Discussion:Erethizontidae

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Porc-épic[modifier le code]

Comme suggéré dans la page, le Porc-épic ne peut lancer de pics volontairement. Il peut par contre arrivé que certains se détachent lorsqu'il est nerveux mais le mouvement n'est pas conscient et n'est pas contrôlé.

Informations à trier[modifier le code]

Bonjour, je déplace ici ces informations de l'article qui ne concernent pas forcement toutes les espèces et peut-être même pas les espèces américaines -- Amicalement, Salix [Converser] 27 septembre 2013 à 23:15 (CEST) :[répondre]

Ils sont bruns et connus pour leur pelage de poils et de piquants qui les protège des prédateurs. Ils se tiennent comme un ours, la plante du pied posée fermement sur le sol. La queue, musclée et courte, s'arrondit à son extrémité. De caractère solitaire, myope, il limite sa vie sociale aux nécessités de la reproduction et, parfois, au partage de la végétation, sa nourriture. Il est le troisième plus gros rongeur après le capybara (aussi appelé cabiai) et le mara (ou lièvre de Patagonie).

S'il se sent en danger, le porc-épic tentera tout d'abord de gagner l'abri le plus proche, allant pour l'occasion jusqu'à galoper sans grâce. Mais si la retraite est impossible, il chargera en reculant, et menacera l'intrus en fouettant l'air de sa queue. La vitesse acquise par celle-ci détachera alors parmi les 30 000 piquants les plus fragiles, qui fendront l'air comme s'ils avaient été projetés. En un seul combat, l'animal peut ainsi perdre plusieurs centaines d'épines !("Contrairement à ce que certains pensent, les piquants ne se lancent pas, il faut les toucher pour qu'ils se détachent de l'animal.")

Les piquants sont creux et incrustés dans la peau. Chacun d'entre eux est fixé à un petit muscle qui le fait alors se dresser, et révéler, à moins de 1 centimètre de son extrémité, sa botte secrète : plusieurs dizaines de petits aiguillons noirs qui gonfleront à l'humidité et pénétreront par le jeu des muscles dans la chair à moins d'être retiré rapidement ce qui affaiblira la victime pouvant même l'empêcher de manger.

Ses prédateurs, en particulier les martres, tuent le porc-épic en le mordant à la tête ou en le retournant sur le dos pour attaquer son ventre non protégé.