant d'usage courant et en français, je dirais plutôt faire de l'informatique en nuage et non pas faire du nuage informatique...--Karima Rafes (d) 30 juillet 2012 à 17:06 (CEST)[répondre]


L'argument par Google est nul et non avenu. Google n'est pas neutre. La recherche est biaisée par le fait qu'elle valorise la paresse des professionnels de l'informatique : utiliser tel quel l'expression en langue américaine plutôt que son équivalent en langue française.
J'ai connu un temps où calculateur l'emportait sur ordinateur dans la traduction de computer. Si IBM n'avait pas promu ordinateur nous dirions computeur peut-être. Nous avons informatique en place de computing science et non science du calcul.
Franchement cloud computing c'est en français avant tout de l'argument marketing. Ca n'a donc rien d'un usage courant à l'ensemble de la population francophone mais juste un jargon d'informatique et de marquetique.--Overkilled [discuter] 7 octobre 2020 à 14:23 (CEST)[répondre]

Informatique en nuage, vous êtes sérieux ?[modifier le code]

INFORMATIQUE EN NUAGE : De la part d'un informaticien qui oeuvre dans ce domaine depuis plus de vingt ans, je n'ai franchement pas l'impression comprendre ! C'est quand même grave je pense, non ?

En nuage ? C'est joli mais ça ne veut rien dire ça. Rappelons à tous que "Cloud Computing" provient de schémas tout simples et trois mille fois dessinés par chacun de nous dans lequel un nuage (un seul) représentait le monde extérieur par rapport au réseau local. Ce nuage était représentait le réseau téléphonique publique à la base (PTN) puis internet.

Informatique dans le nuage - ou cloud computing - signifie qu'on a *déplacé* les traitements dans CE petit nuage !

Rien à voir avec Cyrano !

Informatique en nuage me semble une traduction si approximative et si déconcertante que je ne lui donnerais pas un sur vingt. Si on veut que les vieux comprennent ce qu'ils ont contribué à mettre en route, INFORMATIQUE DANS *LE* NUAGE me semble infiniment mieux.

À mois bien sûr que l'esthétisme ne soit en français supérieures aux fins ?

Je ne suis pas sûr qu'un non-informaticien n'ayant jamais gribouillé un schéma montrant LE nuage puisse s'amuser à donner son avis d'esthète sur ce point. Parler de nuage est sympathique, mais perdre le sens premier des mots est un peu criminel quant à moi.

Je vais remplacer INFORMATIQUE EN NUAGE, qui ne veut rien dire, par INFORMATIQUE DANS LE NUAGE, qui parle à tous les vieux de la vieille.

A ceci près que l'expression consacrée, en langue française, est bien "informatique en nuage". Je comprends très bien ton point de vue, mais l'usage l'emporte souvent sur la logique (une simple recherche sur Google donne malheureusement raison à l'usage... Émoticône)
Cordialement,
Anierin [service de presse] 18 mars 2011 à 22:32 (CET)[répondre]
Je travaille en traduction et en rédaction technique pour des clients commerciaux. Tous ces termes sont utilisés (cloud computing, infonuagique, informatique en nuage et même informatique dans le nuage). Chaque client semble avoir ses préférences; toutefois, dans le marché canadien, "cloud computing" est peu utilisé dans les publicités et dans les documents officiels en français. Mes clients internationaux semblent préféer "informatique en nuage" et parfois simplement "le nuage" (comme on dit "le Web"). Les clients canadiens utilisent "infonuagique" et "informatique en nuage" dans des proportions à peu près égales. 192.226.181.116 (discuter) 19 décembre 2013 à 16:33 (CET)[répondre]

infonuagique ? On se fout de qui ici ?[modifier le code]

Les fonctionnaires payés à trouver des parades à l'anglais, c'est très bien (bon, il s'agit de mes impôts quand même), mais faut pas charrier.

Personne, mais personne ! n'adoptera jamais infonuagique ! D'une part, c'est laid et d'autre part surtout, ça ne veut rien dire.

Ce mot finira dans la grosse poubelle des suggestions de l'Office de la langue française du Québec. Comme la plupart des mots qu'elle tente de promouvoir.

Cela dit, dans le gros n'importe quoi, il fallait quand même un fonctionnaire pour trouver infonuagique.

Avoir trouver ce mot vaut sans doute un salaire annuel de 123 000 CAD, et je suis fort aise de contribuer à ce salaire moi qui n'en gagne que la moitié pour réaliser des logiciels dans le nuage depuis 10 ans... Mais avouons-le tout de même, ce n'est pas sérieux une seule seconde. Si ce fonctionnaire pouvait gagner son dû chaque mois sans rien faire, je pense qu'on y gagnerait tous... D'autant plus qu'il ignore vraisemblablement l'informatique depuis au mois l'utérus...

Brefle, comme disait parfois cet élégant Allais, à moins d'avis contraire (je parle de l'avis de véritables informaticiens !), je vire cet épouvantable infonuagique.

Il n'y a pas de petites économies, mais simplement actuellement nous avons dépassé le stade de la suggestion : ce terme ayant été repris par l'usage, je le replace dans l'article. JackPotte ($) 19 mars 2011 à 10:03 (CET)[répondre]
Personne n'a honte de dire courriel ou clavardage, mots inventés par l'OQLF.
L'infonuagique fait son chemin au Québec. Je suis beaucoup d'émissions et de balados (autre mot inventé par l'OQLF) à saveur techno et ce terme est de plus en plus employé, ça ou alors simplement « nuage ». En anglais, la signification de Cloud Computing n'est pas plus obvious pour quelqu'un qui ne s'y connaît pas (on n'aura pas idée de mettre un ordinateur dans un actual nuage). Computing : informatique (encore un mot inventé propre au français!), cloud : nuage. Infonuagique est relevant et joli, toujours plus joli qu'un anglicisme, et fidèle au terme anglophone, donc ce n'est pas un mot inventé stupidement. La langue française ne s'en portera que mieux. Sinon, si vous avez quelque chose de mieux à proposer, moi je suis ouvert. -- Miacix le lionceau (d) 1 mai 2011 à 05:25 (CEST)[répondre]
Philogik (d) 30 juillet 2012 à 19:54 (CEST) En effet, les gens utilisent le mot le plus court. Sauf p-ê pour "oui-fi" (wifi) en France au lieu de «sans-fil». l'horreur![répondre]

Philogik (d) 30 juillet 2012 à 19:50 (CEST) Non, mais on peut bien s'en balancer ce que tu peux trouver beau ou laid. Ici, c'est une question de français. La convention est abrutissante. Il faut privilégier le français et la pratique changera. On l'a fait au Québec, la France doit faire un effort. À une époque, on ne parlait que de "Firewall". Maintenant, «Pare-feu» a été peu à peu imposer. Et crois moi j'ai entendu bien de gens dire que c'était laid. Si vous n'avez pas le soucie de votre langue, alors c'est elle qui deviendra laide.[répondre]

Definition[modifier le code]

La définition en début d'article n'est pas top (très Merise à mon goût). J'ai fait une recherche rapide de documents en français :

« ressources informatiques distribuées sur internet et proposées sous la forme de services à de multiples utilisateurs[1] »

ou

« l’accès à la demande, via le réseau Internet (ou Intranet) à des ressources informatiques virtualisées, mutualisées et partagées avec d’autres utilisateurs, simple d’utilisation, et payé à l’usage via un abonnement.[2] »

  1. http://www.cri.ensmp.fr/classement/doc/These_Annexes_E_Boucher.pdf
  2. CLOUD COMPUTING Définitions & Concepts, Enquête et Analyse des Tendances par le CRIP

Des suggestions ? --Anneyh (d) 19 avril 2011 à 21:24 (CEST)[répondre]

