Discussion:Famille de Chastenet de Puységur

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Origine de noblesse[modifier le code]

Si vous voulez dire que Gustave Chaix d'Est-Ange se trompe alors écrivez un ouvrage pour le démontrer, bon courage d'ailleurs car Chaix d'Est-Ange a fait une bonne analyse de cette famille et bien sourcée en outre et il fait de plus partie des auteurs les plus sérieux du XIXe siècle français.

En quoi est-ce problématique que cette famille se soit agrégée à la noblesse au XVIe siècle ?

De plus son titre de marquis est de courtoisie et non régulier car probablement pris au moment de l'admission aux Honneurs de la Cour.

Quant à l'ordre du Saint-Esprit il concernait toute la noblesse et non la "haute noblesse" seulement.

De par leurs mérites militaires les Chastenet de Puységur ont eu droit, à juste titre, à de hautes récompenses, mais cela ne doit pas être une raison pour leur inventer une origine plus ancienne que la réalité. Ils n'en ont pas besoin.

Cordialement. Iyy 9 mars 2012 à 08:52 (CEST)

En quoi l'ouvrage de Chaix d'Est-Ange serait-il plus consensuel que celui de La Chesnaye des Bois, rédigé en 1776 ?
Pour ma part, l'origine chevaleresque de cette famille est une certitude. Par ailleurs, vous dites que l'ordre du Saint-Esprit concernait toute la noblesse : peut-être, mais seuls les membres de la plus haute et ancienne aristocratie en étaient chevaliers (au nombre de cent). Le maréchal de Puységur fut fait chevalier du Saint-Esprit en 1739 et avait été auparavant précepteur militaire du jeune Louis XV.
De plus, il descendait par sa grand-mère paternelle des rois de France et de Navarre : vous avez raison, cette famille n'a rien à prouver de ses origines ...
Merci pour cet échange : je crois que nous n'arriverons pas à nous convaincre, mais il fut instructif.
ALMG 13 mars 2012.
Le fait que Chaix d'Est-Ange soit en désaccord avec La Chesnay montre bien qu'il n'y a pas consensus, mais en plus de cela Chaix d'est-Ange s'appuie sur plusieurs travaux différents pour son analyse donc il est plus crédible. Donnez des sources qui prouvent que l'ordre du Saint-Esprit n'était réservé qu'à la seule "haute noblesse" avant d'affirmer ce fait qui ne tient pas debout. Le St Esprit était un ordre de récompense et depuis quand la "haute noblesse" se définit-elle par l'ancienneté ? Je vous engage à relire l'histoire de France. Les honneurs dont a bénéficié cette famille sont issus de ses exploits militaires et non de sa prétendue ancienneté comme le dit bien Chaix d'Est-Ange qui est plus crédible que vous.
Cordialement iyy 13 mars 2012 à 08:51 (CEST)

Je ne prétends pas que l'ensemble des dignitaires du Saint-Esprit appartenait à la haute noblesse, mais les cent chevaliers de cet ordre (ordres du roi car s'y additionnait l'ordre de Saint-Michel)en étaient issus. Quant aux exploits militaires des Puységur, il ne m'avait pas pas échappé que depuis Jacques de Chastenet-Puységur - pour ne citer que cette branche -, lieutenant-général des armées du roi(1600-1682) juqu'à Maurice de Chastenet de Puységur (1825-1879), six générations successives d'officiers avaient servi brillamment les armées de nos princes souverains. Enfin, merci pour votre conseil, mais je ne vous ai pas attendu pour m'intéresser à l'histoire de France.

ALMG 14 mars 2012 à 8:51.

Pour l'ordre du Saint-Esprit pensez ce que vous voulez cela m'est égal mais pas de modifications de cet article sans sources vérifiables comme preuves.
cordialement iyy 16 mars 2012 à 12:21 (CEST)
J'ai cité mes sources : elles valent bien les votres. Et maintenant restons en là, merci.
ALMG 16 mars 2012 à 17h46.
Vos sources sont démenties par Chaix d'Est-Ange c'est pourquoi je vais commencer la généalogie de cette grande famille avec Nicolas Chastanier, marchand à Lectoure, comme l'indique Chaix d'Est-Ange. Quant à la période avant lui elle sera placée dans un paragraphe "Débats sur les origines". C'est la solution la plus consensuelle à mon sens pour refaire cet article.
cordialement Iyy 19 mars 2012 à 12:58 (CEST)

"Pour La Chesnaie-Desbois, il est écuyer, seigneur de Puységur et de Camp-Sègue, donna quittance, le , à Pierre Ruffier, à raison de son administration des biens de défunts Jean de Chastenet, chevalier, seigneur de Puyferrier et de La Bouttière, et de Dominge de La Lande, ses père et mère"

Généalogie non consensuelle[modifier le code]

Sources[1],[2] :

de Chastenet et de Puyferrier[modifier le code]

Le premier des seigneurs de Chastenet dont on a connaissance et une filiation connue, suivie et prouvée par titres[réf. nécessaire], est :

