Discussion:Famille de Montecler

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Rattachements à prouver[modifier le code]

  • Robert de Montecler chambellan du comte d'Anjou, dont il obtint par engagement la terre de Beaufort.
  • Renaud de Monteclère et Martine sa femme, paroissiens en 1293 du Bourg d'Iré, donnent le lieu de la Touche à l'abbé de Saint-Nicolas d'Angers.
  • Thibault de Montecler, sergent d'armes du roi et châtelain d'Angers de 1342 a 1344.
  • Gauthier de Montecler, écuyer, était seigneur de Jurennecourt en 1372.
  • François de Montecler, nommé général des troupes envoyées par Charles VI à Gênes pour en prendre le commandement et pacifier la ville qui s'était donnée à la France, il y arriva le 19 avril 1400.[réf. nécessaire]

(non signé)

Il serait intéressant de savoir si et si oui comment ces personnages se rattachent à l'actuelle famille de ce nom. Cordialement, Iyy (discuter) 2 avril 2020 à 20:29 (CEST)[répondre]

Personnalités non sourcées (depuis 2019)[modifier le code]

  • Guillaume de Montecler, marié à Charlotte de Courceriers, fut chevalier de Guillaume de Sillé.
  • René de Montecler, fils de Jean II de Montecler, et de Béatrix de Jonchères, seigneur de Bourgon, d'Aron, de Torbechet et autres lieux. Marié à Claude Deshaies, dame de Fontenailles. Il fut d'abord guidon (officier le moins gradé qui porte l'étendard) dans la compagnie de Chavigny, promu en 1564 au grade d'enseigne (porte le drapeau) dans la même compagnie. Il fut chevalier de l'ordre du roi et capitaine de cent hommes d'armes. Il mourut des blessures qu'il avait reçues à la bataille de Saint-Denis en novembre 1567, dans l'armée du connétable de Montmorency.
  • Guillaume de Montecler, chevalier, capitaine de cent hommes d'armes dont il fit la montre à la bataille de Craon en 1591.
  • Urbain de Montecler, (1577-1641) baron de Charnay, seigneur de Launai-Pean, de Fouilloux, de Montchevrier, il fut titré marquis de Montecler en 1616. Il épousa le 18 avril 1598 Marie de Froulay, dame de Raveton († 8 mai 1641). Chevalier de l'ordre de Saint-Michel (1602), gentilhomme ordinaire de la chambre du roi, conseiller d'état et d'épée (1606), lieutenant d'une compagnie de cinquante hommes d'armes (1620), mestre de camp (colonel) en 1632. De 1631 à 1636, il n'habitait pas le château de Montecler, mais le manoir de Raveton, au bailliage d'Alençon. Il fonda le monastère des Bénédictines de Saint-Joseph d'Évron, dont sa sœur, Urbaine de Montecler, est la première prieure perpétuelle. Il fut inhumé en 1641 dans la chapelle Saint-Joseph de l'église de Châtres.
  • André de Montecler, (1600-1657), fils du précédent, épousa de Marie de La Flèche de Grisy († 2 avril 1657). Il fut chevalier de l'ordre de Saint-Michel, gentilhomme ordinaire de la chambre du roi, mestre de camp d'un régiment de deux cents hommes. Il fut inhumé dans la chapelle Saint Joseph de l'église abbatiale d'Evron.
  • François de Montecler (1641-1699), marié à Rouen, le 12 octobre 1658 à Marie Langlois de Motteville. Il portait les titres de vicomte de Raveton, seigneur du Mesnil-Mauger, la Saugère, le Tremblay, Saint-Christophe, etc. ; capitaine d'une compagnie-de chevau-légers, il fut gouverneur des ville et château de Laval. Deux de ses fils se distinguent sur les galères de Malte, d'où ils revinrent se mettre au service du roi. L'un devint capitaine d'une des galères de la religion, et l'autre major-général des dragons.
  • Henri-Jean, marquis de Montecler, marié à Adèle-Charlotte-Louise de Boisjourdan, maire de Châtres.
  • René de Montecler, après avoir été officier dans les dragons de Bauffremont, il obtint le commandement du régiment de Béarn et celui des grenadiers royaux de Touraine.
  • René-Georges-Marie de Montecler (1738-1810), après avoir été en octobre-novembre 1787 l'un des membres influents[réf. nécessaire] de l'assemblée provinciale de Touraine, émigre en 1791. La marquise de Montecler qui avait envoyé le 24 février 1791 à la Gazette de Paris le nom des prêtres de sa connaissance qui avaient refusé le serment, suivit d'abord son mari, puis rentra à Paris pour tenter de sauver une partie de la fortune de sa famille. Emprisonnée sous la Terreur, elle obtient de continuer à demeurer en tant que « citoyenne Monteclair » dans son hôtel de la rue du Cherche-Midi où sa mère avait eu un cercle renommé[1]. Elle mourut rue Garancière à Paris le 17 avril 1805.
  • Jean-Gaspard de Montecler, né en mars 1733, dit l'« abbé de la Rongère ».

B-noa (discuter) 15 avril 2024 à 10:55 (CEST)[répondre]

  1. Elle tenait un salon rue du Cherche-Midii où elle recevait la « petite académie de peinture » que décrira Jacob-Nicolas Moreau.