Cloud computing[modifier le code]

« Bien que l'anglicisme Cloud computing soit largement utilisé en français ». Vous tenez ça d'où ? Même dans la presse spécialisée on parle de « nuage ». Bientôt tout le monde devra savoir parler anglais pour comprendre l'informatique ? Ce type d'entrée devrait être interdit sur Wikipédia... 92.155.104.15 (d) 26 juin 2011 à 02:47 (CEST)[répondre]

Ce débat a déjà eu lieu ci-dessus, actuellement nous avons en français :
  1. 2 500 000 cloud computing
  2. 663 000 informatique en nuage
  3. 36 100 infonuagique.
Le titre actuel est donc le plus employé par l'usage, c'est donc le meilleur (voir Aide:Titre point 4). JackPotte ($) 27 juin 2011 à 21:42 (CEST)[répondre]
Google retenue comme Bible pour déterminer quel est l'usage est simplement ridicule de prétention et nul et non avenu compte tenu des biais propres à ce moteur de recherche. Google n'est pas une formule statistique publiée mais un algorithme privé couvert par le secret industriel !!!!--Overkilled [discuter] 7 octobre 2020 à 14:32 (CEST)[répondre]

Buzzword... mais bon va falloir s'y mettre...[modifier le code]

Avec une audience de 1213 par jour, il va falloir s'y mettre. Déjà, les références sont souvent des livres blancs qui sont souvent des pub-blications... Donc... si quelqu'un veut commencer à faire le ménage ? Je m'y collerai personnellement dans quelques mois quand le buzzword sera passé de mode.--Karima Rafes (d) 2 juillet 2012 à 12:08 (CEST)[répondre]

Cloud computing / Informatique en nuage[modifier le code]

Hi,

C'est très intéressant, en Anglais ou en Français bien d'accord que cela ne veut pas dire grand chose (cloud computing vs informatique en nuage), que ce soit de part et d'autres, ce terme est flou, et ne corresponds pas à la représentation réelle du système, sans même le désigner, on a le même problème dès qu'on tente de franciser une expression à l'exemple de Bug vs Bogue (qui en Français est aussi utilisé pour définir l'enveloppe qui recouvre la châtaigne)...

Pourquoi pas informatique dématérialisé ou encore informatique décentralisé...

Car si on devait schématiser c'est l'accès à des données depuis un terminal vers un (data center) centre de données, on pourrait alors en déduire que cloud computing pourrait se traduire en Français par ...

Cordialement, Mimmo D.DN 21 Août 2012 à 13:57


Cloud computing un néologisme qui bug

La tendance générale reprends régulièrement le terme francisé, data-center pour centre de données, cloud computing pour informatique décentralisée ou dématérialisée, arguments, car il s'agit du traitement et du stockage de données décentralisées accessibles par internet sur des serveurs centralisés.

... arf!

Librement. D.DN

Question de méthode[modifier le code]

En lisant cet article deux questions en matière de neutralité :

- vos sources renvoient essentiellement vers des promoteurs du Cloud : est-ce neutre ? - selon quel critère avez-vous établi la liste WP des "fournisseurs" de solutions ? Cet exercice paraît périlleux pour un projet de nature encyclopédique.

A vous lire

Xlaad


Tout à fait d'accord Xlaad...

La question de la neutralité des articles s'impose, ici et de manière générale pour l'ensemble de l'encyclopédie, il est effectivement délicat d'aborder un sujet librement en citant des sources ouvertement commerciales et n'apportant rien de plus au sujet traité.

Librement. D.DN

Quelles sont les solutions à ce genre de problème sur WP ?

Xlaad

Je ne sait pas ou en est l'auteur ?, mais un bandeau sollicite déjà des modifications à propos de ce contenu..., dans le cas contraire rectifier les contenus litigieux.
D.DN

Effectivement, l'article manque de neutralité.

Certains paragraphes sont à mon avis convenablement structurés et rédigés (les définitions, les catégories de Cloud Computing, l'historique).

Mais une bonne partie des sources et du texte correspond à un langage commercial. Certaines phrases sont délibérément orientées, et manquent d'objectivité : "En ce qui concerne le marché des services informatiques, le développement du cloud computing devrait entraîner la cannibalisation des acteurs traditionnels, en particulier ceux dont les clients sont des PME et des TPE. " Cela semble sortir tout droit d'un document de propagande. Ce n'est pas cela que les lecteurs attendent de Wikipedia.

Autre exemple, une phrase du type : "La majorité des infrastructures d'informatique dans le Nuage se compose des services fournis par la prochaine génération de centres de traitement des données qui reposent sur des technologies de virtualisation du calcul et du stockage. La généralisation des connexions Internet à haut débit permet d'optimiser les temps de réponse de l'infrastructure centralisée." vaut aussi pour les Centres de Traitement des grandes entreprises. Elles n'ont pas attendu le Cloud Computing pour cela.

L'article n'apporte pas assez de connaissances utiles au lecteur sur certains enjeux du Cloud Computing : le temps de réponse, la sécurité, la propriété des données.

L'article de la version anglaise de Wikipedia est nettement meilleur, et peut servir de modèle. Les schémas présentés sont également intéressants, ils manquent dans la version française. Le schéma Architecture des briques de construction du Cloud computing" est trop simpliste, il devrait présenter les briques qui se trouvent chez l'utilisateur (ou le le client) et les briques qui se trouvent dans le Cloud.

--PhFabre (d) 29 janvier 2013 à 18:06 (CET)[répondre]

illustration du cloud computing[modifier le code]

Aprės une série d'améliorations (qui ne sont pas terminées...), il faut reconnaître qu'une illustration par un exemple de cloud public serait utile pour les lecteurs non initiés.

Pourquoi pas iCloud ? c'est assez intuitif... Mais lié à un fournisseur !— Le message qui précède, non signé, a été déposé par PhFabre (discuter), le 5 février 2013 à 23:40 (CET)[répondre]

A propos du bandeau "Promotionne"[modifier le code]

Effectivement, ça ne sert à rien d'avoir toutes ces listes de sociétés..... Je les ai enlevées.

Le début de l'article est mieux, mais pas encore clair, même pour quelqu'un qui a des connaissances en informatique. Faut continuer à améliorer l'article.— Le message qui précède, non signé, a été déposé par Greg75 (discuter), le 7 février 2013 à 17:17 (CET)[répondre]

 C'est mieux.
  L'exemple d'iCloud est intéressant, mais il est pas assez détaillé, pour qu'on comprenne bien le fonctionnement. On ne voit pas bien le lien avec le lien avec les explications précédentes.
  Il faudrait expliquer mieux les notions de type et de modèles de Cloud Computing. Les schémas ne sont pas très intéressants. Le premier est couvert de fautes d'orthographe (platforme, processer). Entreposage est amusant. Qu'est-ce qu'on entrepose ? des clés USB, des disques durs ?
  Je continue à me documenter sur d'autres sources.--Greg75 (d) 9 février 2013 à 09:56 (CET)[répondre]

Décomposition du Cloud en métiers[modifier le code]

Bonjour,

J'ai consulté de nombreuses sources sur le Cloud est les définitions des différents métiers de "l'industrie du Cloud" ne me semblent pas claires. Pour l'instant, j'ai identifié trois couches de métiers qui semblent se superposer :

- l'opération de data centers - l'hébergement à valeur ajoutée - l'infogérance (de SI etc.)

A cela se rajoute l'édition de briques technologiques propres au Cloud, notamment en matière de virtualisation.

Je souhaiterais pouvoir affiner cette segmentation. Autrement dit, comment peut-on décomposer en briques métiers les différents composants (produits, services) nécessaires pour bâtir par exemple un cloud privé ?

Merci de votre aide.

