Discussion:François-Marie Luzel

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Ne serait-ce que par ses activité d'éditeur intellectuel, il est impossible de prétendre que Luzel n'était pas un linguiste. Je le rétablis donc dans cette catégorie.

Ch. Rogel 26 fev 2005 à 19:18 (CET)

Quelqu'un a supprimé à nouveau la catégorisation Linguiste pour Luzel : est-ce parce qu'il n'est pas passé par l'Université? Ce serait du corporatisme.
Dans l'histoire de la langue bretonne, nombreux sont les philologues (on ne disait pas linguiste au XIXe) qui sont dans ce cas : chose normale pour une langue que l'Université n'a jamais réellement adoptée. Luzel qui a fait un travail d'édition de manuscrits anciens mérite, sans contestation possible, ce qualificatif de linguiste.

Ch. Rogel 28 fev 2005 à 20:53 (CET)

S'il suffisait d'avoir fait un "travail d'édition de manuscrits anciens" pour "mériter" le qualificatif de linguiste, la liste des linguistes s'allongerait de noms qui y surprendrait : Champollion, Clément Marot, Luther, André Mary, Donatien Laurent... 5 qui me viennent à l'esprit... Avec ce raisonnement on en trouve un millier. Et je ne suis pas un linguiste estampillé par l'Université, (d'où sort cette accusation ?), c'est seulement une histoire de bon sens, voyons !... C'est un éditeur, un folkloriste, un philologue si on veut. Enfin, c'est Luzel, le collecteur le plus intéressant de notre Basse-Bretagne, à mon goût. Un homme important. Mais pas un linguiste.
Ni un poète d'ailleurs. Ou alors il faut accorder ce titre aussi à tous les poètes du dimanche de la Pensée Universelle. Et d'ailleurs, d'ailleurs, hélas. Il a proposé des textes en vers, mais qui y a ressenti de la poésie ? CTanguy 28 fev 2005 à 22:30 (CET)

Bretonnant / Brittophone[modifier le code]

J'ai rétabli ma première version avec l'adjectif brittophone, car le Wiki doit utiliser un langage contemporain et non une relique langagière (bretonnant est un hapax, puisque francisant a cédé devant francophone et anglaisant devant anglophone). De plus, l'ignorance des journalistes, même bretons, leur fait couramment employer le terme de bretonnant pour signifier militant politique breton. Seule solution : aligner le breton sur les normes actuelles du français, pas celle du Moyen-Age : c'est bretonnant qui est devenu anachronique.

Ch. Rogel 16 mar 2005 à 00:59 (CET)

Je réverte, car après vérification dans le dictionnaire de l'académie française, "bretonnant" y est référencé (Qui parle la langue bretonne), et "brittophone" non. Je n'ai rien contre les néologismes, ni contre la langue contemporaine, mais il me semble inutile de se jeter sur un mot sans autre prétexte qu'il est à la mode. Werewindle 16 mar 2005 à 10:42 (CET)

Je confirme. Un bretonnant parle breton. Un brittophone serait un bretonnant honteux? ou un faux bretonnant? Shelley Konk 24 février 2006 à 12:33 (CET)[répondre]

Nationalisme d'un nom, fluctuance et subvention[modifier le code]

  • La catégorie Nationalisme breton ne me semble pas pertinente. C'est une manie, tout ce qui touche à la culture bretonne se voit catégorisé ainsi, par des IP. Je supprime Ollamh 29 mai 2005 à 23:36 (CEST)[répondre]

Et que viennent faire "les nationalistes" encore à propos des noms ou surnoms donnés à Luzel? A supprimer ou à développer de façon neutre.Shelley Konk 24 février 2006 à 12:33 (CET)[répondre]

Je ne comprends pas cette histoire de noms nationalistes : qui dit ça ? S'il faut faire un sort à toutes les bêtises du monde ? Luzel s'appelait An Uhel, et le nom, comme d'habitude, n'avait qu'une orthographe fluctuante. Heureux temps ! — D'autre part, les commentaires sur la réédition de Ma c'horn bro sont maladroits, et sentent l'irritation, sinon la haine : pourquoi "en l'absence de Françoise Morvan", en 1943, quand elle n'était pas née ? — C'est si utile que ça ? Et s'agit-il d'orthographe, ou d'autre chose ? (A. D.)

Détail bibliographique : la réédition des Gwerziou et Soniou, de fait, porte en page de titre le nom de Donatien Laurent, mais aucun texte de Donatien Laurent dans le corps des ouvrages. S'agit-il d'un accident éditorial (très possible), et jamais corrigé, par incurie des éditeurs ? (A. D.)

