Discussion:Dénomination de Dieu dans le judaïsme

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Est-il bien approprié dans des pages de Wikipedia, d'utiliser cette écriture pour écrire Dieu ?

On est bien dans Wikipedia qui se doit de ne pas avoir à suivre des règles autres que celles de Wikipedia, et l'interdiction d'écrire ou de dire Dieu dans les pages Wiki ne semble pas de mise, ce ne sont pas des pages hébraïques, elles sont à tout le monde. D'autant plus que certains Dieu sont bien écrits sans le point ce qui fait un manque de cohérence.

Jusqu'à quand faudra-t-il répéter que le Dieu des Juifs ne se nomme pas davantage Jéhovah que Yahveh, God, Gott, Dieu ou Mickey Mouse ? Qu'il possède une kyrielle de surnoms (...) parmi lesquels l'inouï kinouï "le Nom", et que la particularité dudit nom n'est pas d'être unique ni jaloux des autres, mais de ne pas se prononcer comme il s'écrit.
Stéphane Zagdanski De l'Antisémitisme, 2° éd., Climats, Flammarion, 2006, p. 223
pcc MLL 13 juin 2006 à 11:02 (CEST)[répondre]
Cet article a été proposé comme article de qualité mais a été rejeté car ne satisfaisait pas les critères de sélection dans sa version du 15 juillet 2006 (historique).
Si vous désirez reprendre l'article pour l'améliorer, vous trouverez les remarques que firent les wikipédiens dans la page de vote.

PoppyYou're welcome 15 juillet 2006 à 12:22 (CEST)[répondre]

Travail inédit ?[modifier le code]

L'introduction de Kamulewa, du 1er juin dernier, est intéressante, mais ne relève-t-elle pas plutôt de la page de discussion ? MLL (d) 3 septembre 2008 à 09:06 (CEST)[répondre]

Noms de Dieu ![modifier le code]

Parler de Noms de Dieu dans le judaïsme semble étrange pour deux raisons. La première est que le mot Dieu nous vient du grec θεός construit sur une racine θες d'origine indo-européenne qui signifie prier, mais prier à la manière idolâtre des polythéistes grecs ou indiens de l'antiquité. Le mot français Dieu vient du grec après un détour par la culture latine, elle aussi polythéiste, qui voyait en deus l'évocation du ciel lumineux dîvum avant que le monothéisme chrétien ne récupère au singulier ce mot latin et le dote d'une majuscule pour évoquer la Majesté de "l'être des êtres, la cause des causes, la Fin des fins" selon les mots de Etienne Vacherot. Le concept philosophique de Dieu pénètre alors l'Occident chrétien qui retrouve l'hellénisme de Platon et d'Aristote avant d'évoluer vers la "mort de Dieu" proférée par l'athée Frédéric Nietzsche.

La seconde raison vient du pluriel les Noms de Dieu. Au retour de l'Exil à Babylone, le judaïsme né au second Temple est farouchement respectueux du Nom ineffable d'une Transcendance telle que rien ni personne ne pourra jamais la nommer. Aussi les juifs évoquent-ils הַשֵׁם (haShem) Le Nom sans jamais prononcer ce qui est indicible. Il serait plus exact de parler de noms (au sens grammatical) donnés aux qualités propres à Celui qui, lorsque Moïse lui demanda "s'ils me disent: Quel est son nom? Que leur dirai-je?" énonça un verbe à la première personne du singulier אֶהְיֶה (ʾèhyèh) que Moïse transmettra au peuple d'Israël sous la forme d'un verbe à la troisième personne du singulier יהוה (YHWH) que le Grand-Prêtre ne pourra prononcer ensuite qu'une fois l'an, seul, dans le Saint des Saints du Temple pendant qu'à l'extérieur joue une fanfare assourdissante qui permet que personne n'entende la vocalisation du Mot Sacré.

Privé de noms propres, YHWH reçoit néanmoins de nombreuses métonymies permettant à Son peuple de le glorifier en utilisant des noms communs désignant ses attributs et ses éminentes qualités, car Il est Puissant (Elohim), Il est bon Juge (Adonaï), Il est Un et Unique (ʾèḥād). Afin de marquer leur respect, leur révérence, leur crainte envers YHWH les soferim, scribes des textes sacrés, marquent une pause avant de transcrire le verbe YHWH ou l'une des métonymies qui lui sont attribuées, et préfèrent utiliser une autre marque de révérence envers Lui lorsque noter le nom d'une de ses qualités n'est pas vraiment nécessaire.