--Xlaad (d) 11 février 2013 à 13:49 (CET)[répondre]

Bonjour Xlaad,

A mon avis (et je travaille dans le secteur de l'informatique depuis plus de vingt ans, j'ai donc le recul suffisant pour me rendre compte--PhFabre (d) 16 février 2013 à 16:00 (CET)), le cloud computing fait évoluer les métiers existants, sans les changer fondamentalement. A ma connaissance, il ne crée pas de métiers nouveaux ....[répondre]

Compte tenu des nombreuses améliorationa apportées pour adopter un ton neutre, supprimer les trop nombreuses références publicitaires (qui n'apportent rien au contenu encyclopédique), et retirer les phrases prospectives du genre "on va faire ceci ... ou cela", j'ai retiré le bandeau Promotionnel. A votre écoute pour en discuter. Je n'ai pas retiré de livre blanc à ce stade. Citer un ou deux livres blancs suffirait --PhFabre (d) 19 février 2013 à 14:45 (CET)[répondre]

Autres définition pour SaaS:

Le modèle SaaS se décline en offre de services fournis par un tiers qui se décompose généralement par la location de briques logiciel, dédié à la production, la bureautique, ...

à peu près, qu'en pensez vous...

Librement, Mimmo D.DN (d) 28 février 2013 à 18:01 (CET)[répondre]

Définition[modifier le code]

J'ai restauré la définition d'origine du cloud computing, qui était claire et concise. Cette définition issue du NIST convenait bien en tant que définition du terme dans le domaine informatique. D'autant qu'elle est dépourvue de termes polémiques (dissimuler, masquer ...), qui de surcroît ne correspondent pas à la réalité. --PhFabre (d) 29 mai 2013 à 14:00 (CEST)[répondre]

La défintion, telle qu'elle figurait dans l'article depuis deux semaines [2] est une synthèse de différents ouvrages centrés sur le sujet. Alors je ne comprends pas la raison de ce retour en arrière vers une intro basée exclusivement sur la définition du NIST. La dissimulation de l'organisation interne d'un nuage est une caractéristique souvent citée dans les sources. En quoi la définition ne corresponds-elle pas à la réalité ? et quelle réalité ? selon quelles sources ? --Silex6 (d) 29 mai 2013 à 14:10 (CEST)[répondre]

Je vois que vous suivez de très près les modifications sur la page, et c'est une raison de plus pour vous répondre. La définition du Cloud Computing donnée par le NIST est claire. La définition proposée en remplacement ne me semble pas aussi claire. Par exemple, y inclure "la dissimulation de l'organisation interne d'un nuage" n'apporte rien. Lorsque des utilisateurs utilisent une application informatique usuelle qui n'est pas hébergée dans le cloud, ils n'ont pas la connaissance des détails de l'architecture applicative. Actuellement, j'utilise Wikipedia sans connaitre les détails. Réciproquement, dans le cloud privé, on peut savoir dans quel centre de traitement informatique une application est hébergée, quelles sont les ressources allouées. Effectivement, on retrouve ces propos dans les livres blancs des fournisseurs de cloud, et certains ouvrages de promotion du cloud. On en arrivera peut-être là aussi dans Wikipedia (c'était le cas jusqu'à fin 2012).--PhFabre (d) 29 mai 2013 à 14:43 (CEST) Pourquoi ne pas en rester à une définition simple ?[répondre]

La définition du NIST est limpide, mais relativement succinte et pas représentative de toutes les différentes définitions données par les sources. Si vous prenez le temps de regarder les sources qui ont été utilisées dans le texte précédent, vous constaterez qu'il ne sont en rien des livres blanc écrit par des fournisseurs, mais des ouvrages destinés aux professionnels et aux entreprises. Et la dissimulation est une caractéristique clé pour les entreprises, dont la plupart ont leur propre infrastructure IT gérée par leur personnel. Soit dit en passant, utiliser Wikipédia est du cloud computing, l'application MediaWiki étant mise à disposition des contributeurs en SaaS.--Silex6 (d) 29 mai 2013 à 14:54 (CEST)[répondre]

Concernant votre dernière remarque. Oui, on peut considérer que Wikipedia fonctionne suivant le modèle de Cloud Computing, pourquoi pas ? On pourrait le mettre en tant qu'exemple de l'une des formes de cloud computing : c'est un logiciel gratuit mis à disposition en Saas. En tant que contributeur à Wikipedia, je cherche à contribuer à un article neutre et de qualité. Vous remplacez la définition en place par une autre, qui a ses qualités et ses défauts... C'est pour cela que j'ai remis la définition originale. Cela ne veut en aucun dire que vous ayez tort, ni que vos modifications n'aient pas lieu d'être. Ce qui me gênerait en revanche, c'est que l'article redeviennent une concaténation de messages promotionnels, commme il l'était auparavant (par exemple, avec les longues listes de fournisseurs, de services de cloud computing) . Parce que dans ce cas, j'essaierai d'y remédier dans le cadre des règles en vigueur dans l'encyclopédie. Cordialement. --PhFabre (d) 29 mai 2013 à 15:43 (CEST)[répondre]

L'historique de l'article indique que la définition a été complètement changée le 17 avril 2013 [3]. La définition placée à cette date est à mon avis trop restrictive (ne parle que du stockage de données). J'ai donc refait une synthèse de la définition sur la base de sources centrées (des livres au sujet du cloud computing) le 17 mai 2013 [4]. Je repose la question, qu'est-ce qui pose problème dans la définition telle qu'elle était depuis deux semaines ? Vous me parlez de spéculations du mal que pourrait devenir cet article sans prendre position sur le texte tel qu'il était avant vos modifications.--Silex6 (d) 29 mai 2013 à 16:41 (CEST)[répondre]
Je suis plutôt du même avis que Silex6 et en accord avec la version de l'introduction qui met mieux en avant la différence entre le "Cloud" (qui masque l'organisation interne du nuage) et l'informatique traditionnelle, plutôt qu'avec la définition un peu "vieillotte" du NIST. Un compromis peut effectivement être de citer les 2 définitions. Cordialement, Abaca (d) 30 mai 2013 à 23:32 (CEST)[répondre]
Mon est avis est que la définition du NIST est purement technique, et ne tient pas compte des aspects économique. Ce qui est réducteur pour un sujet qui est une opportunité de faire du commerce (d'ou le soutient massif des grandes entreprises). J'ai modifié l'intro de l'article, fusionné la synthèse des sources avec la définition du NIST.--Silex6 (d) 31 mai 2013 à 14:47 (CEST)[répondre]

La définition actuelle est un compromis convenable. --PhFabre (d) 24 juin 2013 à 13:02 (CEST)[répondre]

Inconvénients[modifier le code]

Energie[modifier le code]

Que pensez-vous de l'intégration du passage ci-dessous pour étoffer un peu cet inconvénient...:

l'ONG Greenpeace dénonce régulièrement les grands acteurs du cloud computing, depuis 2010 alors que la demande de décentralisation monte en flèche et que les volumes de données nécessitent toujours plus de matériel et d’énergie électrique, les principaux acteurs du secteur SSII et IT ne semblent pas converger vers une RSE efficace et pérenne de moindre impact pour l'environnement, malgré les avancés en matière de technologies, les (Datacenters) fermes de serveurs censés être à la pointe de l'innovation, ne font, en 2013, état d'aucune Efficacité Énergétique (PUE - Power Usage Effectiveness, CUE - Carbon Usage Effectiveness, WUE - Water Usage Effectiveness), pire encore, selon le rapport votre cloud est-il net de Greenpeace, certaines firmes ne font preuve d'aucune maturité en matière d'efficience et approvisionnent leurs centres de données en électricité fournie par des centrales à charbon...

