Discussion:Dualité onde-corpuscule

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possible erreur ?[modifier le code]

Dans la section " Mise en évidence de la dualité", dans le paragraphe 5, il est question de "tirer" des micros billes à travers deux fentes et on prend ensuite la figure 3 comme illustration sur laquelle on ne voit apparaître qu'une seule fente. Si je comprend bien l'article, l'illustration en elle même n'est pas fausse mais "induit d'erreur" pour comprendre le paragraphe suivant où il est question de "tirer" les photons un à un de la même façon. En commençant le paragraphe 6, le lecteur attentif aura posé les yeux en derniers sur l'illustration 3 et remplacera en esprit les micros billes par des photons ne traversant qu'une seule fente. Ce qui rendra incompréhensible l'apparition d'interférences expliqué dans la suite de l'article.

Mais peut être bien que je n'ai rien compris non plus !

PS: Mes deux sous de complet néophyte sur le cylindre, le torrent et le cailloux : la métaphore du tourbillon me gène plus car elle semble bien fonctionner avec les photons qu'on imagine facilement en train de se propager et qui interagissent avec la "matière" pour terminer dans nos yeux ( courant cailloux tourbillon ) beaucoup moins avec le reste. Le coup du cylindre illustre bien à mes yeux l'idée que la "particule" soit une chose dans une dimension X dont on ne percevrait que certains aspects (différents par "nature") à travers notre perception/compréhension à X-Y dimension (Y tend vers plus l'infini)

Bon article qui me fait comprendre des choses !

Coyote Ugly

Mmmm.. En fait il y a deux fentes sur la figure 3 : comme dans la réalité, les fentes sont très rapprochées (il faut - malheureusement - zoomer pour le voir). Je n'avais pas réalisé cela, et merci de le rapporter. Je vais refaire l'image, de sorte que l'on voie les deux fentes sans zommer (même si c'est moins réaliste...). Cordialement --Jean-Christophe BENOIST 13 juillet 2007 à 09:28 (CEST)[répondre]

Désaccord de pertinence[modifier le code]

Personne n'a soulevé de désaccord de pertinence ici, mais une discussion sur une partie qui a été traduite en anglais a lieu sur la talk page.

Voila, vous êtes invité à donner votre avis sur la partie « Approche vulgarisée : métaphore des tourbillons dans l'eau », soit ici, soit — de préférence, puisque c'est là-bas que ça discute — sur la page en anglais.

(Perso, comme c'est moi qui l'ai rédigée, je suis bien sûr pour (-: )

Cdang | m'écrire 21 fev 2005 à 18:21 (CET)

Bof pour l'illustration, elle me paraît un peu longue pour ce qu'elle veut apporter. Il me semble que le but est de faire comprendre ceci :
On a un a système S qui se manifeste parfois comme A, parfois comme B alors que A et B sont deux choses fort différentes. Cela tient au fait que S n'est ni A ni B, mais quelque chose de plus général, que l'on ne peut (sait?) toutefois visualiser dans sa totalité.
Note : S = état quantique ; A = onde ; B = particule.
Pourquoi ne pas utiliser la métaphore du cylindre, perçu comme un cercle ou un rectangle dans le monde bidimensionnel des Schadoks ? Cette métaphore aurait l'avantage de ne pas pouvoir « enduire d'erreur » le lecteur : pas d'onde ou de particule sur lesquels baser un raisonnement foireux...
Régis Lachaume 1 avr 2005 à 18:28 (CEST)
Premièrement, On a un système S qui se manifeste tant par A que par B (plutot hein!) alors que A et B sont deux choses fort différentes. Hors cela tiendrait plutot au fait que S est AB... C'est clair il me semble..
Deuxièmement, la propriété ondes-particules ne devrait-elle pas être représentée plutôt comme les faits, plutôt que comme une métaphore. Par exemple il suffirait plutôt de dire que les ondes sont des projections de corps (particules, atomes, etc jusqu'au macroscopique)qui se projettent et s'éloignent du centre O de l'onde à cause que ces particules se rentrent dedans (sans se toucher) et que c'est comme ça qu'on a une onde "de" particules. C'est simple non? J'ai qu'un secondaire 5 et je comprends parfaitement ça, où allez vous chier avec vos tourbillons et vos cylindres? FenixEden 12 février 2007 à 19:23 (CET)[répondre]

Je suis personnellement opposé à l'illustration par un cylindre, parce qu'elle n'apporte absolument rien à la compréhension des choses. Renard - qu'à pas réussi à se logguer ce coup ci.

Je suis assez d'accord pour dire que l'illustration présenté ici n'est pas la meilleure... Le texte "théorique" (S, A & B) associé à l'image du cylindre projeté me parait bien plus claire et rapide, plus efficace en somme --Toea 8 janvier 2006 à 16:44 (CET)[répondre]
En réponse (tardive à Régis Lachaume) : le but n'est pas ici tellement — ou seulement — de montrer que l'objet a deux types de propriétés apparemment incompatibles (ce que fait certes très bien l'analogie du cylindre). En fait, ça répond à une objection à la dualité posée sur fr.sci.physique, de mémoire : « si je met une plaque photo après la fente de Young, j'ai un spot. Si je recule la plaque de 1 nm, j'ai un autre spot. Et de proche en proche, je peux ainsi reconstituer le trajet du photon. »
On pourrait bien sûr — et c'est ce qui avait été fait — répondre que « non, non, non, puisque c'est l'interaction avec la plaque photo qui localise la photon, que la mesure perturbe l'objet », et faire appel à d'autre expériences qui confirment elles-aussi la dualité… Mais on se heurte au fait que la personne ne peut pas s'imaginer qu'un objet puisse être à la fois onde et particule, quoi qu'on lui explique (et, faites l'expérience autour de vous même avec des gens ayant fait des études de physique, c'est vraiment un concept très difficile à admettre). En quelques sortes, l'analogie des tourbillons lève cette « inhibition », montre que l'on a un exemple macroscopique de dualité de cet ordre, et donc permet au lecteur de relire ce qui est expliqué sans ce blocage.
Enfin, c'est ce qui est tenté…
cdang | m'écrire 11 juin 2007 à 10:57 (CEST)[répondre]

En réponse à un message posté sur ma page de discussion perso par Jean-Christophe BENOIST :

oui, la métaphore que j'ai proposée a été rejetée quasiment immédiatement après son introduction, cf.
en:Talk:Wave-particle_duality/Archive1#Popularised explanation: metaphor of the whirlpools in swift water,
avec quand même un message de soutien
en:Talk:Wave-particle_duality/Archive1#I applaud the whirlpool simplification.2Fvisualization effort.
Je ne la soutien pas per se, simplement :
  • ce n'est qu'une métaphore, qui, comme celle du cylindre possède ses défauts ;
  • si l'on n'est pas d'accord avec cette métaphore, il faut argumenter, si les arguments sont valables, je m'y plierai volontiers.
Je pense que les deux métaphores — celles des tourbillons et celle du cylindre — sont complémentaires et méritent de figurer. L'avantage des tourbillons est qu'elle met en image la notion de « réduction du paquet d'onde » (la localisation est l'action de la mesure sur l'onde, ici, le tourbillon est l'action de la pierre sur le courant) et d'étalement du paquet d'onde. L'inconvénient du cylindre est que c'est un objet matériel qui présente deux projections : il met en évidence le fait qu'un objet peut avoir deux représentations, mais ne fait pas de lien entre particule (objet localisé) et onde (objet délocalisé).
cdang | m'écrire 7 juin 2007 à 09:31 (CEST)[répondre]
En passant : pour un physicien habitué à la conceptualisation, à l'abstraction, le concept présente déjà des problèmes. Songez que Wikipédia s'adresse à tout le monde, à des lycéens, au grand public. Déjà, allez voir un ingénieur ou un professeur certifié de physique — qui a donc un bagage de base en physique — et demandez-lui comment il conçoit réellement la dualité onde-particule. Ou même à un docteur en sciences physiques mais pas dans le domaine de la physique théorique (un docteur en sciences des matériaux par exemple).
Je pense que vous aurez des surprises…
Considérez ensuite le fait que la dualité O-P est récupérée par certains pour des notions fumeuse de « bilocalisation », « expérience extra-corporelle » et autres pseudo-scientismes. Vous verrez alors la nécessité d'avoir une explication au grand public, même si l'explication « réelle » reste hors de sa porté.
J'illustrerai le danger de cette « mauvaise vulgarisation » en citant un ouvrage d'un karatéka français, Michel Coquet : Budo — L'esprit des arts martiaux (éd. Guy Trédaniel, 2003, (ISBN 2-84445-414-3) :
(p. 156) On a, du reste, grâce à des appareils sophistiqués, découvert une pulsation au sein du diamant. […] Chimistes, biologistes, physiciens, médecins, psychologues, tout le monde utilise la loi du rythme et des vibrations. Partout, la vie pulsative organise avec intelligence le rythme de la naissance, de la décadence et de la mort. […] Ue planète, une nation, un clan, un homme, une femme, un atome, vibrent tous selon un rythme qui leur est propre.
cdang | m'écrire 7 juin 2007 à 09:53 (CEST)[répondre]


