Discussion:Famille de Chaumont-Quitry

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Refonte à faire[modifier le code]

Bonjour Notification Arx76 :, voilà encore un article à faire évoluer ensemble si vous avez le temps, cordialement, Iyy (discuter) 26 février 2023 à 18:20 (CET)[répondre]

Bonsoir et merci, avec plaisir quand je le pourrai. Cordialement Arx76 26 février 2023 à 19:25 (CET)[répondre]

Article totalement orienté. Iyy (discuter) 26 février 2023 à 19:45 (CET) Notification Arx76 :[répondre]

Complètement. Mais vous passez un joli coup d'aspirateur. Cordialement Arx76 26 février 2023 à 19:46 (CET)[répondre]

Développements non prouvés, non consensuels, TI[modifier le code]

Elle descendrait en ligne directe et masculine de Henri Ier, roi de France[1] (capétiens) par Hugues de France comte de Vermandois et de Chaumont-en-Vexin, ou des comtes du Vexin (carolingiens), par Geoffroy vicomte de Chaumont-en-Vexin, vivant en 975, Robertus de Calvo monte, prévôt de Chaumont-en-Vexin[2], dit l’Éloquent, seigneur de Quitry. Les deux familles s’allièrent[3] au XIIIe siècle.

Précisions apportées pour la recherche sur l’origine des Chaumont[modifier le code]

Le rattachement des Chaumont répond généralement à deux logiques ; un rattachement aux comtes du Vexin, pour certains historiens et ou un rattachement capétien.

Depuis un certain nombre d’années les deux thèses s’affrontent, il n’est pas encore possible de trancher définitivement et complètement.

Présentation de l’hypothèse du rattachement capétien, et pour cela tout d’abord reconstituer la filiation de Henri de Vermandois, comte de Chaumont-en-Vexin à Renaud de Chaumont, fils de Jean Ier de Chaumont, mentionné en 1297[4]. Ensuite il manque un lien pour parvenir à Mathieu «le Jeune» de Chaumont, écuyer , cité en 1312 et 1315[5].

Henry de Vermandois est sans doute né entre 1080 et 1085. Auguste le Prevost parle d’un mariage dès 1068[6] suivant Orderic Vital dans Historiae ecclesiasticae libri tredecim, tome 3, repris par Auguste Le Prevost en 1838 : “Eodem anno Hugo, Crispeii comes, Radulfo et Henrico, filiis suis, terram suam commisit » une note de Le Prévost, précise « Hugues le Grand, frère de Philippe Ier, roi de France, devint comte de Crépi et de Valois par son mariage (circa 1068) avec Adèle fille d’Herbert IV, comte de Vermandois ». Henri de Vermandois, le second fils et sans doute le quatrième enfant, pourrait être né vers 1080/1085. Henri de Vermandois, comte de Chaumont-en-Vexin, second fils d’Hugues de Vermandois, frère du roi Philippe Ier, est donc cousin germain du roi Louis VI le Gros.

Sceau de 1182 d'Hugues de Chaumont. AN, S 2163.

Le comté de Chaumont

Il est donné à Hugues[7] « le Borgne » de Chaumont, dans une charte[8] de Saint Martin de Pontoise. Le texte de cette charte est :

« Hugo de Calvomonte dictus Panis Avenae, Galonis filius, Drogonis frater, et Hugonis cognomento Borgnii, Calvomontis comitis, quem quidam volunt regiorum exercituum prefectum seu connestabulum, patruus Ingelramni de Calvomonte seu de Tria, quem Sugerius S. Dionysii abbas, in vita Ludovici VI, virum cordatum et strenuum appellat , de quo mos plura dicemus, cum, relicta saeculari militia, monasticum vestem institutum salubriter aetate jam profectus Flaviaci suscepisset, rogassetque Drogonem fratem ut ex iis bonis quae reliquerat ut quae hereditario jure possidebat, aliquam partem Flaviaco concederet, Drogo ipse fratris precibuslibenter assientiens, interveniente amborum matre, totam decimam apud Fresnas, impetiit ».