90.21.99.17 (d) 11 juin 2013 à 12:21 (CEST)[répondre]

Bonjour. D'où provient cette affirmation ? existe-il des articles de presse à ce sujet ? Un rapport officiel et publié de Greenpeace ? Cet avis ne concerne pas directement le cloud computing, mais vise plutôt le manque d'efficacité énergétique des datacenters, dont le nombre a tendance à augmenter suite à la montée du cloud computing.--Silex6 (d) 11 juin 2013 à 13:09 (CEST)[répondre]
Désolé pour cette réponse tardive mais je me rends actuellement compte que les virus n'attaquent pas seulement les machines, les sueurs sont les mêmes les douleurs en moins...
Oui je suis entièrement d'accord avec toi, même si le sujet est directement liée au Cloud Computing il concerne plus particulièrement l'efficience énergétique des bigdatas. Quand au rapport je pense qu'il doit se référer à celui de http://www.greenpeace.org/international/Global/international/publications/climate/2012/iCoal/HowCleanisYourCloud.pdf (en) 90.21.220.221 (d) 15 juin 2013 à 20:09 (CEST)[répondre]
Bonjour. Je pense que ce texte ne serait pas vraiment à sa place dans cet article : en permettant la mise en commun (mutualisation) et un partage plus optimisé des ressources informatiques, le Cloud devrait plutôt contribuer à une diminution de l’énergie consommée (par rapport à des serveurs dédiés à tel ou tel usage qu'il remplace). Abaca (d) 15 juin 2013 à 20:43 (CEST)[répondre]
J'ai recopié la discussion ici.--Silex6 (d) 16 juin 2013 à 11:26 (CEST)[répondre]
C'est effectivement plus pertinent, Merci... Mimmo D.DN (d) 16 juin 2013 à 12:19 (CEST)[répondre]
C'est effectivement un point digne d'être mentionné. Toutefois, il faudrait préciser que ces études sur l'impact environnemental du cloud ne tient aucun compte des effets positifs induits par les services qu'ils permettent de mettre en oeuvre (moins de papier, moins d'encre, moins de transport et de déplacements, etc...). --Cth027 (discuter) 29 août 2019 à 20:07 (CEST)[répondre]

Energie (2021)[modifier le code]

La propagande de Greenpeace, dont la valeur scientifique de ses études est nulle, n'a pas sa place dans cette article. L'électricité est fournie l'ensemble des unités de production sur la grille électrique et non par la centrale "la plus proche". Le cloud n'induit pas d'augmentation de l'énergie, dans la mesure où il est plus efficient que l'addition des hébergements se faisant independent dans les datacenter de chaque entreprise, et ce par la mutualisation de l'infrastructure. Que la croissance du numérique aille plus vite que les économies d'énergie est un problème complètement distinct.
--Kwaencore (discuter) 16 février 2021 à 18:01 (CET)[répondre]
Malheureusement, toutes les sources sont d'accord sur ce point : l'effet initial qui aurait pu être attendu dans une situation naïve idéale (partage de capacités de stockage disponibles réparties) ne se retrouve pas dans les faits : cloud = création de datacenters distants + augmentation débridée des besoins et consommation de données, favorisé par le sentiment de capacités de stockage illimitées. Et l'accès à distance lui seul est aussi consommateur d'énergie. Voir cette synthèse récente du CNRS https://lejournal.cnrs.fr/articles/numerique-le-grand-gachis-energetique. --Pa2chant.bis (discuter) 18 février 2021 à 03:22 (CET)[répondre]
La source que vous citez ne mentionne pas le cloud mais l'explosion des usages numériques favorisés par e désintérêt sur les travaux d'optimisation. Vous faîtes encore la même confusion et aboutissez à dire que parce que le cloud consomme moins de ressource il consomme plus en libérant des usages qui n'auraient pu être envisagé sans cette optimisation.--Kwaencore (discuter) 19 février 2021 à 22:34 (CET)[répondre]
Nous n'avons pas lu la même source, alors. Et je ne comprends rien à ce que vous tentez de me faire dire. --Pa2chant.bis (discuter) 20 février 2021 à 20:16 (CET)[répondre]
L'affirmation « Si le cloud existe, c'est pour accéder à ses données en situation de mobilité » est fausse. Le cloud ne peut être réduit à la somme de quelques webservices grand public. Je migre des serveurs d'entreprise vers le cloud régulièrement, pourtant ses serveurs voués à des application interne à l'entreprise n'ont aucune vocation à être accédé par un utilisateur à distance et le mode d'accès à l'application n'est aucunement changé par le fait quelle soit hébébergée dans le datacenter de l'entreprise ou dans le cloud.
Je supprime à nouveau cette affirmation.--Kwaencore (discuter) 17 février 2021 à 17:58 (CET)[répondre]
Kwaencore : Le cloud ne se réduit pas à la mobilité, mais même dans le cas que vous décrivez (utilisateurs fixes dans leur entreprise), c'est bien un accès à des données stockées à distance dont il s'agit. Pire, la source que vous utilisez à l'appui de vos affirmations, outre que sa fiabilité pourrait être douteuse (billet de blog rédigé par un représentant des équipementiers) est complètement détournée de son sens. En gros, il dit le contraire de ce que vous écrivez :
Vous, dans l'article : « Il est à noter toutefois que la mutualisation des ressources qu'apporte l'hébergeur cloud, permet une réduction de la consommation énergétique et des achats matériels, par rapport à un hébergement indépendant par chacun des clients dans leurs propres datacenter »
Lui : Idées reçues 1/ Le cloud est vert car il peut réduire le nombre d'équipements
Ça dépend. D'une part, le serveur virtuel, aussi peu énergivore soit-il, repose bel et bien sur des infrastructures physiques. ::D'autre part, le taux d'utilisation du serveur physique associé n'est pas immédiatement à un niveau optimal…
On pourrait préférer des datacenters proposants des services de monitoring énergétique et une analyse des usages des ressources informatiques.
Je ping @Elnon qui a dû comme moi manquer vos interventions en PDD.
Enfin, la source que vous avez supprimée n'émane pas de Greenpeace, qui lui était beaucoup plus optimiste à l'origine [sites.google.com/site/lecloudcomputingtpe/i-le-cloud-une-technologie-au-fort-impact-environnemental/2-le-cloud-et-la-gestion-de-l-e (2011)], mais de GreenIt.fr. Le reproche qu'on pourrait faire au texte est ne pas donner le contexte (le livre ne traite que des applications grand public), mais cela ne justifie pas une suppression, ni le remplacement par votre avis personnel. --Pa2chant.bis (discuter) 18 février 2021 à 03:22 (CET)[répondre]
"Le cloud ne se réduit pas à la mobilité, mais même dans le cas que vous décrivez (utilisateurs fixes dans leur entreprise), c'est bien un accès à des données stockées à distance dont il s'agit". Absolument pas. Que les données soient dans le datacenter de l'entreprise ou dans le datacenter appartenant au prestataire cloud, le mode d'accès aux données ne change pas, et la donnée a toujours été à distance (personne de raisonnable ne possède un datacenter, et son backup, dans son bureau). En réseau la notion de "distance géographique" sur l'accès d'une donnée ne fait d'ailleurs aucun sens: La donnée n'est pas un cycliste. Et contrairement à ce qu'affirmait la source précédente, non, les serveurs ne communiquent pas entre eux en 4G. Les sources indiquées généralement publiées par des sociologues (exemple : la source 41 qui est complètement WTF : Michel Cartier, « Après le Cloud », 21siecle.quebec. ), philosophes ou des commerciaux (en gros tout sauf des informaticiens) font par ailleurs une confusion permanente sur la notion de cloud, n'y voyant que le frontend de quelques services web (office 365, google drive, etc) accessible depuis leur smartphone. Ce ne que la partie émergée de l'iceberg, bien plus que cela, invisible au grand public. De fait les sources confondent le cloud (qui est à l'origine le déport de l'infra du datacenter de l'entreprise vers un prestataire), avec l'explosion des échanges numériques en général, et même l'essor des réseaux mobiles (sans aucun lien avec le cloud). Il est vrai que le techniques de clouding ont permis de largement simplifier l'hébergement de données et déportant la charge du maintien de l'infrastructure et du socle logiciel de l'entreprise vers le prestataire et que la simplification de ces services, la réduction de leur coûts unitaire (et donc de leur impact environnemental) ont permis l'essor de ces derniers, accompagnant la croissance des échanges numériques (mais le besoin était déjà là à la place). Prétendre que le cloud accroit la consommation de ressource est équivalent à dire que les moteurs à essence qui consomment moins ont accru la consommation d'essence car cela à favorisé l'essor de véhicules plus lourds et plus puissant qui dans la somme du parc automobile (en croissance), le tout consomme plus. C'est juste faux : le moteur essence qui consomme moins ne consomme pas plus, il a par contre libéré des usages, faisant l'objet d'une attente forte, qui dans leur globalité ont accru la consommation globale du système. (Source : https://signal.eu.org/blog/2020/07/15/la-sobriete-numerique-oui-mais-pour-quoi-faire/ ) --Kwaencore (discuter) 18 février 2021 à 07:54 (CET)[répondre]
Hou là ! Le problème n'est tant ce que vous pensez, que ce qu'en disent les sources. Et le fait que vous détourniez une source pour imposer votre point de vue. --Pa2chant.bis (discuter) 18 février 2021 à 21:20 (CET)[répondre]
Et vous prenez la source qui vous arrange, venue d'un obscure blog ou bouquin, écrite par un sociologue ne comprenant rien à l'informatique, ni à l'énergie, lui même re-interprétant une partie inconnue d'un rapport on ne peut plus engagé, écrit par une personne qui ne maîtrise ni les questions d'informatique, ni les questions d'énergie, le tout dans un rapport obsolète (plus de 10 ans !). Quand une personne confond cloud et 4G ou cloud et accès sur une tablette, la crédibilité de cette source est juste nulle, elle ne sait absolument pas de quoi elle parle. Etonnamment si on ne demande pas à un informaticien de nous parler de sociologie, il faudrait que tout sociologue qui nous parle d'énergie et d'informatique soit crédible. Je vise tout spécialement la source n°41 : Michel Cartier, « Après le Cloud » [archive], 21siecle.quebec. et la source n°40 avec magnifique rapport de greenpeace qui prend le cloud comme exemple de l'accropissement numérique et finit par nous expliquer que la grille éléectrique n'existe pas, que les électrons viennent forcément de la centrale électrique la plus proche géographiquement --Kwaencore (discuter) 19 février 2021 à 22:12 (CET)[répondre]
J'arrête ici cette discussion qui n'apporte rien. Si vous souhaitez rajouter des mentions l'article, faites-le avec des sources qui le disent réellement. --Pa2chant.bis (discuter) 20 février 2021 à 20:16 (CET)[répondre]