Effectivement, je remet sur la table le problème de la pertinence de la métaphore des tourbillons. C'est un vaste débat car une métaphore est par définition critiquable (surtout dans le domaine de la MQ) donc toute critique risque de se heurter à un "oui, mais ce n'est qu'une métaphore", et après on est dans le subjectif. Toutefois, cette métaphore m'a toujours beaucoup gêné et me semble (et pas que moi semble-t-il) particulièrement non pertinente. Je vais essayer d'expliciter cette gêne.

  • Cette métaphore se veut très (et sans doute trop) proche de la "réalité", avec des analogie pour un photon (le tourbillon), pour un atome (le rocher), pour l'onde EM (le courant). Tellement proche que, risquant de la prendre "au sérieux", on perd beaucoup de temps à expliquer ensuite avec beaucoup de détail des effets qui ne sont pas pris en compte par la métaphore ("limites de la métaphore"). Et cette liste pourrait être bien plus longue. C'est vraiment le principal défaut de cette métaphore, qui "colle trop" a des éléments de réalité et qui place donc la barre haut sur la qualité des analogies (et la barre n'est en fait pas franchie).
  • En conséquence, le rique d'induire en erreur est très grand. Il y a bien d'autres limites que celles évoquées dans l'article, dont une très importante passée sous silence: On oublie avec cette analogie que l'atome est aussi une fonction d'onde.. L'analogie laisse croire qu'il existe dans la nature deux entités fondamentalement différentes : la fonction d'onde (le "courant") et les atomes (le "rocher") et que ce qui est mesuré résulte de l'interaction entre les deux. Il n'y a pas dans la théorique quantique deux entités aussi fondamentalement différentes que cela; il n'existe que l'équation de Schrödinger et la fonction d'onde.
  • Je pourrais allonger la liste des limites importantes non signalées (quand vous voulez), mais je ne voudrais pas faire trop long. En fait la liste des limites est tellement importante qu'elle ruine à mon sens la métaphore.
  • Cette méthaphore est très peu (pas du tout à ma connaissance) usitée dans la littérature de vulgarisation de la MQ, et ressemble beaucoup à un TI.
L'image que j'ai créée pour illustrer

Une autre métaphore serait-elle plus appropriée ? Pas sûr. La métaphore du cylindre a l'avantage d'être abstraite et de ne pas prétendre coller avec la réalité. Mais cela peut être aussi vu comme un inconvénient.. Mais ce qui est important dans la métaphore du cylindre est le message qu'il véhicule et qui paraît fondamentalement vrai : onde et particules sont des manières de voir les choses et non pas les choses en elles même qui se situent sur un autre plan. Le message des tourbillons est vraiment à l'opposé et sans doute fondamentalement faux. --Jean-Christophe BENOIST 7 juin 2007 à 12:54 (CEST)[répondre]

Bon. Pas de réactions ? Pour le moment, je "tourne autour du pot" dans l'article, mais le cutter est prêt. Voici ce que je compte faire : la manière la plus claire et objective d'illustrer la dualité serait AMHO de mettre en évidence l'expérience des doubles fentes de Young, version quantique. Donc, à la place de la métaphore, il y aurait un rappel de l'expérience des doubles fentes. Ce serait dans la conclusion de l'article que serait fait appel - brièvement - à la métaphore et à l'illustration du cylindre. La teneur de ce paragraphe serait (je cite Lachaume qui a très bien résumé) : On a un a système S qui se manifeste parfois comme A, parfois comme B alors que A et B sont deux choses fort différentes. Cela tient au fait que S n'est ni A ni B, mais quelque chose de plus général, que l'on ne peut (sait?) toutefois visualiser dans sa totalité.. Vos commentaires, encouragements ou critiques sont les bienvenus. C'est le moment d'en discuter. --Jean-Christophe BENOIST 9 juin 2007 à 14:31 (CEST)[répondre]

Je suis bien conscient des limitations exposées. Mais si l'on prend par exemple le modèle des sphères dures pour les atomes :
Autres exemples : le modèle sphérique de la Terre, bien imparfait par rapport à la géoïde, mais expliquant bien les phénomènes d'horizon, des saisons (inclinaison des rayons solaires), la forme du croissant de Lune (ombre de la Terre), les fuseaux horaire… Ou encore, la mécanique newtonienne, bien imparfaite (on le sais depuis Albert Einstein), mais utilisée pour faire rouler des voitures, tenir des ponts et des imeubles, voler des avions et des fusées…
Ceci pour montrer que l'imperfection d'un modèle ne l'invalide pas per se (cela ne montre certes pas non plus que la métaphore des troubillons est pertinente), et que l'important est d'en placer les limites.
Sur quelques points :
  • (et pas que moi semble-t-il) — j'invite ces personnes à s'exprimer en leur nom ; par ailleurs, vox populi vox dei n'a pas lieu en sciences (paralogisme ad populum), on prend en compte la valeur intrinsèque de l'argument et pas le nombre de supporters. Et je pourrai rétorquer que la métaphore existe depuis le 17 décembre 2004 (2 ans ½ à ce jour) sans avoir été retoqué malgré les multiples éditions, à vue de nez environ 70–80 en dehors des miennes), et qu'elle n'a pas été non plus contestée — ni certes reprise ni soutenue — sur le forum usenet où elle avait été publiée.
  • Cette métaphore se veut très (et sans doute trop) proche de la "réalité" […] place donc la barre haut sur la qualité des analogies […] le rique d'induire en erreur est très grand — Donc selon toi, il vaut mieux un modèle imparfait car on à plus conscience de son imperfection ? Ce n'est pas un peu une pétition de principe (petitio principii) ? Désolé, je pense avoir mis les précautions nécessaire pour indiquer qu'il s'agit bien d'une analogie imparfaite, ce que tu soulignes dans on perd beaucoup de temps à expliquer ensuite avec beaucoup de détail des effets qui ne sont pas pris en compte par la métaphore ("limites de la métaphore"). Je ne retiens pas cet argument, je le considère comme un paralogisme « de la pente glissante » — théorie des dominos : « si on introduit telle idée, cela aurait au final des conséquences « désastreuse » » (le désastre étant : le rique d'induire en erreur est très grand), s' y a un risque, merci de l'expliciter et non pas simplement de le supputer.
  • Et cette liste pourrait être bien plus longue. — La « bonne » solution consiste alors à allonger cette liste, pas à tout supprimer ; Je pourrais allonger la liste des limites importantes non signalées (quand vous voulez), mais je ne voudrais pas faire trop long. au contraire, vas-y, et dans l'article même, c'est le principe de Wikipédia.
  • L'analogie laisse croire qu'il existe dans la nature deux entités fondamentalement différentes : la fonction d'onde (le "courant") et les atomes (le "rocher") […] Il n'y a pas dans la théorique quantique deux entités aussi fondamentalement différentes que cela — argument pertinent, je rejoute cela dans la liste des imperfections.
  • Cette méthaphore est très peu (pas du tout à ma connaissance) usitée dans la littérature de vulgarisation de la MQ, et ressemble beaucoup à un TI. — En soi, il s'agit d'un argument d'autorité ; un argument doit être jugé pour ce qu'il est, et non pas parce qu'une personne connue l'utilise ou pas. De manière générale, le fait que l'on utilise une nouvelle manière d'expliquer est-il un travail inédit ? Le fait de faire un nouveau dessin publié nulle par ailleurs en fait-il un travail inédit ? Aucun résultat inédit n'est utilisé ici, uniquement des expériences anciennes et confirmées. Je cite Wikipédia:Travaux inédits :
L'expression « travail inédit » désigne ici des théories non vérifiées; ainsi que des résultats, des observations, des concepts ou des idées qui n'ont jamais été publiées par une source fiable; c'est également toute analyse ou synthèse qui constituerait une interprétation originale de données déjà publiées.
Il n'y a ici aucune théorie non vérifiée, aucun concept jamais publié (le concept est ici la dualité onde-particule), aucune interprétation originale (je colle à l'interprétation de Copenhagen).
En fait, j'aimerai bien que tu appliques tes arguments à l'analogie que tu défends…
cdang | m'écrire 11 juin 2007 à 10:27 (CEST)[répondre]