Les détails bibiographiques ont, à mon avis, leur place normale ici, pas les idioties antinationalistes (l'idéologie, confine toujours à la bêtise) de la version "Huster" (voir historique).
Après recherche, la modification sur les noms donnés à Luzel par les nationalistes vient de CTanguy, le 10 juin 2005. Pardon M. Huster. Shelley Konk 2 avril 2006 à 14:56 (CEST)[répondre]
Vous pouvez adopter toute "orthographe fluctuante" de votre choix en français, je n'y vois personnellement aucun inconvénient. Luzel en voyait, lui, puisqu'il a laissé tomber la fluctuance pour se faire éditer en français.
La majorité des enseignants et éditeurs considèrent que la fluctuance n'a pas sa place à l'école ni dans l'édition en breton, mais vous pouvez tenter de les convaincre du contraire. Je suis sûr que vous avez d'excellents arguments.

Fric et indécence[modifier le code]

Par contre, les jérémiades sur des subventions du siècle passé (on en refuse tous les ans) pourraient avoir leur place dans un article spécifique: subventions accordées ou refusées aux oeuvres de Françoise Morvan.
J'espère que vous veillerez à ce qu'il soit exhaustif. Shelley Konk 29 mars 2006 à 10:47 (CEST)[répondre]


Je trouve indécente la dernière intervention de Shelley Konk. (A. D.) - Merci de vous modérer.

Abus à faire figurer dans l'article adéquat, avec argumentation sérieuse si possible. Luzel, ici, n'y est pour rien. Merci de me donner l'occasion de le rappeler. Shelley Konk 1 avril 2006 à 12:24 (CEST)[répondre]

Parler de "fric", comme vous dites, c'est parler de pouvoir, et de vision, autorisée ou non, en l'occurence, de la culture bretonne. - Ceci, une dernière fois, ayant été établi et, d'une façon ou d'une autre, sanctionné par la justice. Mais, pour ne plus revenir à cet aspect, je voulais souligner, une fois n'est pas coutume, l'intérêt de toutes les citations choisies par Shelley Konk : chacune mérite une discussion, et toutes montrent la passion de Françoise Morvan pour la culture bretonne dans sa complexité et son historicité. J'ai particulièrement été sentislbe à la citation sur le problème devant lequel Luzel s'est trouvé pour rédiger de la prose en breton : une prose qui prenne en considération non plus seulement la langue des sermons, mais celle de la conversation. Et, quand vous mettez en exergue, sans doute comme une énormité, que Luzel admet la supériorité du français, si je comprends bien, il s'agit d'une supériorité de tradition littéraire, au moment où Luzel commence à écrire, le premier, pour retranscrire un conte en breton (alors que les contes français, très litéraires, mais célèbres dans le monde entier à l'époque, sont retranscrits depuis déjà des siècles. Tout cela est réel. Voilà de quoi converser sérieusement, sans violence, sur dres problèmes fondamentaux, et non plus sur les mérites ou les démérites de celle que vous appelez "Morvan". (S. Mendel)

La phrase de Madame Morvan sur la "supériorité du français" ne s'appuie sur aucune citation de Luzel: ce n'est pas sérieux. Ni fiable. On est prié de croire sans voir.
Si Monsieur Mendel peut suppléer ici les manques de cet ouvrage je l'encourage à le faire.
Cette phrase n'est pas non plus expliquée: l'interprétation de Monsieur Mendel n'est qu'une interprétation. Il en est d'autres. Qui ne sont pas basées sur l'amour que Madame Morvan porterait à la langue de ses ancêtres.
Une autre expression choisie comme cette langue "ethniquement pure", qui n'est pas de Luzel, à moins qu'elle n'"oublie" de le signaler, témoignent des intentions manipulatrices. Kergidu 12 avril 2006 à 16:32 (CEST)[répondre]
Quel dommage : on retombe dans les mêmes stupidités, alors que, pour une fois, il y avait possibilité, semblait-il, de parler posément. Mais non, Kergidu reprend un fil réglé dans un autre article, où il était expliqué ce que c'était que cette "langue ethniquement pure", c'était justement la langue pronée par La Villemarqué. Ces sujets m'intéressent, moi, qui ne suis pas bretonnant, parce que je m'intéresse à Israel et à l'hébreu. Cher Kergidu, du nerf, montrez vous moins haineux que vous ne l'êtes, vous porterez mieux. (S. Mendel)

Rendre à Madame Morvan ce qui n'est pas à La Villemarqué ni à Luzel[modifier le code]

Suffit-il de citer Madame Morvan, puisqu'il est interdit de l'appeler Morvan tout court (comme elle s'interdit de dire Luzel, Synge, Dostoievski, comme les journaux s'interdisent probablement de dire Bush, Castro ou Chirac), et de signaler ses inexactitudes, incohérences ou anachronismes, pour s'entendre dire qu'il s'agit de "stupidités"? Qui a parlé de "langue ethniquement plus pure"? La Villemarqué? Non. Luzel? Non. Madame Françoise Morvan? Oui. S'en explique-t-elle? Non. Sujet il est vrai déjà abordé, et réglé, comme vous dites, dans la page discussion de Le Monde comme si.