  • (I) Pierre de Chastenet, chevalier, seigneur du dit-lieu et château de Chastenet en bas-Armagnac, proche d'Aire sur l'Adour, qui avait eu pour bienfaiteur de ses enfants, Vital de Chastenet, chevalier, son grand-oncle, par acte du mois de juin 1186 enregistré au chapitre de Nogaro pour la cession d'une maison située à Pouydraguin (Gers).
    • Vital de Chastenet, chevalier, qui a continué la branche des seigneurs de Chastenet en Armagnac.
    • Jacques de Chastenet, chevalier, père de,
      • Pierre de Chastenet, damoiseau père de,
        • Bernard de Chastenet, chevalier, confédéré du pays de Foix, en 1338, et chambellan du roi de Navarre en 1365, qui eut :
          • Jean de Chastenet, né en 1377, l'un des gentilshommes qui jurèrent, en 1449, le traité de paix entre les maisons d'Albret et de Grammont.
          • Et Guy de Chastenet, qui suit,
  • (II) Guy de Chastenet, chevalier, seigneur de Chastenet en Bas-Armagnac, reçut de Hugues de Ramnulphes, du lieu de Julhac, en Limousin, la promesse qu'il lui donnerait en mariage sa fille avec une grosse dot par acte des nones de . Il fit don perpétuel à Bertrand, Chanoine du Chastelard, et à la maison de Charbonnières, dont il était recteur, des dîmes qu'il possédait dans les paroisses de Mellet, de Fribes et de Sainte-Marie, ce qui est prouvé par l'acte d'investiture d'Adémar, fils du vicomte de Limoges, en date du mois de . Il est établi en Limousin au XIIIe siècle, auteur de la branche des seigneurs de Chastenet de Puységur. Il épousa Almodie de Ramnulphe, fille de Hugues.
    • Jean de Chastenet, qui suit,
    • Anselme de Chastenet, échanson de Philippe le Bel, et qui selon une charte mentionnée par Marion, dans son XIII° plaidoyer, p. 515, lui assigna sur son Trésor du Temple à Paris, une rente annuelle de trente livres, à titre d'hérédité perpétuelle pour lui et ses hoirs nés et à naître en légitime mariage.
  • (III) Jean de Chastenet, 1er du nom, chevalier, seigneur de la Pléau, de Lage, de la Maison-Rouge, et de quelques fiefs de la châtellenie de Nieul en Limousin, reçut une donation d'Audoin et d'Anselme de Chastenet, ses frères, du consentement et vouloir de Guy de Chastenet, chevalier, leur père, le mercredi avant la fête de Saint Georges, l'an 1279. Il rendit hommage à l'évêque de Limoges pour les biens et terres qu'il possédait dans la châtellenie de Nieul, le .
  • (IV) Jean de Chastenet, 2e du nom, damoiseau, puis chevalier, seigneur de Pléau, etc., il rendit hommage à l'évêque de Limoges des terres qu'il avait le . il eut pour fils :
  • (V) Jean de Chastenet, 3e du nom, chevalier, seigneur de Pléau, etc. Il épousa 1° N..., et 2° Guiotte de Séchaud. du premier lit il eut :
    • Hélie de Chastenet, qui suit,
  • (VI) Hélie de Chastenet, 1er du nom, damoiseau, seigneur de Puyferrier (généralité de l'Ile jourdain en Limousin actuellement propriété de la famille des Courtis de La Groix, dept de la Vienne), fonda un anniversaire et des prières au chapitre Saint-Junien, en Limousin, le . Il épousa Ade de Landrige :
    • Pierre de Chastenet, seigneur de Villars, et habitant de Noint (en tant que légataire de tous les biens que Hélie y possédait) ainsi que son fils.
    • Helie de Chastenet qui suit,
  • (VII) Hélie de Chastenet, 2e du nom, chevalier seigneur de Puysferrier, eut pour enfants :
    • Jean de Chastenet, qui suit,
  • (VIII) Jean de Chastenet, 4e du nom, chevalier, seigneur de Puyferrier et de la Bouttière. Il épousa : 1° N..., et 2° Dominge de La Lande, qui testa, le , en faveur de son fils unique, Nicolas. Elle était la fille de Norbert de La Lande, chevalier, seigneur des Praux, et de Françoise de Chastenet. du premier lit vinrent :
    • François de Chastenet, qui suit.
  • Et du second Lit
    • Nicolas de Chastenet, auteur de la branche des seigneurs de Puysegur et de Campsègue (filiation non consensuelle).
  • (IX) François de Chastenet, chevalier, seigneur de Puyferrier, et de la Grande et Petite-Rye, épousa : 1° Françoise d'Etourneau, et 2° Jeanne de Peyrusse d'Escars, qui lui apporta la terre de Puységur. de ce second mariage vint :
    • Madeleine de Chastenet, dame de Puyferrier, etc., mariées à René de Turpin, chevalier, qui en eut Jacques de Turpin, seigneur de Puyferrier, etc., père de Jeanne de Turpin marié à N... de Londex, ainsi seigneur de Puyferrier et de Vayrac en Limousin dont la famille s'est éteinte vers 1774.

Déplacé ici car généalogie non consensuelle, Iyy (discuter) 06 mars 2020 à 15:38 (CET)[répondre]

Nouvelle proposition d'écriture pour cet article[modifier le code]

Je propose une nouvelle écriture de cet article en partant de ce qui est consensuel (depuis la fin du 16e siècle) + un paragraphe pour indiquer le débat autour de Nicolas de Chastanet. Je partirai donc de la version de Chaix d'Est-Ange qui est la plus complète et démonstrative et je présenterai l'autre hypothèse de filiation qui est non consensuelle et qui est d'ailleurs traitée à ce titre dans l'article de Chaix d'Est-Ange.

OK pour ce compromis qui sera mieux que l'actuelle rédaction ?

Cordialement. Iyy 9 mars 2012 à 12:26 (CEST)

Armoiries[modifier le code]

Les armoiries de cette famille me font beaucoup plus penser à des armes datant de l'époque moderne plutôt que du Moyen-âge. Cordialement, Iyy (discuter) 9 janvier 2018 à 10:20 (CET)[répondre]

  1. de La Chesnaie-Desbois, Dictionnaire de La Noblesse Francaise, Paris,
  2. Robert de Puysegur, notice généalogique sur la maison de Chastenet de Puysegur, Dissé-sous-le-Lude,