Je ne militerais pas au delà d'un certain point pour supprimer la métaphore des tourbillons. Je l'ai faite disparaître car il me semblait qu'il existait un certain consensus (et surtout un bandeau !) en faveur de sa disparition, et que le bandeau me gênait beaucoup. Mais après tout, elle n'est pas nuisible au point de vouloir la faire disparaitre à tout prix, surtout si les limites sont dûement exprimées (ce qui est le cas). Cela dit, étant interpellé sur certains points, je me doit d'y répondre, même si c'est plus pour préciser certains points qui me paraissent importants, et sans réel enjeu :

  • et pas que moi semble-t-il : les personnes en question ce sont exprimées au dessus et ont même apposé un bandeau. Je remarque aussi que tu notes un paralogisme ad populum, et l'utilise toi-même (70-80 edit, le forum..) encore plus dans ta réponse ! Émoticône
  • pétition de principe: je ne crois pas, puisque j'ai donné des exemple d'erreurs ou d'incompréhensions que l'analogie pouvait générer. Le risque est donc explicité. Disons que c'est une généralisation qui se fonde sur un exemple précis. De plus, c'est en substance ce que disait également Lachaume ci-dessus.
  • Liste plus longue : je ne voulais pas faire une intervention de longueur "trollienne". Ni aujourd'hui d'ailleurs. Mais voir ce qui suit au sujet d'une autre limite importante gênante.
  • TI : le concept inédit, ici, est bien sûr la métaphore elle-même. Il s'agit sans le moindre doute d'une interprétation originale de données déjà publiées et d' extrapolation de source primaire. Si cela ne suffit pas, il s'agit là également d'une information étonnante, révolutionnaire, controversée, minoritaire... . J'ai vu des travaux qualifiés de TI et passer à la trappe en PaS pour bien moins que cela.. Tu n'as pas totalement tort au sujet du cylindre; mais - en toute bonne foi - contrairement aux tourbillons, j'ai déjà vu souvent cette métaphore (dont aucun d'entre-nous n'est l'auteur) et d'autres comme Lachaume aussi semble-t-il. De plus, cette image est beaucoup moins "étonnante, révolutionnaire, controversée, minoritaire... " que celle des tourbillons.
  • "colle à l'interprétation de Copenhague" : je n'ai justement pas cette impression et c'est une des choses qui me gêne dans la métaphore. L'interprétation de copenhague stipule un effondrement de la fonction d'onde (postulat 4) qui n'est pas modélisé dans la métaphore. Par exemple, si on voulait être conforme à Copenhague, il faudrait dire que, quand le tourbillon se forme, le lit de la rivière s'assèche subitement pour ne laisser qu'une petite flaque dans laquelle tourne le tourbillon. Cette flaque s'agrandirait avec le temps jusqu'à remplir de nouveau la rivière (avec disparition du tourbillon). Mais pour être honnête, la métaphore tient d'avantage le coup à ce niveau si on est partisant de la décohérence, où il n'y a pas véritablement effondrement de la fonction d'onde. Mais ce n'est pas Copenhague.

Donc, tout ceci pour dire que - si cette métaphore est réellement gênante - alors quelqu'un d'autre tentera de la réverter un jour. Si elle ne l'est pas, alors l'état actuel de l'article n'est pas si mal après tout et tout va bien ! Sans rancune j'espère, Christophe. --Jean-Christophe BENOIST 11 juin 2007 à 20:23 (CEST)[répondre]

D'abord, je tiens à préciser que si je n'ai pas posé le bandeau (posé le 18 mai 2007 à 11:12 Ceedjee), j'ai signalé moi-même très tôt (fév. 2005) les réserves émises sur le wiki anglophone (premier message de la page de discussion).
Ensuite, dans ton message, au moment ou tu écris En conséquence, le rique d'induire en erreur est très grand., tu n'as encore donné aucun exemple d'erreur induite, le seul exemple vient après, je me suis donc laissé induire en erreur par l'ordre des élément. Je te présente mes excuses pour l'accusation de pétition de principe. Mais je cherche encore les autres exemples (puisque tu utilise le pluriel). Régis Lachaume écrit pas d'onde ou de particule sur lesquels baser un raisonnement foireux..., oui, sauf que faire un article intitulé Dualité onde-particule sans parler d'onde ni de particule est inconcevable. À partir de là, se contenter d'invoquer le fait que nos sens ne peuvent pas avoir accès à cette échelle et indiquer les expériences menant à ces conclusions est certes indispensable, mais me araît insuffisant our faire admettre le concept par ne serait-ce qu'un ingénieur.
Concernant la liste longue : ce n'est pas la longueur qui caractérise la nature trollienne, mais le caractère insultant et répétitif. On n'est pas en chat, tu as plusieurs heures, jours, mois pour dresser la liste et la proposer, la métaphore a attendu deux ans et demi, elle peut patienter quelques temps de plus ;-)
L'argument de TI me paraît le seul qui tiendrait, mais àmha cela s'adresse plus aux travaux eux-même qu'à la manière de les présenter. Quand une personne a eu l'idée de retourner l'échelle de température d'un diagramme pour qu'il colle au gradient décroissant dans une colonne de distillaiton, il a innové, mais était-ce vraiment un travail inédit ? Par ailleurs, s'il est étable que la métaphore est minoritaire, il faudrait argumentter en quoi elle est : étonnante — révolutionnaire — controversée.
Concernant l'écart à l'interprétation de Copenhague, cet écart est explicitement cité (c'est le deuxième point mentionné dans la section Limites de la métaphore). Je modifie le passage pour le renforcer dans ce sens, puisqu'aparemment il n'était pas assez clair.
Rancune ? Non, je veux juste que l'on commence par argumenter et que l'on propose d'améliorer plutôt que de se contenter de supprimer ce qui semble imparfait. Sinon, on pourrait se contenter de supprimer tous les articles en ébauche plutôt que de les améliorer…
cdang | m'écrire 13 juin 2007 à 09:36 (CEST)[répondre]
Oui excuse moi, c'est juste, j'avais perdu de vue que tu avais cité la limite de l'effondrement; j'étais resté "collé" à "Je colle à l'interprétation de Copenhague" Émoticône sourire. Absolument d'accord sur commence par argumenter : c'est ce que j'ai fait, et ce que je fait toujours; je ne réverte jamais brutalement sauf grosses bêtises (ce qui n'est absolument pas le cas ici). Je pense maintenant que chacun a présenté ses arguments et exprimé ce qui lui tenait à coeur. Encore une fois, s'il y a réellement problème, ce sera réverté un jour, et s'il n'y a pas réellement problème alors tout est bien ! --Jean-Christophe BENOIST 13 juin 2007 à 21:05 (CEST)[répondre]