Mais passons à autre chose Vous nous faites aimablement part de votre intérêt pour l'hébreu. Vous semblez suggérer que cet intérêt aurait un lien avec Luzel. Comme ce lien ne m'apparait pas évident, pouvez vous nous éclairer? Cordialement. Shelley Konk 13 avril 2006 à 15:41 (CEST)[répondre]

Mais oui. La création de l'hébreu moderne, liée à l'idéologie sioniste, et le dépérissement encouragé du yiddisch en Israel, voilà un de mes sujets de réflexion, pour des raisons familiales, sans doute, mais pas seulement (mais ce n'est pas le lieu, ici, d'en parler plus profondément. Quoique...).

Dernière chose : vous ne dites "Weill", mais "Simone Weill", ni "Royal", mais "Ségolène Royal". Ni "Beauvoir", mais "Simone de Beauvoir". C'est un privilège qu'on les femmes (ou une caractéristique de notre langue ?) que, le nom de famille employé seul est ressenti comme injurieux pour une femme. (S. Mendel).

De la galanterie au yiddisch il n'y a qu'un bas: breton.[modifier le code]

Mes connaissances du français étaient donc limitées (tout le monde n'est pas natif francophone) puisqu'elles n'allaient pas jusque là. Je disais bêtement, comme certains médias, Bardot, Deneuve, Longo, Pérec (quand ce n'est pas la Bardot, etc.). Pas le même monde. Je ne sache pas qu'elles s'en offusquent. Elles. Je crois aussi savoir que dans les établissements scolaires à fort pourcentage féminin les enseignantes sont aussi appelées par leur nom. Mais Luzel a sûrement reconnu quelque part la supériorité de la galanterie française sur cette preuve d'horrible machisme (on n'est plus à un anachronisme près) breton.
Le yiddisch est-il donc aussi mal protégé en Israel que le breton l'est en France? Nous connaissons autre chose que le "dépérissement encouragé": l'obstruction volontaire à l'enseignement et les campagnes de dénigrement médiatique. Cordialement.

Shelley Konk 14 avril 2006 à 07:29 (CEST)[répondre]

Je n'ai pas l'impression que l'enseignement du breton soit défavorisé, par rapport à l'enseignement des autres langues (étrangères), et, une fois encore (cf. un autre fil de discussion), l'image du breton est très positive (à preuve son utilisation par les grands groupes capitalistes). Ce qui est non pas dénigré, mais mis en cause, ce sont certaines prises de position politiques de certaines personnes parlant au nom de la Bretagne et de la langue bretonne, mais ne représentant que peu et l'une et l'autre. Utilisateur : Samuel mendel

Seuls des élus peuvent évidemment prétendre parler au nom de la Bretagne. Autrement, tant que la parole est libre, chacun peut s'exprimer en son nom, ou au nom du groupe (syndicat, cercle, club, association) dont il défend les intérêts. Vous semblez souhaiter mettre des personnes en cause. Faites le donc alors plus franchement: on n'arrive pas à comprendre de qui ni de quoi vous voulez parler. Vous semblez connaitre de "grands groupes capitalistes" qui utilisent le breton. Je n'arrive vraiment pas à voir de qui il peut s'agir. N'hésitez donc pas à éclairer ma lanterne. Shelley Konk 15 avril 2006 à 15:29 (CEST)[répondre]

Mais non, je ne veux mettre en cause personne. Je parlais de l'utilisation de la "celtitude" par un courant de décideurs qui se sont assez récemment regroupés autour du lobby de Locarn. Et vous parliez de "campagnes médiatiques" contre le breton. Ce qui était sans doute un lapsus calami. Mais, ici, nous sommes loin de Luzel. Utilisateur : Samuel mendel

