Discussion:Désir

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mythe d'Aristophane[modifier le code]

06.01.09 et 19.01.09 Bonjour. J'ai modifié l'expression "mythe d'Aristophane" en "mythe des Androgynes dans le Banquet de Platon". Aristophane est seulement représenté comme un convive du banquet, qui raconte ce mythe dans son discours, mais on est apparemment dans une fiction et je crois qu'il vaut mieux considérer que c'est un mythe de Platon...

Je pense qu'il faudrait référencer et p.ê vérifier la citation de La Rochefoucauld (guillemets ?) que je n'ai pas encore retrouvée.

La section "désir et être" est malheureusement écrite dans un français douteux et le sens (s'il y en a un) me paraît impossible à saisir.

Trois remarques : 1- Le mot désir appartient autant à la sphère philosophie que psychologie 2- Des commentaires à faire à propos du passage sur Epicure : l'étude précise du texte conduit à réfuter la thèse selon laquelle Epicure réduit le désir au besoin. Ce n'est donc pas une modification, mais l'ensemble du passage "besoin/désir", et également le plan d'ensemble, qui serait à refaire. Je propose un brouillon pour appuyer ce que je dis, qui est plus un commentaire qu'une proposition de texte. 3- Il serait bon, en matière de philosophie, de proposer plusieurs points de vue (A, B,C), pour un article important, plutôt que de tenter une synthèse qui ne satisfera personne, ou qui favorisera un camp contre un autre : car il n'y a pas de vérité officielle en philosophie. Ce qui compte est la pertinence et la cohérence. Apprendre aux lecteurs à comparer plusieurs approches, en les limitant à deux, trois ou quatre thèses.

Commentaire sur "désir et besoin, Épicure" :

Certains commentateurs affirment qu'Epicure réduit le désir au besoin. Pourtant, il écrit dans la Lettre à Ménécée : "parmi les désirs nécessaires, les uns sont nécessaires pour le bonheur, les autres pour la tranquillité du corps, les autres pour la vie même" (Trad. Hamelin). Or,nous avons défini plus haut le besoin comme ce qui concerne l'aspect biologique, animal, voire vital. A bien analyser cet extrait, nous voyons que selon Épicure il y a trois types de désirs naturels et nécessaires : ceux qui sont nécessaires pour la survie (les besoins vitaux, manger, dormir), les désirs nécessaires à la tranquillité du corps (un vêtement, un abri quand il fait froid) ; mais aussi, et surtout, les désirs nécessaires au bonheur. Qu'est-ce qui est nécessaire au bonheur ? Ces désirs viennent s'ajouter aux besoins vitaux et biologiques. Certains commentateurs, tel J. Salem, voient dans ceux-ci les relations humaines et l'amitié. Dès lors, nous ne pouvons plus affirmer qu'Épicure réduit le désir au besoin pris dans sa signification restrictive. De plus, les désirs non nécessaires comme le goût du raffinement et du plaisir esthétique, proprement humains, ne sont pas condammnés absolument : ils sont bons dès lors qu'ils apportent du plaisir sans avoir de conséquences nuisibles pour soi-même ou pour la relation à autrui (l'amitié). D'ailleurs, tout plaisir est bon en lui-même, quel qu'il soit ("le plaisir est toujours le bien"). C'est seulement lorsqu'ils entraînent des déplaisirs futurs qu'ils sont à éviter. Ainsi, le goût pour une nourriture raffinée ne doit pas devenir une habitude sinon il se créé une dépendance fâcheuse pour soi-même et pour le lien social, qu'on appelle un besoin artificiel. Mais si le sage peut profiter de temps en temps de ces raffinements, sans que cela créé une dépendance, ou qu'il sacrifie d'autres aspects de sa vie, ou que cela nuise au lien social (ces besoins coûtent cher, et nécessitent une richesse qui pourra se faire aux dépens des autres - vol, exploitation sociale), il ne pourra que s'en féliciter. Certes, Épicure insiste sur la frugalité. Mais il ne faut pas la confondre avec l'ascétisme, qui consiste à rechercher une pureté morale ou spirituelle par la privation. Il vise une frugalité heureuse et ne se limite que pour profiter d'un plaisir plus intense, comme celui qui boit de l'eau fraîche lorsqu'il a soif. Autrement dit, la frugalité joyeuse d'Épicure ne consiste pas à réduire le désir au besoin, mais consiste à construire une réflexion sur celui-ci, afin de bien distinguer entre désirs néfastes et désirs positifs. Le besoin, au sens strict où on l'entend en philosophie, concerne la part biologique. L'homme devra apprendre à maîtriser cette source de vie et d'activité qu'est le désir. Celui-ci, potentiellement infini et indéterminé, peut être à l'origine du meilleur comme du pire. C'est en cela que le désir est essentiellement humain : à faire, à construire.