Choc de particules ?[modifier le code]

Je répète ma question.. Pourquoi dit on pas que c'est une onde créer par un choc de particules? FenixEden 16 juillet 2007 à 14:54 (CEST)[répondre]

Euh… parce que c'est faux…
Je reprend ta phrase plus haut : Par exemple il suffirait plutôt de dire que les ondes sont des projections de corps (particules, atomes, etc jusqu'au macroscopique)qui se projettent et s'éloignent du centre O de l'onde à cause que ces particules se rentrent dedans (sans se toucher) et que c'est comme ça qu'on a une onde "de" particules.
J'ai l'impression que pour toi, les particules matérielles, des « billes », s'entrechoquent et que l'onde résulte de ces chocs, c'est ça ?
Une telle description va à l'encontre des constatations expérimentales. La dualité onde-particule est là, notamment, pour expliquer le fait que notamment :
  • la lumière est une onde (on en est sûr vu qu'elle diffracte, se réfracte, … bref toute l'optique ondulatoire) mais contrairement aux autre ondes connues, ses interactions se font par quantités définies d'énergie, par quanta (effet photoélectrique, absence de « catastrophe ultraviolettte » dans le rayonnement du corps noir) ;
  • les électrons sont des particules (leur charge est déterminée comme l'a montré Millikan, leur masse est déterminée) mais on ne peut pas les voir comme des petites billes qui tournent autour des atomes (ils perdraient de la vitesse et s'écraseraient à cause du rayonnement prédit par les équations de Maxwell) et ils se comportent parfois comme des ondes (phénomènes de diffraction, par exemple avec un microscope électronique en transmission).
Ta description ne permet pas de décrire ces phénomènes. Ou bien ?
cdang | m'écrire 27 juillet 2007 à 15:57 (CEST)[répondre]

Tout ce que tu décris comme preuve me semble réfutable. Malheureusement je ne me diriges pas en physique. Cependant, toutes les explications dans tes pages de référecnes peuvent être expliqués suivant le concept d'ondes de particules. Les pages que tu donnes sont d'un niveau étudiable pour moi. Laisse moi quelques temps et je te reviendrai quand j'aurai une explication.

Pour l'instant je me conteterai de dire que le corps noir n'existe pas (comme il est écrit sur la page) L'argument est donc faux, ensuite, la diffraction me semble explicable par répercussion aussi, et la réfraction par le "Je dois absolument trouver un chemin pour sortir de ce put** d'océan", en passant je ne crois pas aux quantas, c'est une mesure non? C'est pas un fait prouver. Quant à l'effet photo electrique, si je lances des billes dans un paquet de bille, certaines vont sortir du paquet de pilles... et puis... pour tes atomes... tu explique comment que la Lune qui est bien une bille ne tombe pas sur la Terre, ne perde pas de vitesse comme le prédit les équations de Maxwell? Bref, améliore ta réfutation, parce qu'elle est pas au top. Cordialement et sans animosité. FenixEden 2 août 2007 à 03:13 (CEST)[répondre]

Petite parenthèse, c'est vrai qu'une pomme plus une pomme = 2 pomme. Mais c'est pas vrai que la 1ière pomme est exactement deux fois moins énergétique que le total de pommes. Faut arreter de voir les particules comme étant touts identiques...




en guise de préambule : je n'ai pas de formation avancée en physique (donc encore moins quantique). je m'excuses donc à l'avance des termes impropres que j'utiliserais probablement.

simplement ce problème m'intrigue précisément dans les variantes du cadre de cette expérience des fentes/trous et du paradoxe apparent qui s'en dégage. j'ai donc consulté tout ce que je pouvais par internet, et été me documenter à la BFM. j'en ressort les points suivants dans l'état actuel de ma compréhension :

Interprétation[modifier le code]

il me semble qu'il est très aisé de confondre ici (par analogie avec une onde comme celle d'un liquide) 3 concepts qui m'apparaissent fondementalement différents :

xyz l'expression probabiliste des coordonnées d'un quantum ("centre"),

~~ la fluctuation spatialisée du champ/rayonnement de ce quantum (onde),

":" et sa distribution statistique (interférentielle au final après les impacts de quantums même tirés séparément) constatée sur la cible (but).

j'entends par là qu'au départ j'avais considéré ces 3 concepts comme un seul et unique au vu de la métaphore aquatique avancée pour expliquer le problème (what the bleep ?). alors qu'ils me semblent à présent 3 concepts aux propriétés "ondulatoires" (ou statistiques ou probabilistes ; d'un certain point de vue parfois chaotique) communes mathématiquement mais de nature différentes physiquement (et quantiquement ? je l'ignore mais le suppose ...).

cela posé, en quoi le fait que la trajectoire (du "centre" xyz) passe par l'une des fentes, empêcherait-il le champ propagé (onde ~~) du quantum d'auto-interférer au-delà des fentes ... déplaçant ainsi son "centre" final sur la cible dont les impacts ":" cumulés pour une source fractionnée (ou simultanés du point de vue de l'observateur pour une source continue) présentant ainsi les figures d'interférences constatées ? dit naïvement : même si majeure partie de mon objet quantique passait à droite, l'autre partie passerait à gauche (et vice versa) interférant ensuite au delà des fentes d'où le résultat sur la cible. ils interagissent ainsi "virtuellement" comme 2 sources interférentes "classiques" (liquides par exemple).

Détermination[modifier le code]

le 1er noeud de ce paradoxe me parait être : la mesure (détection de passage de fentes) dérange obligatoirement la course naturelle créant l'interférence, puisqu'elle fait intervenir de la matière d'une autre source. si on mesure le passage on peut savoir par où est passé le "centre" xyz de l'onde (la majeure partie) mais de ce fait on altère son interaction avec son onde propagée ~~, qu'on surveille l'une l'autre ou les 2 fentes.

dès lors qu'on introduit des appareils de mesures, qu'importe ce que l'on essaie de faire avec les résultats, il ne s'agit plus de la même expérience. sans aller jusqu'à corréler que la ou les particules ont "conscience" en temps réel ou par prédiction que leur trajectoire est observée (hypothèse amusante mais qui n'avance pas à grand chose) et qu'elles reprennent du coup un comportement totalement particulaire, il semble cependant évident que l'introduction de mesure dénature l'expérience initiale étant donné l'échelle concernée : à l'extrême, entre l'utilisation d'un laser pour détecter la position d'une voiture, et l'utilisation d'une autre voiture allant percuter la première ... la subtilité est d'échelle et nous n'avons pas de laser à l'échelle quantique (et n'en aurons jamais si les quarks sont bien indivisibles).

Conclusion[modifier le code]

le 2eme noeud semblerait être la différence entre la figure fractionnée (un quantum à la fois) et continue (source émettant des flux de quantums rapprochés). là encore il me semble intuitivement clair que la figure ne peut pas être la même dans les 2 cas (auto-interférence ET/OU exo-interférence) bien qu'il reste logique que les 2 figures présentent un caractère interférenciel commun.

enfin les conditions de l'expérience ne demandent-elles pas à être précisés et/ou améliorées : l'a-t-on faite dans un vide partiel ? à des températures données ? a-t-on constaté des variations ? selon quelles sources et quelle repétabilité ? etc ... voir aussi les limites d'observations récentes (scully, afshar, etc ...).

ps : quand à la métaphore des tourbillons ... l'eau m'a déjà induit en erreur une fois. donc je préfère de loin l'idée du cylindre. ce serait simple d'ailleurs en calquant sur l'expérience elle même : nous imaginerions notre objet quantique comme une sphere transparente. mais en faisant passer un flux continu ou isolé via 2 trous circulaires nous trouvons des empreintes de parralépipèdes sur la cible ?? et si l'on cherche à détecter par quel trou le parrallépipède passe (avec un portique dans les trous par exemple), il semble se comporter à nouveau comme une sphère et la cible a des empreintes circulaires. notre objet est donc un cylindre qui voyage face large de front, et tourne d'un quart de tour lorsqu'il rencontre de la matière.