Les multiplicité de noms utilisés par les juifs pour rapporter à YHWH métaphores, épithètes ou attributs marquant ses éminentes qualités ont souvent été source de dissension parmi les critiques bibliques, car certains, ceux qui avancent une hypothèse documentaire, pensent que cette variété est la trace soit d'un polythéisme originel antérieur aux Patriarches et aux Prophètes, soit de la variété des sources ayant servi à composer la Torah, tandis que pour d'autres, ces différentes appellations font référence aux différents rapports de YHWH avec l'homme, au contexte dans lequel on se réfère à Lui, aux différents aspects qu'on veut mettre en évidence (voir théologie négative dans la pensée juive).

La plupart des mots hébraïques qui glorifient YHWH sont aussi utilisés dans le christianisme Ad Maiorem Dei Gloriam.

Christianisme[modifier le code]

La dernière phrase de l'intro me surprend. L'article s'intitule Noms de Dieu '''dans le judaïsme'''. Je ne vois donc pas ce que le christianisme vient faire ici. Par ailleurs, le fait que La plupart des mots hébraïques qui glorifient YHWH sont aussi utilisés dans le christianisme resterait de toute façon à prouver, càd à sourcer. Enfin, la formule Ad Maiorem Dei Gloriam est spécifique aux Jésuites. Que viennent faire les Bons Pères dans cet article ? Je suggère donc de supprimer cette phrase. Que le reste soit un TI... euh, oui. Addacat (d) 3 septembre 2008 à 13:02 (CEST)[répondre]

Je rappelle que cet article sur un sujet délicat avait été mis au point par Inyan en juin 2006, à partir d'un original anglais. Il avait alors été proposé comme AdQ, mais j'avais trouvé cela prématuré. Depuis, je dois admettre que les modifications qui lui ont été apportées l'ont détérioré. Il me semble que le plus simple serait de repartir de la version du 15 juillet 2006. MLL (d) 3 septembre 2008 à 14:10 (CEST)[répondre]

El shaddaï[modifier le code]

J'ai la conviction que El Shaddaï signifie : Dieu suprême ou Dieu supérieur , Ce serai une traduction de ElAalyon , des phéniciens , Dieu qui est plus haut que le soleil , le Dieu des constellations , du Zodiaque , Dieu de l'Univers , dont le grand prêtre était Melekissedech (initié) roi de Aalem (univers en phénicien ) et non pas Salem . Tout ce qui a trait aux signes des temps dans la bible trouve son origine chez ElAalyoun et son grand prêtre le grand initié , cette personne morale perpétuelle , l'Esprit Saint des Ecritures --178.135.132.246 (d) 7 juin 2013 à 09:16 (CEST)Elias Bouez du Liban.[répondre]

Votre conviction n'a pas d'importance. Seule compte la qualité des sources que vous pouvez produire. MLL (d) 7 juin 2013 à 09:41 (CEST)[répondre]

Ehyeh Asher Ehyeh[modifier le code]

Il m'a semblé utile d'ajouter l'origine assyrienne sur base de la phrase en hébreu "אהיה אשר אהיה". Ce n'est pas la première phrase de l'Ancien Testament qui évoque clairement l'origine ou l'influence assyrienne de certains textes. -- luxorion

Je répète : ce qui vous semble utile n'a pas d'importance. Seule compte la qualité des sources que vous pouvez produire. MLL (discuter) 10 décembre 2016 à 11:29 (CET)[répondre]

Aÿ (II) est le douzième et avant-dernier pharaon de la XVIIIe dynastie (Nouvel Empire). Manéthon l’appelle Aî (II) (Acherres). On situe son règne aux alentours de -1327 à -1323.

On peut supposer qu'il a participé au déplacement vers Canaan des derniers adorateurs de Aton (Hébreux) , qui lui en sont restés reconnaissant. D'où l'appellation de "seigneur Aÿ" , qui se dit en hébreux AdonAÿ. 109.88.225.234 (discuter) 15 octobre 2023 à 10:09 (CEST)[répondre]