Le comté de Chaumont-en-Vexin [9]

Qu’il soit désigné comte ou vicomte de Chaumont ou sans titre, Hugues de Chaumont, dit Le Borgne est seigneur suzerain des principaux fiefs du comté de Chaumont en Vexin. Ce qui en fait le seigneur le plus important du comté de Chaumont[10]. il est donc nécessairement l’héritier et sans doute le fils ainé du comte de Chaumont-en-Vexin, Henri de Vermandois.

« L’ainé des fils de Hugues III était mort dès le 31 mars 1149[11] ; à cette date son père abandonna à Mortemer tout ce qu’il pouvait avoir de droits sur la terre qui entoure le Chêne-Gihier, du consentement de Luce et de leurs trois fils, Galon, Eudes et Hugues ».

Autres sources manuscrites et liste non exhaustive d'actes anciens pour l'histoire de la Maison de Chaumont :

  • 1130-1198, cartulaire de Notre-Dame de Mortemer, Saint Pierre de Préaux et de Saint Martin de Troarn[12].
  • 1179, Charte de l'abbaye de Saint-Wandrille[13].

Cartulaire de l'abbaye du Val Notre Dame[14].

acte de 1315 par Guillaume de Chaumont BnF PO 716 fol. 2
Robinet de Chaumont, panetier du duc d'Anjou, acte de 1377. BnF, PO 716 fol.16.

Affaires des assises de Gisors et de Chaumont 1294

Au XIVe siècle, les deux assises devaient avoir leur siège à Gisors.[15] Lorsque le bailli ordonne de les faire publier, il fixe le jour des assises normandes et celui des assises françaises.[16]

Question du détachement puis rattachement de la seigneurie de Quitry

En 1297 « Renaud I, chevalier, possédait en 1294, Guitry, Forest et des fiefs à Chaumont. Ces terres furent en 1297, réincorporées à la châtellenie de Chaumont, et de Gisors, dont elles avaient été détachées en 1294 pour grossir celle de Neaufle, concédée à Pierre de Chambly " [17]

Guillaume de Chaumont, chevalier sgr. de Rigny Le Ferron et Quitry, acte de 1484. BnF, PO 716, fol.29.

-1239 amortissement et approbation par l’archevêque de Rouen, par Mathieu de Chaumont, et par Guillaume de Flavacourt, vente, faite en 1238[18].

-Mathieu « le Jeune » de Chaumont, écuyer et l’héritière de Quitry[19].

-Procès de 1579[20] :

« Plaidoyer fourny par Mre Jehan de Chaumont, sieur de Quitry contre Mre Georges de Fors, seigneur du fief St Clair et St Martin. Ledit fief (fut jadis à noble homme Mre Mathieu de Chaumont, chevalier, chambellan du Roy qui espousa damoiselle Jehanne de Beaumont ; les successeurs duquel vindrent Mre Richart de Chaumont, chevalier, qui espousa damoiselle Jehanne de Fours ».

D'où ça sort cette prétention non prouvée de descendre des Capétiens ? Iyy (discuter) 26 février 2023 à 19:54 (CET)[répondre]

je vais regarder quand je le pourrai Cordialement Arx76 27 février 2023 à 18:17 (CET)[répondre]

Notification Arx76 :

  1. Archives Nationales, K//1172 ; J//627.
  2. AD 78, 41 H 34 -Terrier du XIIe au XVIIIe siècles.
  3. BnF, Pièces Originales 716, folio 54
  4. AN, X/1a/8608 ; fol. 92.
  5. AN, K//53 ; no 2 et 2/3
  6. Auguste Le Prevost, Édition de : Orderic Vital, Historiae ecclesiasticae (...)., Paris, J. Renouard, 1838-1855
  7. BnF, Latin 13899, fol. 246
  8. Op. cité, Latin 13899.
  9. AN, R3* 138, folio 30.
  10. AN, L 1030.
  11. BnF, Français 20272.
  12. BnF, Latin 18369.
  13. AD de l’Oise , 16H.
  14. AN, LL 1541 et 1542.
  15. AN, JJ 89 67.
  16. AD de l'Eure, Ms. 1386.
  17. BnF, Français 29723 fol. 62, et AN, J 208 13.
  18. AN, LL 1542.
  19. BnF, Français 29723 fol. 62 ; Français 20272, folios 33 à 39 et Français 27201 folio 208.
  20. BnF, Français 27201, folio 208.