Contrôle sur les données[modifier le code]

L'affirmation que « les entreprises n'ont plus de garanties (autres que contractuelles) de l'utilisation qui est faite de leurs données, puisqu'elles les confient à des tiers » doit être sourcée, et, de plus, nuancée. En effet, certains contrats peuvent prévoir des clauses d'audit qui permettent de faire procéder à des vérifications sur place. Par ailleurs, la garantie contractuelle est renforcée par des garanties légales avec le risque de lourdes amandes (RGPD). Enfin, pour cloud IaaS (ex: stockage), les données peuvent être encryptées à la volée en utilisant des clés de chiffrage inconnues du fournisseur cloud, ce qui les rend inaccessible pour lui.

Citations commerciales[modifier le code]

Google cité 8x, Amazon 7x, Microsoft 7x, IBM 4x, etc.

Perso, je trouve que ça fait... allez encore un petit effort...

La section proposé "Solutions / Alternatives" y est, manque plus que les références des différentes directions commerciales. MDDN

Le paragraphe en début de page serait plus digeste sans nommer l'armada d'entreprises qui se sont engouffrés dans les services cloud'ing... idem pour la section SaaS, STaaS, etc... Il me semble, mais alors inutile de citer une entreprise pour décrire un service, décrire une fonction... MDDN (discuter) 12 juin 2016 à 15:23 (CEST)[répondre]

Tout à fait d'accord avec vous sur ce point. J'ai retiré du RI l'interminable énumération des entreprises, je vous laisse procéder à l'indispensable élagage dans les rubriques SaaS, STaaS, etc. --Elnon (discuter) 12 juin 2016 à 20:35 (CEST)[répondre]

Affaire Edward Snowden / NSA > Impact sur le Cloud computing américain[modifier le code]

Août 2013 - PRISM pourrait faire perdre 35 milliards de dollars à l’industrie américaine

La Fondation pour les technologies de l’information et l’innovation (ITIF) publie une étude sur le coût de l’affaire Edward Snowden pour l’industrie américaine.

Selon ce document, l’impact serait lourd : les fournisseurs de services Cloud américains pourraient perdre entre 21,5 et 35 milliards de dollars de revenus à la suite des révélation de Snowden. Il s’agit évidemment de parts de marché perdues par manque de confiance des clients potentiels envers les offreurs américains, et qui préféreront désormais se tourner vers des fournisseurs sinon nationaux en tout cas pas américains.

http://magazine.qualys.fr/menaces-alertes/prism-pertes-industrie-americaine/

Août 2013 - Affaire Lavabit

Le gouvernement fédéral qui enquêtait sur plusieurs comptes utilisateurs de Lavabit, avait demandé « un accès sans entrave à toutes les communications des utilisateurs et une copie des clés de chiffrement utilisées pour sécuriser le trafic de la messagerie instantanée et du courrier électronique » transitant par les serveurs de Lavabit.

http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-lavabit-rouvre-brievement-aux-abonnes-pour-recuperer-leurs-donnees-55367.html

Octobre 2013 - Cybersécurité: des victimes collatérales de l'affaire Snowden

L'affaire Snowden a mis à mal le capital confiance dont bénéficiaient en Europe les entreprises américaines de sécurité informatique et d'hébergement de données, selon des experts réunis aux Assises de la sécurité de Monaco.

http://techno.lapresse.ca/nouvelles/internet/201310/02/01-4695508-cybersecurite-des-victimes-collaterales-de-laffaire-snowden.php

Octobre 2013 - NSA : les données du cloud de Google et Yahoo! interceptées

L'agence américaine y parvient en infiltrant certaines parties de l'infrastructure interne aux géants du Web : les liens entre les serveurs où ils stockent et organisent les données de leurs utilisateurs. Avec la coopération des services secrets britanniques, elle copie des flux de données qui passent à travers les câbles en fibre optique reliant ces serveurs entre eux.

http://www.lemonde.fr/technologies/article/2013/10/30/comment-la-nsa-infiltre-secretement-les-serveurs-de-google-et-yahoo_3505678_651865.html

Novembre 2013 - Le créateur de Wikipédia prédit des temps difficiles pour le cloud computing

Si la vie privée constitue probablement la première victime de l'espionnage électronique de masse mis en œuvre par les agences de renseignement occidentales, le développement du cloud computing sera peut-être la deuxième. Jimmy Wales, le fondateur de Wikipédia, prédit des temps difficiles pour les acteurs américains de ce secteur.

http://www.numerama.com/magazine/27452-le-createur-de-wikipedia-predit-des-temps-difficiles-pour-le-cloud-computing.html

=> Les nombreuses révélations d'Edward Snowden démontrent que les risques jugés purement théoriques en terme de sécurité informatique du Cloud Computing sont plutôt des risques avérés. Ces informations ne semblent par reprises à l'heure actuelle dans cet article. LectriceDuSoir (discuter) 8 novembre 2013 à 16:12 (CET)[répondre]

Vulgarisation[modifier le code]

-Ce serait bien de rendre l'article un peu plus accessible, une introduction sans terme techniques,qui explique grosso modo le principe... Parceque là, à la lecture de l'article, ah ouai cloud ceci,cloud cela, je suis dedans !! 400%! aérien!dematerialisé... mais j ai rien compris, sinon que c'est un argument commercial, et que apparament ca se vend bien ..