(nb: le y spin1 et e- spin1/2 mais aucune métaphore n'est parfaite :) celle ci peut préfigurer l'exposé de l'expérience avec des connaissances géométriques très rudimentaires).

En espérant avoir "interféré" [Beatnykk] 21 août 2007 à 23:30 (CEST)

La PdD de l'article devrait être plutôt réservé à discuter de l'article en lui-même, c'est à dire qu'est-ce qui ne va pas ou n'est pas clair dans l'article, comment il peut être amélioré etc.. et non à discuter du sujet de l'article d'une manière générale : de très bons forums de discussion (futura-science par exemple) sont là pour cela. On peut aller dans ma page de discussion pour approfondir différents points de ce que tu viens de dire. Pour rester sur l'article en lui même : tu dis que "il me semble intuitivement clair que la figure ne peut pas être la même dans les 2 cas" : si l'article n'est pas clair pour dire que la figure doit être exactement la même, alors il faut l'améliorer. De même tout ce que tu dis sur "le noeud 1" n'est pas faux mais n'est pas aussi simple, surtout si on n'utilise plus des fentes, mais un interféromètre de Mach-Zehnder. Bref. S'il y a des choses que tu ne trouves pas clair ou inexact dans l'article, dis-le ici, sinon direction ma PdD pour discuter du sujet. Cordialement. --Jean-Christophe BENOIST 22 août 2007 à 09:42 (CEST)[répondre]

Revenons à nos Tourbillons[modifier le code]

Il me semble que le paragraphe suivant meriterait un peu de clarification: "Peut-on en déduire que le tourbillon a voyagé d'un rocher à l'autre ? Assurément non. On ne peut pas non plus dire qu'un tourbillon a voyagé depuis la source de la rivière jusqu'au rocher. Le tourbillon se forme localement par interaction du courant avec l'obstacle, mais il n'a pas d'existence propre entre deux obstacles. "

Au contraire, en regardant ça naïvement je vois un tourbillon passer du rocher A pour ensuite aller s'écraser sur le rocher B et lorsqu'il est entre les deux rochers... Je le vois exister entre les deux rochers.

Je vois où vous voulez en venir mais je ne vois pas en quoi cette analogie nous le fait comprendre.--Le Père Odin 5 septembre 2007 à 04:09 (CEST)[répondre]

Merci d'avoir effacer mon article.
Ça donne la preuve que vous n'êtes pas de taille.
Maintenant, dans ce cas, je vous propose d'améliorer la métaphore pour qu'elle cohérente.
Car ni l'une ni l'autre ne l'est.
FenixEden 3 novembre 2007 à 17:40 (CET)[répondre]
Ton intervention a été effacé parce qu'elle ne traitait pas du sujet en question et qu'elle se perdait dans des "théories" inédites, ce qui est contraire aux règles de wikipédia. Ici, ce qui nous intéresse c'est le paradoxe apparent que représente la dualité onde-corpuscule (mise en évidence par l'expérience) et non pas de spéculer afin de démontrer que la physique moderne a tout faux. --Le Père Odin 3 novembre 2007 à 18:00 (CET)[répondre]
Je te recommande Forum Futura-Sciences Physique pour exposer et discuter de tes théories. C'est un lieu plus approprié que les PdD WP, qui sont régies par des règles incompatibles avec tes interventions. Rien de personnel. Cordialement. --Jean-Christophe BENOIST 3 novembre 2007 à 21:05 (CET)[répondre]
Bien, j'irai voir ce forum. Et bien entendu, je suis désolé. Ça parait que j'ai passé une mauvaise journée hier, allez, méa culpa. FenixEden 5 novembre 2007 à 06:55 (CET)[répondre]
Réponse tardive, mais puisque l'on ne prévient pas l'auteur…
Tout dépend de la distance entre les deux rochers. S'ils sont distants de plusieurs dizaines de mètres, alors le tourbillon se sera élargi puis aura disparu (étalement du paquet d'onde). Le problème que tu soulèves est le même que si une particule diffusée interagit à une distance courte après sa diffusion.
cdang | m'écrire 27 mai 2009 à 09:46 (CEST)[répondre]

Figure 4: ce ne sont pas des photons mais des électrons[modifier le code]

Bonjour. Je trouve surprenant que lorsqu'on clique sur la figure 4 pour en voir la légende, on apprenne que ce sont des électrons et non des photons contrairement à ce que le paragraphe correspondant porte à croire. Peut être qu'une telle expérience n'existe pas à cause de la taille des photons comparée à la taille des "pixels" des appareils de mesure, auquel cas il suffirait, je pense, de préciser qu'il s'agit d'une expérience sur un phénomène similaire, tout en précisant qu'il ne s'agit PAS de photons. Qu'en pensez vous ?Panther751 -- 1er décembre 2008

Au début du paragraphe, il est marqué explicitement : Dans la description qui suit, il sera question de lumière et de photons mais il ne faut pas perdre de vue qu'elle est également applicable - du moins en principe - à toute autre particule (par exemple des électrons), et même à des atomes et à des molécules.. Donc pas de problème à mon sens avec la légende. En fait, la figure est exactement la même que cela soit des photons ou des électrons. --Jean-Christophe BENOIST (d) 1 décembre 2008 à 16:00 (CET)[répondre]

Remise des tourbillons[modifier le code]

Le 25 avril 2008 à 11:18, utilisateur:JKHST65RE23 a à nouveau supprimé la partie sur les tourbillons. J'aurais voulu en discuter avec lui, mais sa page de discussion est bloquée (« utilisateur parti » me dit l'historique).

Concernant son argument :

Suppression d'un TI qui traine ici depuis plus de trois ans. Voir notamment la pdd, où l'auteur reconnaît qu'il s'agit d'un TI (tout en noyant le poisson).

Ce n'est pas un TI puisqu'aucun résultat n'est inédit. Je veux bien que l'on remette en cause la pertinence, mais sur la base

  • soit des faits décrits (réduction et étalement du paquet d'onde), mais là pour le coup ça serait du TI ;
  • soit de la pédagogie et de la didactique (« cette description embrouille plus les esprits qu'elle ne clarifie les choses car … »

cdang | m'écrire 27 mai 2009 à 09:56 (CEST)[répondre]

