Discussion:Coupellation
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A réécrire complètement: la coupellation est pratiquée bien avant cette époque, en particulier pour l'extraction de l'argent contenu dans le plomb argentifère. cet article ne concerne qu'un cas précis, dans le contexte retreint de l'orfèvrerie vénitienne. Le Plume 28 juillet 2006 à 14:20 (CEST)
composition coupelle[modifier le code]
transféré de cette modif par l'IP82.232.144.204 à propos du procédé qui nécessite un creuset en phosphate de chaux, nommé coupelle. -- Titou (d) 20 février 2017 à 05:26 (CET)
il me semble que c'est totalement faux. La cendre d'os ou phosphate de calcium ne fonctionne pas. Après renseignement il semblerait qu'en vrai c'est de l'oxyde de magnésie.
Cela a été rectifié. Coupelle en magnésie. En cendre d'os, c'était encore au XIXème siècle...
- Avez-vous une source pour cela ? Trizek bla 18 avril 2017 à 19:35 (CEST)
Défauts de la méthode ?[modifier le code]
C'est comme critiquer la méthode de Gay-Lussac pour doser l'argent car un essayeur ou un analyste utilisant celle-ci, ont fait des erreurs de manipulation. C'est aussi très malhonnête de tourner les remarques de Gay-Lussac et autres chimistes métallurgistes en arguments contre cette méthode !
La coupellation est une méthode qui permet, si on respecte bien tous les points, de connaître avec précision la teneur en or dans un échantillon. D'ailleurs les pesées se font au 1/1000 de mg et les résultats sont donnés au 1/10 de millième, si pas au 1/100 de millième.
Confronté à l'AAS, elle reste toujours "gagnante".
- Ce qui est écrit dans l'article n'est pas sorti du chapeau, mais est une synthèse de sources disponibles, dûment citées. Avez-vous des sources qui attestent de vos propos ? Trizek bla 29 mars 2017 à 11:13 (CEST)
E. Bugnee : A texbook of fire Assaying - exemple de source[modifier le code]
Belgique, France, etc etc... Aujourd'hui encore, les laboratoires de leur Monnaie utilisent la coupellation - coupelles en magnésie vendues dans le commerce ! Donc rien de magique ! - pour déterminer la teneur en or dans un échantillon.
Vérifier un or fin se fait ainsi dans les laboratoires ayant reçu une autorisation du bureau national de garantie : l'échantillon est coupellé en présence de 4 témoins or également coupellés.
Autre source : Fulton & Sharwood : A manual of fire Assaying, 1929. Google l'a soigneusement scanné pour les universités américaines.
- Bonne nouvelle que cette source. Vous pouvez donc modifier l'article en y ajoutant les différents procédés de création des coupelles. Si une source liste certains procédés et une autre d'autres, toutes ont à figurer dans larticle. Trizek bla 19 avril 2017 à 14:11 (CEST)