-Enfin ce que j en comprend c'est que ce mot ne veut pas dire grand chose,sinon rien, et qu au mieux ce sont des servers mutualisés, automatisés,et adaptatifs en fonction des besoins, bref souples  ! ... donc rien de bien revolutionnaire.. la suite logique du devellopement de l informatique...

Mis a part la petite image du début,qui n'eclaire pas du tout sur qu est ce que le "Cloud"... bref,mis a part cette vignette,l article est a peu près incompréhensible pour le quidam moyen.... de la à parler de mystification a visée commerciale... il n'y a qu'un pas,que je franchis. Est ce que ceci a vraiment du sens, sur une encyclopedie grand public? je cite:

"Le cloud computing est un basculement de tendance : un passage de la production maison d'aptitudes par l'acquisition de matériel et de logiciel, vers l'utilisation d'une aptitude qui est un service fourni par des tiers et mis à disposition via l'Interne"

Pour vendre des paquets de lessive, ou un truc de manager,ou un cour de novlangue economique "le cloud buisness d'apres demain..." ok, mais pour wikipedia = zero! C est dans l introduction "Principes" ce que je cite juste au dessus..., 3eme ligne... Cet article m apparait comme l oeuvre de commerciaux top niveau, mais bon, qu ils aillent vendre leur camelotte ailleurs, Cet article n explique rien, au contraire.. D ailleurs les deux seuls paragraphes clairs concerne le marché potentiel et la critique du Cloud qui est formulé ...

Je veux bien croire que c'est "plus compliqué que ca".. ceci,cela, mais ca doit pouvoir etre expliqué "en gros" sans rentrer dans les details techniques ,non?


Yes, Pour ma part je suis un peu dérouté par trop de vocable technique qui brouille le sujet, je crois aussi, et c'est déjà maintes fois répété, qu'il est nul besoin de donner des noms (marques ou références publicitaires induites) pour simplement décrire un service commercial mis à disposition par des opérateurs dans le but de louer des services informatiques à la demande.

Rendre le Cloud Accessible[modifier le code]

J'ai un peu bossé l'intro en prévision d'une fusion permettant de rendre le sujet plus accessible, le brouillon ci-dessous est sujet à modification propositions et approbations: MDDN (discuter) 7 janvier 2014 à 23:22 (CET)[répondre]


La première première fois que l'expression cloud computing fut employé ce fut par le professeur Ramnath Chellappa de l'Université du Texas à Austin en 1997, lorqu'il présenta un paradigme du système d'information, le cloud, présageant que les limites de l'informatique ne seraient pas définies par ses limites techniques mais par ses ressources économiques.

Cloud en anglais fait référence aux nuages cela vient du fait qu'Internet et l'interconnexion des réseaux sont représentés par des shémas sous forme de nuages.

Le concept du cloud computing fut popularisé lorsqu'il fit son entrée dans l’édition anglaise de Wikipédia en mars 2007.

La communauté francophone n'a pas encore lexicalisé un terme équivalent, laissant libre court à des termes génériques pouvant désigner ce concept tel que informatique en nuage parfois même dans les nuages, informatique à la demande ou informatique dématérialisé.

Le cloud computing désigne des ressources informatiques externalisés uniquement accessibles et disponibles via Internet, le champ d'application de l'informatique dématérialisé se décline en offres de services à la demande à destination du public, des entreprises ou encore des institutions.

Son mode de fonctionnement se base sur la demande de services, ces services sont mis à disposition de manière virtuelle par les prestataires, c'est à dire que les contenus ne s'exécutent pas sur son propre terminal PC, tablettes, smartphones, mais sur un centre de données spécifiquement dédié à cette tâche, pour accéder aux contenus qui sont totalement géré et administré par le fournisseur de service il est indispensable de disposer d'un terminal d'une connexion à Internet et d'un abonnement au service loué chez le prestataire de service.


Bonjour, le texte tel qu'il est écrit ci-dessus ne respecte pas les conventions de style de Wikipédia: l'intro doit commencer par une définition du sujet, relever la popularité du sujet, et être un résumé de ce qui est déja écrit dans le reste de l'article.--Silex6 (discuter) 8 janvier 2014 à 22:58 (CET)[répondre]

Schématiser le concept du cloud computing[modifier le code]

Bonjour,

J'avais besoin de créer un schéma simple pour illustrer le principe du cloud computing destiné à un public débutant,

visible sur Commons Schéma-Cloud-Computing

Serait-elle utile ici. MDDN 8 février 2014 à 18:06 (CET)[répondre]

En français ce serait mieux, avec des hyperliens ce serait top. JackPotte ($) 10 février 2014 à 00:00 (CET)[répondre]
Franciser encore oui tout à fait, mais pour les liens j'aimerais comprendre... MDDN
La même illustration mais en mode francisé...MDDN

Grandes entreprises[modifier le code]

"Les grandes entreprises du secteur informatique telles que IBM, Microsoft, Google, Dell et Oracle, Apple, Hewlett-Packard ou Orange Business Services font une large promotion du cloud computing5 qui constitue un important changement de paradigme des systèmes informatiques, longtemps constitués de serveurs situés au sein même de l'entreprise."

Tranquille, on oublie Amazon qui est juste le leader dans le domaine, et Salesforce qui base son modèle sur le cloud computing

Titre de l'article[modifier le code]

Bonjour. A votre avis quel devrait être le titre de cet article ? Cloud computing ? informatique en nuage ? autre ? --Silex6 (discuter) 26 avril 2015 à 00:05 (CEST)[répondre]

Bonjour, Le sujet du titre de cet article a déjà été débattu plusieurs fois dans cette PdD, par exemple en 2011/2012 : Discussion:Cloud computing#Cloud computing. Je partage l'avis majoritaire qui s'était dégagé : Conserver "Cloud computing" par cohérence avec Wikipédia:Conventions sur les titres : « Si plusieurs titres sont possibles, le plus commun devrait être utilisé, par application du principe de moindre surprise ». Abaca (discuter) 26 avril 2015 à 00:41 (CEST)[répondre]

Cloud computing répété (seulement) 76 fois[modifier le code]

Je lis que cloud computing est l'expression la plus courante en français. Pourtant ce n'est pas du français, c'est de l'anglais ou plus exactement du jargon prétentieux et opaque comme une bonne partie de la page (voir la liste Data / Desktop / Network / Storage, Communication / Workpiece as a service). --Elnon (discuter) 22 novembre 2016 à 08:07 (CET)[répondre]