Ce qui me navre le plus, ce n'est pas tant ton TI lui-même, qui est (AMO, mais je suis loin d'être le seul à le penser) non pertinent mais assez inoffensif, mais le fait que tu ne te rendes absolument pas compte que c'est un TI, et ton insistance à le remettre alors que tu es le seul ici à défendre sa présence dans l'article, et que nous sommes au moins trois (Lachaume, moi-même, et JKHST65RE23) à ne pas l'accepter dans l'article. Je ne rentrerais ni dans une phase de discussion - que nous avons déjà eue, tout a été dit je crois - ni dans une phase de guerre d'édition avec toi. Je laisse la communauté Wikipédia juge de ton comportement et de ton jugement, qui me semblent tous deux défectueux par rapports aux règles de la communauté. --Jean-Christophe BENOIST (d) 27 mai 2009 à 13:35 (CEST)[répondre]
Je ne comprends pas sur quel argument cdang s'appuie pour dire que ce n'est pas un TI : où sont les références, ou même la référence ? Il me semble que cdang est lui-même l'auteur de cette analogie sur le forum (que j'ai bien du mal à contacter, je ne sais pourquoi), et pas un livre reconnu à l'horizon ! Je suis d'avis de supprimer ce passage. LyricV (d) 27 mai 2009 à 14:37 (CEST)[répondre]
cdang s'appuie sur le fait qu'il n'y a aucun résultat inédit puisque tout est conforme à l'interprétation de Copenhague, et personne au cours des discussion n'a mis ce fait en défaut, mis à part une petit élément que j'ai corrigé.
Ensuite, ce n'est pas parce que cela ne plaît pas à trois contributeurs (seulement trois, au passage) que ça doit être effacé. Il y a des critère pour figurer dans Wikipédia, et ce n'est pas « plaire à untel ». Prouvez d'abord que c'est un TI, on verra ensuite.
Enfin, puisque vous n'avez pas l'air de comprendre l'enjeu d'une PhyQ non vulgarisée, sachez que la PhyQ est récupérée entre autres par la kinésiologie [1], qui es quand même sdans le collimateur de la MIVILUDES (voir aussi Médecine quantique). Mais bon, continuez à vous complaire dans votre attitude snobe « la PhyQ est trop compliquée pour le bas-peuple, n'essayons surtout pas de la vulgariser, mieux vaut un article accessible uniquement aux fortes têtes », si ça peut être votre médaille en chocolat… C'est bien la peine de mettre du savoir gratuitement à dispo s'il ne doit être compréhensible que par ceux qui le possèdent déjà… Vous écrivez l'article pour vous-même, c'est bien.
cdang | m'écrire 13 juillet 2009 à 10:05 (CEST)[répondre]
Bonjour cdang. Que je sache, dans wp on ne prouve pas que c'est un TI, au contraire, on prouve que ce n'est pas un TI : par des références, rien de neuf sous le soleil. De même, merci de prouver que « tout est conforme à l'interprétation de Copenhague ». Cordialement. LyricV (d) 13 juillet 2009 à 10:19 (CEST)[répondre]
Cher LyricV, saches qu'en sciences, chacun apporte les arguments à son propre point de vue. J'ai un phénomène ondulatoire (fluctuations du niveau de l'eau) et particulaire (tourbillon localisé, caractérisable par une position et une impulsion), avec un étalement du paquet d'onde (tourbillon qui s'étend et dispartaît au fur et à mesure), et une réduction du paquet d'onde lors d'une interaction (apparition du tourbillon sur un obstacle ou à une confluence). Les paramètres caractéristiques de l'onde (débit de l'eau) déterminent la probabilité d'apparition du tourbillon. Les écarts entre l'analogie et la réalité ont été signalés dans le passage.
Maintenant, j'aimerai bien que tu apportes le même regard critique sur l'analogie avec le cylindre, et que tu m'explique en quoi l'analogie est , dans ce cas-là, pertinente, et en quoi elle colle avec l'interprétation de Copenhague.
Bon, allez, je vous laisse entre moines copistes, gardez votre savoir entre vos murs.
cdang | m'écrire 13 juillet 2009 à 10:38 (CEST)[répondre]

Tableau particule/onde[modifier le code]

Je m'interroge sur les ajouts récents de Utilisateur:79.94.111.212 concernant le tableau des propriétés particules/ondes. Le tableau était dans l'esprit de comparer les propriétés macroscopiques (c'est écrit explicitement au début du tableau) - et donc "classiques" - des ondes et des particules. Donc les ondes de Huygens ou de Fresnel. Les ajouts sont plutôt une comparaison "classique" versus "quantique" que "particule" versus "ondes", et ne sont donc pas du tout dans l'esprit initial du tableau.

De plus, la plupart mériteraient d'être sourcées, non qu'elles soient douteuses, mais pour voir "à quoi fait allusion" la phrase, ce qui n'est pas toujours clair, ou il faut être ultra-spécialiste pour le savoir. Notamment la ligne "observabilité" me laisse perplexe. Et cela permettrait d'évacuer tout soupçon de WP:TI, soupçons qui sont grands à l'heure actuelle..

Donc je demanderais à l'IP de stopper, de réfléchir, DE SOURCER, de discuter ici, et de voir comment ces remarques pourraient être prises en compte. Cordialement --Jean-Christophe BENOIST (d) 26 juillet 2009 à 11:26 (CEST)[répondre]


Interprétation de la dualité[modifier le code]

Métaphore de la foudre

Pour donner une image de cette dualité onde corpuscule, et notamment de la notion de "réduction du paquet d'onde" qui me semble être le point clé de cette dualité, je ferais l'analogie avec la foudre.

Supposons un gros nuage qui se déplace au dessus d'une forêt, chargé électriquement avec ces charges bien réparties. Lorsque le nuage s'approche du sol et que la foudre tombe, toutes les charges accumulées se retrouvent alors concentrées sur un seul arbre. Les arbres de même hauteur ont la même probabilité de recevoir la foudre, les arbres les plus hauts ont une probabilité plus grande.

Il en est de même pour le photon. Lorsqu'il se propage son énergie est dispersée sur tout l'espace (C'est pourquoi un seul photon traverse les deux fentes d'Young simultanément) il se comporte alors comme une onde. Lorsqu'il arrive vers la plaque photographique, son énergie se retrouve alors concentrée sur un seul électron, le photon se comporte alors comme un corpuscule. Les électrons soumis à un même champ électrique, ont la même probabilité d'être touché, les électrons situés au niveau des interférences (là ou le champ électrique est maximum) ont une probabilité plus grande.

C'est ce phénomène de concentration d'énergie qui fait que le photon passe d'un aspect ondulatoire à un aspect corpusculaire. CCDA 1 février 2010 à 10:30 (CET)[répondre]

Cette interprétation ressemble (sans être tout à fait) à la théorie GRW, qui n'a pas son article sur WP:fr : si tu veux le traduire, je t'y engage vivement. Mais évidemment, cette métaphore qui n'a pas vraiment sa place dans cet article, étant donné son aspect inédit et non conforme à la théorie quantique, qui ne dit pas cela. Cordialement Jean-Christophe BENOIST (d) 1 février 2010 à 10:58 (CET)[répondre]
PS : dans l'article anglais, il y a le minimum, et la similitude avec ta métaphore n'est pas très apparente. Elle l'est beaucoup plus si tu fait des recherches sur "flashy GRW" ou "flash GRW". Jean-Christophe BENOIST (d) 1 février 2010 à 11:09 (CET)[répondre]

Titre (principe de moindre surprise)[modifier le code]

C'est un détail mais il me semble que l'expression "dualité onde-corpuscule" est beaucoup plus utilisée que celle actuellement choisie. Une vérification par googlebooks donne près de 15 fois plus de résultats pour la première. Si cette prédominance est confirmée il faudrait envisager de renommer l'article. Xic[667 ] 15 avril 2012 à 03:27 (CEST)[répondre]

Pas contre. "dualité onde-corpuscule" est en effet plus utilisé, bien que le terme "corpuscule" soit un peu vieilli. --Jean-Christophe BENOIST (d) 15 avril 2012 à 11:22 (CEST)[répondre]
J'ai fait une demande de renommage auprès des administrateurs (il n'est pas possible de renommer sans les outils sysop ici). Xic[667 ] 16 avril 2012 à 14:15 (CEST)[répondre]

En physique, la dualité onde-corpuscule ou dualité onde-particule est un principe selon lequel tous les objets physiques peuvent présenter des propriétés d'ondes ou de particules. Cette dualité tente de rendre compte de l'inadéquation des concepts conventionnels de « particules » ou d'« ondes », pris isolément, à décrire le comportement des objets quantiques. C'est dramatique : "corpuscule" et "particule" ne sont pas synonymes du tout ! C'est précisément une particule qui est mi-onde, mi-corpuscule (vulgarisation), et finalement ni onde ni corpuscule en TQC. Parler de dualité onde-particule obligerait à utiliser "ondicule" pour l'objet qui serait mi-onde mi-particule (ça a été proposé mais ça n'a pas pris du tout). Je propose :

En physique, la dualité onde-corpuscule est un principe selon lequel les objets physiques microscopiques peuvent présenter des propriétés d'ondes ou de corpuscules. Cette dualité tente de rendre compte de l'inadéquation des concepts classiques de « corpuscules » ou d'« ondes », pris isolément, à décrire le comportement quantique des particules.