Olivier Dumont

essai perso, ou article d'encyclo?[modifier le code]

Pour l'instant cet article est un essai personnel. Il n'y a aucune source. Pour un article de +4000 mots, c'est fort, non!? ;-) Denispir (d) 1 octobre 2011 à 22:37 (CEST)[répondre]

Je serais beaucoup plus sévère, l'article est à reprendre complètement, du moins ce qu'il est devenu depuis 2011 : c'est complètement décousu, souvent inintelligible quand ce n'est pas complètement gratuit "le désir est particulier et donc propre à chacun" et on trouve des contradictions patentes à l'intérieur d'un même paragraphe "le désir est une tendance devenue consciente" pour finir par "le désir n'est qu'inconscient". Le mieux serait modestement de faire une recension des différentes doctrines liées au désir en philosophie, en psychanalyse et en psychologie. --Henrique 22 juin 2016 à 19:35 (CEST)[répondre]
3 ans plus tard, et 8 ans après le premier message : je suis d'accord avec l'idée de faire table rase.--Feanor637 discuter le 13 avril 2019 à 17:50 (CEST)[répondre]

Section "En psychanalyse"[modifier le code]

Je suis bien entendu d'accord avec le recyclage nécessaire de l'article dans son ensemble. 1) J'ai travaillé seulement un peu dans la section "psychanalyse" en introduisant une 1e sous-section dûment sourcée intitulée "Le désir chez Freud" à titre de b a ba. 2) La désormais seconde sous-section est selon moi à supprimer car inutile en l'état. 3) La désormais 3e sous section est à remplacer par un contenu sourcé sur "Le désir chez Lacan", ce qui pourrait peut-être intéresser Jolek (d · c · b) plus connaisseur que moi en ce domaine: ? Ainsi, on commencerait du moins, d'y voir un peu plus clair sur la notion de "désir" en psychanalyse. Cordialement --Bruinek (discuter) 26 mai 2019 à 17:42 (CEST)[répondre]

Merci Émoticône Bruinek, tu as bien fait. Je verrai quand j'aurai un moment pour Lacan. N'hésite pas à me le rappeler si j'oublie. La section « Nature du désir » parle surtout de marketing, celle intitulée « En philosophie » ne compte aucune source tandis que « Le désir mimétique de René Girard » n'a qu'une source primaire Oh !. Qu'en fait-on ? — Jolek [discuter] 26 mai 2019 à 18:12 (CEST)[répondre]

Section "Le désir mimétique selon René Girard"[modifier le code]

@Jolek (supra) Section "René Girard": j'ai mis pour l'instant un commentaire dans l'historique [1]. Cdlt --Bruinek (discuter) 27 mai 2019 à 10:59 (CEST)[répondre]

Ancienne 1e section sur le marketing déplacée[modifier le code]

@Jolek (2, supra) j'ai déplacé [2] pour le moment cette section anciennement nommée "Nature du désir" (sic) sur le marketing en fin d'article dans "Divers" comme sous-section renommée: "Société de consommation et marketing": la pertinence de cette sous-section par ailleurs non sourcée est à discuter! Selon moi, on peut la supprimer(ainsi que "Divers" pour l'accueillir provisoirement) en l'état actuel de l'article à recycler. --Bruinek (discuter) 27 mai 2019 à 11:57 (CEST)[répondre]