Il n'y a rien d'étonnant à ce que le sujet de l'article soit mentionné plusieurs fois. Le terme est un emprunt de l'anglais, comme « week-end » et bien d'autres. La terminologie informatique utilise de nombreux termes issus de l'anglais, c'est ainsi, la musique classique utilisera plutôt des italianismes comme « soprano », les anglophones utilisent des termes français dans la danse classique et la cuisine, etc. Si les emprunts courants d'une autre langue te dérangent personnellement à ce point, tu ferais mieux d'éviter certains domaines, ce n'est pas à nous de refaire la terminologie. –Akéron (d) 22 novembre 2016 à 10:39 (CET)[répondre]
Bonjour Akeron. À ta liste on peut ajouter le vocabulaire de l'escrime, avec le fameux « touché! »... Je connais, depuis mes premiers temps dans Wikipédia, la position que tu défends. Je ne cherche pas à m'y opposer puisqu'elle est celle de la maison. De plus, étant bilingue et ayant enseigné l'anglais technique pendant une partie de ma carrière, je ne suis pas de ceux qui sursautent à la vue d'un mot anglais en français. Cependant, dans la mesure où dans le cas présent l'équivalent français existe et se trouve employé dans des livres et des journaux, il n'y a pas de raison à ce qu'il soit cantonné au RI et exclus du corps de l'article : un peu de variété terminologique n'a jamais fait de mal au style d'un article encyclopédique (ou autre d'ailleurs), et au lecteur. C'est dans cette optique que se situait mon intervention en page de discussion. Akéron, it has been a pleasure, keep up the good fight. --Elnon (discuter) 22 novembre 2016 à 12:59 (CET)[répondre]
J'ai justement entendu ce « touché! » (au sens figuré) deux fois hier dans une série américaine, ça vient donc de l'escrime. Pour le Cloud computing, il y a plusieurs termes alternatifs proposés, essentiellement des calques, mais ce n'est pas à nous de forcer leur emploi. Pour moi ils ne sont pas exclus de l'article, c'est simplement le choix des rédacteurs, si tu rédiges un paragraphe avec un calque je ne pense pas qu'on t'en empêchera, après certains préfèrent harmoniser l'ensemble par cohérence ou pour respecter le principe de moindre surprise. Ce qui me dérange surtout c'est de chercher à faire du « parachutage » de termes pour les favoriser, cela va parfois jusqu'à remplacer toutes les occurrences. –Akéron (d) 22 novembre 2016 à 15:23 (CET)[répondre]
Il est vrai que la tentation de remplacer toutes les occurrences d'un vocable anglais peut être grande chez certains contributeurs, mais là on tombe dans le militantisme et l'excès. Il faut sans doute trouver un équilibre, un modus vivendi entre le foisonnement incontrôlé de l'emprunt à l'anglais américain et le rejet systématique des équivalents proposés en français. Il ne faut pas oublier que la fréquence d'emploi de l'emprunt peut varier en fonction du niveau de langue : le professeur d'informatique va dire le cloud computing devant ses étudiants en BTS pour paraître dans le coup, l'auteur d'un ouvrage sur la technique chez un éditeur hésitera moins à employer le néologisme « l'infonuagique ». --Elnon (discuter) 23 novembre 2016 à 08:56 (CET)[répondre]
Ce n'est pas à nous d'imposer certains termes lorsqu'ils sont équivalents, laisser le choix au rédacteur est la solution la plus naturelle. Quelques recherches concrètes [5] [6] montrent que les ouvrages spécialisés utilisent plutôt « cloud computing » que « infonuagique ». –Akéron (d) 23 novembre 2016 à 12:59 (CET)[répondre]
Cela est indéniable encore qu'il faille distinguer les ouvrages spécialisés d'origine québécoise où les néologismes français sont employés avec moins de réticence (voir, au passage, cette nouvelle traduction, « médiation infonuagique », que j'ignorais, mais signe de la grande vitalité et inventivité de la néologie québécoise). --Elnon (discuter) 24 novembre 2016 à 12:58 (CET)[répondre]
C'est même plus ou moins une obligation légale dans cette province particulière, ils ont interdit les panneaux avec « stop » pendant 15 ans, on peut poursuivre une enseigne qui utilise « import » [7], d'un autre coté ils utilisent beaucoup d'anglicismes sémantiques [8]. –Akéron (d) 24 novembre 2016 à 14:34 (CET)[répondre]
Merci de m'avoir indiqué ces deux très instructifs blog(ue)s que j'ignorais et que je vais lire à tête reposée. Outre les anglicismes sémantiques, il y a aussi certaines tournures de phrases qui fleurent la syntaxe anglaise (ainsi que j'ai pu constater personnellement dans les années 1990 auprès d'un groupe de jeunes québécois venus faire un stage en France). Cependant, quelques dérives regrettables n'ôtent rien à la qualité et l'efficacité de la défense par les Canadiens francophones de leur patrimoine linguistique et des activités économiques qui y sont liées (traduction, interprétariat, doublage, français langue étrangère, lexicologie, édition, ingénierie linguistique, etc.), mais c'est un autre sujet et une autre histoire. --Elnon (discuter) 25 novembre 2016 à 10:32 (CET)[répondre]

Liens externes modifiés[modifier le code]

Bonjour aux contributeurs,

Je viens de modifier 1 lien(s) externe(s) sur Cloud computing. Prenez le temps de vérifier ma modification. Si vous avez des questions, ou que vous voulez que le bot ignore le lien ou la page complète, lisez cette FaQ pour de plus amples informations. J'ai fait les changements suivants :

SVP, lisez la FaQ pour connaître les erreurs corrigées par le bot.

Cordialement.—InternetArchiveBot (Rapportez une erreur) 23 juillet 2018 à 15:36 (CEST)[répondre]

Bonjour, Est ce que je peux modifier quelques définitions dans cet article?--Emna.c (discuter) 11 décembre 2018 à 15:03 (CET)[répondre]

Notification Emna.c : C'est possible, à condition d'indiquer des sources fiables, et d'éviter de modifier ce qui est déjà sourcé. -- Speculos 11 décembre 2018 à 15:15 (CET)[répondre]

Services iSaaS - iPaaS[modifier le code]

Concernant les cloud services, ces terme iSaaS (intelligent software as a service), iPaaS (integration platforms as a service) sont-ils suffisamment usités pour faire leur entrée dans la section des Services cloud ? MDDN (bla ?) 19 mai 2019 à 19:15 (CEST)[répondre]

Discussion transférée depuis Wikipédia:Pages à fusionner
Bonjour,

Les deux articles se marchent sur les pieds. Je pense que le premier devrait être fusionné dans le second, plus développé et dont le nom correspond plus au sujet Ywats0ns (discuter) 25 août 2020 à 17:01 (CEST)[répondre]

Architecture distribuée est un concept général, déjà très ancien. Informatique ubiquitaire est le concept plus philosophique, bien que le vocabulaire soit tombé (provisoirement?) en désuétude. Cloud décentralisé est un sous-cas particulier (quoique maintenant mis en oeuvre par les acteurs importants comme Amazon, Akamai, Microsoft, Google, etc, etc) où les serveurs sont virtualisés en Cloud computing avec une géographie de datacenters. Mais le problème est que le contenu actuel de l'article (écrit par un Newbie) est à revoir intégralement, avec des sources de synthèse suffisamment génériques. --Xav [talk-talk] 25 août 2020 à 17:34 (CEST)[répondre]
Dans le cas de l'utilisation du terme [[cloud décentralisé]] pour désigner la virtualisation de serveurs, ça aurait sa place dans une section de cloud computing ou d'architecture distribuée il me semble. Pourquoi pas une fusion de l'article actuel, et l'ajout de ces infos en section d'un des deux articles ? Ywats0ns (discuter) 25 août 2020 à 22:12 (CEST)[répondre]
En effet, Architecture distribuée est beaucoup plus vaste que le Cloud computing ou le Cloud décentralisé qui ne sont que quelques modèles très spécialisés de distribution parmi beaucoup d'autres. Une fusion de ces deux articles ne semble dès lors pas souhaitable. Par-contre, une fusion avec Cloud computing aurait beaucoup plus de sens: ces sujets sont beaucoup plus liés, et il serait facile d'y déplacer Cloud décentralisé comme une section sous la rubrique "3.Services", ou sous une nouvelle rubrique "Variantes et concepts voisins" qui serait insérée avant la rubrique "11.Bibliographie". --Cth027 (discuter) 6 septembre 2020 à 19:00 (CEST)[répondre]
Effectivement, ce pourrait être une bonne solution intermédiaire Ywats0ns (discuter) 6 septembre 2020 à 19:14 (CEST)[répondre]
Si cela convient à tout le monde j'effectue la fusion d'ici 2-3 jours Ywats0ns (discuter) 28 septembre 2020 à 14:15 (CEST)[répondre]
✔️ Fusion effectuée Ywats0ns (discuter) 5 octobre 2020 à 18:27 (CEST)[répondre]

Proposition de cloture du débat "informatique nuagique/infonuagique/en nuage" vs "Cloud/Cloud computing"[modifier le code]

Je constate que des débats ont déjà fait rage par le passé il y a plus de 10 ans sur cette même page de discussion.