Etc. dans tout l'article... Nicophil (discuter) 9 décembre 2014 à 18:26 (CET)[répondre]

Je vois bien ce que tu veux dire, et tu n'as pas tort. Après, tout dépend de ce que on entend par "particule". Si c'est particule élémentaire, tu as parfaitement raison. Si c'est particule matérielle, ou particule fluide alors le texte actuel est correct. Le mieux est sans doute de ne pas utiliser le terme "particule" qui est ambigu, comme tu le proposes, "corpuscule" étant proche de particule matérielle. Sans voir de problème grave dans le texte actuel, je ne suis pas contre la modification que tu proposes. Cordialement --Jean-Christophe BENOIST (discuter) 9 décembre 2014 à 18:59 (CET)[répondre]

Dans la section Interprétation de la dualité.[modifier le code]

Bonjour,

Je trouve ambigu d'écrire que "le photon se matérialise". J'aurais plutôt dit que sa position est déterminée ou quelque chose du style. C'est, à mon sens, justement ce genre d’ambigüité qui permet la prolifération de pseudo-sciences/médecines s'appuyant sur les concepts de la MQ.

Merci,

La formulation n'est sans doute pas idéale, mais je trouve difficile de faire mieux. Il y a tout de même un message à faire passer dans cette phrase, qui n'apparait pas tellement dans votre proposition, c'est que le photon individuel perd son statut d'onde, et même d'onde de probabilité assez virtuelle, pour apparaitre comme un corpuscule réel au moment de l'impression de la plaque. Il y a donc plus que le fait que la position (de quoi ?) passe de l'état indéterminé à déterminé. En plus, cette dualité est précisément le sujet de l'article. --Jean-Christophe BENOIST (d) 23 décembre 2012 à 21:20 (CET)[répondre]
Re-bonjour. Dans mon esprit, une particule est une particule, avec une position dans l'espace que l'on ne connait qu'après une mesure. L'amplitude de probabilité associée permet de déterminer avec quelle probabilité la particule sera détectée à tel ou tel endroit après mesure. Il me semble que cette approche est en fait celle de l'onde pilote de De Broglie/Bohm (voir http://fr.wikipedia.org/wiki/Probl%C3%A8me_de_la_mesure_quantique#Onde_Pilote_De_Broglie.2FBohm). Bref, c'est un point de vue tout à fait personnel. Finalement, dire que le photon se matérialise reste probablement la meilleure formulation. Merci de m'avoir répondu.


"simultanément" ?[modifier le code]

L'article dit que la matière possède simultanément des propriétés d'onde et de particule. Mais qui dit simultanément, dit au même moment dans le temps. Or le principe de complémentarité dit que la matière affiche tantôt un comportement tantôt l'autre, mais jamais les deux en même temps, donc pas simultanément. Je comprend que vous voulez expliquer que la matière affiche selon l’expérience l'une ou l'autre des propriétés (de toute façon se ne sont que des aspects qui ne préfigure en rien la nature de la matière). Comme dans la métaphore du cylindre qui a un aspect carré et rond selon le plan à partir du quel on regarde, mais qui est en réalité un cylindre. N'y à t'il pas une erreur dans votre article ? — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 85.68.224.150 (discuter) le 9 novembre 2013 à 03:00

C'est réellement très difficile de trouver un bon adverbe, car le langage que nous avons n'est pas fait pour la physique quantique. Si "erreur il y a dans notre article", alors cette erreur se retrouve dans bon nombre de sources. La seule "erreur" qu'il peut y avoir dans un article de WP est de mal refléter les sources, ou mal choisir ses sources, et de ce point de vue je ne crois pas qu'il y ait erreur.
Tant qu'il n'y a pas mesure, l'objet quantique porte ces caractéristiques "simultanément", il est le cylindre de la métaphore. Dès que on le mesure, le cylindre est éclairé dans un axe ou dans l'autre, et il ne présente qu'un aspect exclusif de l'autre. Mais la mesure n'est qu'un moment de la vie de l'objet, même s'il est important. Donc quel adverbe peut le mieux décrire tout cela ?
Cela dit il y a sûrement une manière de mieux formuler tout cela. Reste à rechercher des sources pour nous inspirer. --Jean-Christophe BENOIST (discuter) 9 novembre 2013 à 13:12 (CET)[répondre]
Conjointement ? 90.35.77.181 (discuter) 9 novembre 2013 à 23:51 (CET)[répondre]
"A la fois" (modification de ce soir) est pas mal. --Jean-Christophe BENOIST (discuter) 10 novembre 2013 à 00:12 (CET)[répondre]
"A la fois" je trouve que c'est pas mal. "Conjointement" serait pas mal non plus, étant donné qu'il n’implique pas de près ou de loin la notion de simultanéité, ni même une localisation relative dans le temps.
"Simultanément" c'était pas mal non plus car par exemple, dans l'expérience des franges de Young, ce sont des particules qui sont repérées sur l'obstacle final, mais leur répartition statistique correspond à une d'onde. "à la fois" me semble plus flou, et d'ailleurs ça inclut "simultanément", mais c'est peut-être ce qu'il faut vu l'inadéquation du vocabulaire aux phénomènes quantiques. Cordialement. Lylvic (discuter) 11 novembre 2013 à 09:10 (CET)[répondre]
Pour me faire l'avocat du diable, ce n'est pas vraiment "simultanément" dans cette expérience, puisque le photon était à l'état d'onde lors du franchissement des fentes (et d'ailleurs suffisamment étendu dans l'espace pour passer par les deux fentes à la fois et interférer avec lui-même), et à l'état de corpuscule lors de l'impression de la plaque (à des moments différents). Il faut voir comment les sources traitent ce problème de terminologie. --Jean-Christophe BENOIST (discuter) 11 novembre 2013 à 10:42 (CET)[répondre]
J'ai fait une tentative après avoir balayé plusieurs sources. --Jean-Christophe BENOIST (discuter) 11 novembre 2013 à 11:09 (CET)[répondre]
Ce n'est pas l'avocat du diable qui parle là, c'est le diable lui-même ! Émoticône Lylvic (discuter) 11 novembre 2013 à 11:50 (CET)[répondre]
Est-ce Dieu ou le Diable qui a créé l'univers avec des règles aussi compliquées Émoticône sourire ? Mais comme disait Einstein, "Dieu est subtil, mais il n'est pas malveillant". Cordialement --Jean-Christophe BENOIST (discuter) 11 novembre 2013 à 12:25 (CET)[répondre]
La subtilité, c'est ce qui me manque, et ça c'est la faute au créateur, j'en déduit qu'il est malveillant, donc qu'Einstein à tord, ainsi j'ai montré que la relativité est fausse. J'ai bon cette fois ?! Lylvic (discuter) 11 novembre 2013 à 13:29 (CET)[répondre]
ne ditons pas par ailleurs que l'objet quantique est un paquet d'onde? Une entité qui n'est ni onde ni particule mais qui peut afficher les deux comportement selon l’expérience.— Le message qui précède, non signé, a été déposé par 66.249.93.4 (discuter)
Le terme "paquet d'onde" est un héritage de la mécanique ondulatoire, et est un peu désuet même s'il est toujours utilisé, mais en synonyme de fonction d'onde qui est plus juste et plus moderne. Donc oui, tout objet quantique peut être représenté par une fonction d'onde, dont la réduction peut donner les apparences d'un corpuscule. --Jean-Christophe BENOIST (discuter) 11 novembre 2013 à 19:11 (CET)[répondre]
je suis d'accord que le terme "simultanément" est inapproprié. Mais avec l’expérience d'Afshar même si elle est très controversée, on peut douter de la pertinence ou non de ce terme dans l'article. Mais pas pour longtemps, car pour moi je pense que le faite qu'il y est qu'UNE expérience connue à ce jour qui contredise ce principe et le faite qu'elle soit controversée, qu'il ne faut pas mettre le mot "simultanément".— Le message qui précède, non signé, a été déposé par 85.68.224.150 (discuter)
Ce terme n'y est plus. --Jean-Christophe BENOIST (discuter) 12 novembre 2013 à 10:41 (CET)[répondre]