De l'eau à couler sous les ponts depuis, notamment avec le développement et la démocratisation du cloud dans notre monde quotidien.

Constat[modifier le code]

Travaillant moi-même depuis plusieurs année dans cette industrie, mon constat est le suivant:

PERSONNE n'utilise le mot "'informatique en nuage'", ni même "informatique nuagique" et encore moins "infonuagique".

Je n'ai jamais entendu ces 3 termes de la bouche de quelqu'un, y compris d'un québécois.

J'ai dû le lire 2x fois en rigolant dans ma vie, et encore, ça devait être sur cette même page Wikipedia, c'est pour dire.


A ceux qui bossent dans cette industrie ou dans l'IT de manière générale, combien de fois durant les 10 dernières années avez-vous entendu, lu et dit un des 3 termes cités ci-dessus, honnêtement ?

Tendances[modifier le code]

Pour étayer mon constat, je vais me baser sur Google Trends, qui indique les tendances des mots tapés tapé dans le moteur de recherche Google, car il reflète les recherches et expressions les plus couramment utilisés dans notre langue. Je me base bien évidement uniquement sur les résultats français de Google France.


Résultat disponibles en live ici avec un graphique et historique.

  • Informatique en nuage: 13 100 000 résultats
  • Informatique nuagique: 10 300 résultats
  • Infonuagique 336 000 résultats

Total: 13 446 300 résultats


  • Cloud computing 599 000 000 résultats
  • Cloud 2 140 000 000 résultats

Total: 2 739 000 000 résultats

On calcule un pourcentage de différence : 0.49%

Faits[modifier le code]

En définitive, les termes "cloud" et "cloud computing" sont 200x fois plus utilisé en France en 2021, que les termes "informatique en nuage", "informatique nuagique" et "infonuagique" combiné.

Et le pire, leur utilisation devrait être en hausse du fait de la démocratisation du cloud. Ce n'est pas le cas. Leur maigre utilisation est constante voir en régression.

Est-ce que vous jugez encore utile d'employer réellement ces termes désuets qui sont, de toute évidences, quasi inutilisé et incompris de la très grosse majorité des français ?


Allez dans la rue et demandez à n'importe quel Français le mot Cloud. Au moins 1/2 sera capable de vous dire que c'est quelque chose en rapport avec l'informatique ou internet. Demandez-leur ensuite "infonuagique" et 99,9% n'auront aucune idée de quoi vous parlez.

Ces termes sont beaucoup trop longs pour être utilisé couramment. Cloud c'est bref, concis et surtout : tout le monde le comprend et l'assimile.


Le constat est encore plus criant en Espagne avec leur computación en la nube et en Allemagne avec leur Datenwolke.

Le mot Cloud a traversé toutes les barrières de la langue pour s'imposer à l'unanimité dans le monde globalisé d'aujourd’hui, n'en déplaise aux puristes de la langue française.


Une définition française a été donné pour "franciser" la chose, certes, mais dans l'absolu, à quoi sert de mettre en avant une expression "francisé" que personne n'utilise et n'entendra dans sa vie ?

Cela ne fait qu'apporter de la confusion pour les lecteurs et les néophytes.


Le fait est que, et je suis bien désolé de l'annoncer aux 2 ou 3 franco-franchouillard puristes francophiles qui mènent un combat acharné contre les anglicismes, personne n'utilise et n'utilisera le mot informatique en nuage, ni même informatique nuagique et encore moins infonuagique.

C'est un combat futile et perdu d'avance, alors autant s'en débarrasser pour de bon par esprit de clarté.

Il faut vraiment arrêter avec cette francisation poussée à l’extrême de vouloir absolument traduire, parfois môt à môt et de manière ridicule comme "Nuagique", tous les mots étrangers qui passent dans notre langage courant.

Proposition[modifier le code]

Je propose donc, de clore définitivement ce débat et de garder peut-être juste "informatique en nuage" dans un coin (qui est le termes plus utilisé des termes inutilisé)

Cordialement,

-Tangogow (discuter) 16 février 2021 à 17:55 (CET)[répondre]

Oui, dans le coin en haut à gauche, c'est-à-dire dans le RI, à la place où il est actuellement. --Pa2chant.bis (discuter) 16 février 2021 à 18:02 (CET)[répondre]
D'accord également pour garder les équivalents dans le RI. --Elnon (discuter) 18 février 2021 à 10:55 (CET)[répondre]
Pour garder le RI actuel qui indique bien qu’« infonuagique » est seulement utilisé au Canada.
C’est l’usage depuis longtemps sur Wikipédia d’indiquer les termes recommandés par les autorités linguistiques dans le résumé introductif. — Thibaut (discuter) 18 février 2021 à 10:59 (CET)[répondre]
Je ne sais pas si on peut considérer que ce terme soit vraiment réellement utilisé au Canada (parti anglophone comprise), puisque le mot cloud est 680x fois plus utilisé que « infonuagique ». Je comprends néanmoins le point de vue à vouloir documenter les recommandations officielles et les versions traduites, soit. Dans ce cas-là, ne pas changer le RI puisqu'il est déjà très bien en l’état.
Par contre il y 26 occurrences avec le mot "nuage" qu'il faudrait conformiser avec le reste de l'article par soucis de clarté. On constate très bien que la section Principes a été rédigé par une personne différente que la sous-section juste en dessous sur le Cloud décentralisé, du fait que l'utilisation des mots cloud et nuage sont alternés.
Selon moi, il faudrait même se séparer complètement du mot "nuage" dans toutes les articles IT puisque ce n'est plus une réalité (et ne l'a jamais vraiment été pour être honnête). Sur tous les sites en français de fournisseur de cloud (AWS, GCP, Azure, DigitalOcean…), et même fournisseur français comme OVH, le mot cloud est en moyenne 300 à 500x fois plus utilisé en prenant compte que le mot nuage était bien utilisé dans le sens cloud, et d'ailleurs de manière assez anecdotique, le mot nuage est utilisé 1 fois sur 2 pour simplement faire la traduction mot à mot de "cloud". --Tangogow (discuter) 18 février 2021 à 18:31 (CET)[répondre]
La langue de l'encyclopédie n'a pas à se conformer au sabir commercial mâtiné de claoude des fournisseurs français. Sur l'infonuagique, les sources seront de préférence des articles de revues et ouvrages de synthèse faits par des universitaires, des spécialistes sachant décrire et expliquer les choses simplement et clairement, sans jargonner. Et duckduckgo.com n'est pas une source. --Elnon (discuter) 21 février 2021 à 00:17 (CET)[répondre]

Description trop long[modifier le code]

Bonsoir, je trouve que la description de l’article en-dessous du titre est un peu trop long et je n’ai pas trouvé de description plus court. Et lorsque que je clique sur "Modifier la description de l’article", on voit que l’application indique qu’il a dépassé 90 caractères. Est ce quelqu’un à trouvé une description plus court ? 80.214.16.174 (discuter) 19 août 2022 à 18:42 (CEST)[répondre]