Paragraphe Mise en évidence de la dualité[modifier le code]

"En effet, si on remplace la source lumineuse par un canon qui tire des micro-billes à travers les deux fentes (par exemple), donc de "vraies" particules, on n'obtient aucune figure d'interférence, mais simplement une zone plus dense, en face des fentes." je suis pas d'accord si on remplace les photons par des particules, sans observation il y a aussi des figures d'interférence. Mais s'il s'agit de billes est non de particules alors oui c'est vrai ce que tu dis. Mais dans tous les cas ce passage est pas très clair.

c'est possible ?[modifier le code]

Bonjour, peut être ce n'est pas le meilleur endroit ou écrire ce que je vais écrire, mais bon. j'ai du mal a comprendre l'expérience. juste le fait d’observer annule les interférences, comment cette particule peut savoir qu'on l'observent? est-ce que c'est possible que le fait d'observer la particule annule la dualité onde-corpuscule parce qu'en l'observant on a absorbé un peu de son énergie? ce qui lui enlève les propriétés d'ondes. comme pour un Photon, peut-on l'observer sans l'absorber? on mesure une chose qui présente des propriétés d'ondes ou de particules, on y arrive a le mesurer on annulant ses probités d'ondes car on les a absorbé, si non le détecteur détecte quoi?

si ce n'est pas ça alors j'ai vraiment rien compris. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Massik1993 (discuter)

En fait "observer" une particule rompt, dans cette expérience, la superposition entre l'état du photon qui passe par la fente droite et celui qui passe par la fente gauche. Il n'y a pas "perte d'énergie", mais décohérence quantique. Donc le photon ne passe plus "par les deux fentes à la fois" et ne peut plus interférer avec lui même => disparition des franges d'interférence. C'est comme ouvrir la boite du Chat de Schrödinger. Le photon reste une entité ondulatoire, même après observation, mais les propriétés ondulatoires ne sont plus mises en évidence par une interférence. Pourriez-vous signaler quelles parties, dans l'article, pourraient être éclaircies et améliorées ? Cordialement --Jean-Christophe BENOIST (discuter) 6 janvier 2014 à 13:15 (CET)[répondre]

Des raisonnements du paragraphe : "Interprétation de la dualité" sont scientifiquement faux[modifier le code]

En effet ils résultent d'une approche qui ne fait pas clairement la distinction entre observation et phénomène observé. En physique on ne peut pas confondre l'objet de l'observation (l'onde lumineuse) avec l'observation elle même (l'impact sur le capteur de l'onde lumineuse lorsqu'elle disparait) La lumière est bien de nature ondulatoire, ce que montrent les interférences. Mais si l'émission ou la mort de l'onde lumineuse peuvent être ponctuelles, cela n'indique pas du tout que la lumière peut avoir une nature corpusculaire. "...car si on considère la lumière comme une onde, alors les points d'impacts sur la plaque photographique sont inexplicables..." Non, l'explication est simple : dans ce cas, les points d'impact sont une observation, pas l'objet observé. Quand elle rencontre le capteur, l'onde y meurt ponctuellement. C'est justement parce que la lumière est un phénomène ondulatoire qu'il y a simultanéité du phénomène en plusieurs points de l'espace et que l'onde lumineuse ne meurt pas toujours en un même point déterminé du capteur. Par analogie, la forme ponctuelle d'un impact de foudre au sol, ne donne pas d'information sur la nature et la forme de la foudre elle-même.

On peut supposer qu'il en est de toute la matière comme des ondes lumineuses, qui n'est pas de nature corpusculaire mais ondulatoire. Sauf à définir les corpuscules comme l'interaction des ondes et de leur milieu qui donne lieu à des phénomènes résonants ayant des quantas comme propriétés. Au passage , la masse est aussi probablement une propriété de cette interaction Onde-milieu (Onde-espace ?)— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 109.27.136.53 (discuter), le 19 janvier 2016 à 23:59 (CET)[répondre]

Ce que vous dites est essentiellement correct, mais je ne vois pas en quoi exactement l'article contredit ce que vous dites. Au contraire jusqu'à ce qu'une observation soit faite, la position d'une particule est décrite en termes d'ondes de probabilité, mais après que la particule est observée (ou mesurée), elle est décrite par une valeur précise (par exemple) va tout à fait dans le sens que vous dites. Et "...car si on considère la lumière comme une onde, alors les points d'impacts sur la plaque photographique sont inexplicables..." est vrai : l'erreur est de considérer la lumière comme une onde, ce que vous démontrez très bien. On ne peut faire d'assertion sur l'objet observé (par exemple le considérer comme une onde), seulement sur les observations. --Jean-Christophe BENOIST (discuter) 20 janvier 2016 à 00:31 (CET)[répondre]

parfois onde parfois corpuscule: pourquoi pas "ET" ?[modifier le code]

L'article commence par: La dualité onde-corpuscule est un principe selon lequel tous les objets physiques peuvent présenter parfois des propriétés d'ondes et parfois des propriétés de corpuscules ."

Est-ce qu'une meilleure introduction pourrait être: La dualité onde-corpuscule est un principe selon lequel tous les objets physiques présentent (à la fois ?) des propriétés d'ondes ET des propriétés de corpuscules ."

La formulation est délicate, que cela celle existante ou celle que vous proposez. Implicitement, la formulation actuelle de l'article fait référence aux expériences, qui selon la mesure effectuée, exhibent un comportement corpusculaire ou ondulatoire, la plupart du temps assez exclusifs. Avant la mesure, on ne peut pas vraiment dire "des propriétés d'ondes ET des propriétés de corpuscules".. Avant la mesure, on a une fonction d'onde, un état quantique. Donc, il faut préciser si on parle de l'état avant ou après une mesure : avant ce n'est ni l'un ni l'autre, c'est abstrait en tout cas, après c'est plutôt l'un ou bien l'autre, parfois l'un parfois l'autre en fonction de la mesure. --Jean-Christophe BENOIST (discuter) 14 mars 2019 à 11:31 (CET)[répondre]

Expériences d'Yves Couder[modifier le code]

Ne faut-il pas citer Yves Couder ?

Une dualité onde-particule macroscopique : le rôle de mémoire des ondes , exposé du 11 mai 2012 donné dans le cadre des Conférences de physique non-linéaire 2012[lire en ligne [archive]]. --Tristram (discuter) 21 août 2021 à 21:35 (CEST)[répondre]

Ce n'est pas nous qui décidons, mais des sources notables qui ont remarqué ces informations. Si ces informations n'ont pas été remarquées alors elles ne sont pas suffisamment notables pour WP. Jean-Christophe BENOIST (discuter) 21 août 2021 à 22:52 (CEST)[répondre]
Et c'est quoi ça ? Cela ne suffirait-il pas ? https://www.quantamagazine.org/famous-experiment-dooms-pilot-wave-alternative-to-quantum-weirdness-20181011/ Après tout, c'est un scientifique français bien connu, même si, malheureusement, il est déjà décédé. Le Quanta Magazine est également connu sur Wikipédia français. --Tristram (discuter) 22 août 2021 à 02:11 (CEST)[répondre]