D'accord, nous sommes loin de Luzel. Mais c'est vous qui avez dit "l'image du breton est très positive (à preuve son utilisation par les grands groupes capitalistes)". Soit vous en parlez en connaissance de cause, et dans ce cas il faut préciser un peu pour les ignares dont je suis, soit vous répétez ce que vous avez lu ou entendu, et qui n'est peut-être pas si fiable. La celtitude c'est autre chose: pour beaucoup de Bretons c'est une branchitude inventée (par les médias faiseurs de mode ou vendeurs de disques parisiens) pour remplacer une plus ancienne et depuis remplacée par une plus nouvelle. Shelley Konk 16 avril 2006 à 12:36 (CEST)[répondre]


Ecrivain régionaliste[modifier le code]

Après le costume breton régionaliste du plus bel effet, nous voilà avec la catégorie: écrivain régionaliste français inventée par Archéos, sans même la définir, ce qui est on ne peut plus encyclopédique. Pourquoi pas des sportifs régionalistes, tant qu'on y est? Tout ça pour qu'ils ne soient pas bretons? C'est l'ethnocentrisme appliqué à un ethnologue, personnage qui lui, par définition, comprend la diversité culturelle, et ne vise pas à la rabaisser. Shelley Konk 17 juillet 2006 à 20:49 (CEST)[répondre]

Voir la discussion sur Catégorie:Écrivain régionaliste français

Trame narrative[modifier le code]

A propos d'une citation de Luzel très intéressante, relevée par Shelley Konk, j'ai changé l'interprétation, puisque Shelley Konk, me semble-t-il, ne l'avait pas comprise :

C'est qu'il ne sait pas lire.Shelley Konk 21 juillet 2006 à 05:00 (CEST)[répondre]

il ne s'agit pas de dire que telle langue et plus ou moins importante, mais de relever qu'un conte est d'abord une structure, une trame narrative, quelle que soit la langue dans laquelle il est dit ou noté. Le travail du collecteur est le respect de cette trame narrative, plus que le respect, dit Luzel, à aux mots même du conteur. Aujourd'hui, avec le magnétophone, on peut garder les deux ; Luzel, devant noter très vite ce que raconte une personne qui ne sait généralement pas écrire, et ne prend donc pas en compte le temps qu'il faut pour rédiger, se concentre sur la structure. En cela, il est éminemment moderne, et cela explique qu'il reste une référence primordiale pour tous les chercheurs en traditions populaires, bretons ou pas. Alain Derrien à 21:51

Et tout cela pour virer ce qui concerne la langue bretonne. Derrien dans ses oeuvres. Luzel est moderne et révolutionnaire quand il ne s'intéresse pas au breton. Grandiose. Et encyclopédique. Shelley Konk 21 juillet 2006 à 05:00 (CEST)[répondre]

nous sommes là dans le typique de Shelley Konk. D'abord, du caviardage. Ensuite, une phrase volontairement stupide, pour empêcher la construction d'un argument : qui dit qu'il s'agit de "virer ce qui concerne la langue bretonne" ? (sous-entendu, la langue bretonne, c'est moi, ou nous — réflexe nationaliste). Qui dit que Luzel "ne s'intéresse pas au breton" ? Il s'intéresse au conte, et se montre, dans la phrase en question, quasiment un précurseur de Propp. Un Breton devrait, tant qu'à faire, être fier qu'un autre Breton, au XIXème siècle, ait une idée si profonde ? Un conte est une structure en mouvement, c'est ce qui lui assure son éternité, et son universalité. Et dire que Luzel ne s'intéresse pas au breton, de la part d'un nationaliste breton, est, là encore, révélateur : il ne met pas la langue au-dessus des hommes, il la met chez les hommes. Et, oui, la langue est un outil. Alain Derrien 21 juillet, à 8:04

De sa retraite estivale Derrien a décidé d'ouvrir un autre front chaud. Avec quelques phrases "volontairement (?) stupides": parler de langue bretonne est pour lui un réflexe nationaliste. Et donc il vire une phrase qui signale que pour un bretonnant le texte en breton est primordial. Mais comme lui ne lit pas le breton, il s'en fout. C'est comme si on pouvait jeter les contes de Grimm en allemand à la poubelle parce que je ne lis pas l'allemand et que la traduction en français me suffit. Comment faire passer la franchouillardise égocentrique pour de l'encyclopédisme. Shelley Konk 21 juillet 2006 à 11:45 (CEST)[répondre]

Je parlais de « stupidité volontaire » parce que je n’arrive pas à imaginer qu’un homme instruit soit réellement capable de ne pas comprendre ce veut dire Luzel : encore une fois, il ne s’agit pas, dans la citation présente, d’une question de langue, mais d’une affirmation capitale pour comprendre la pensée de Luzel, et toute l’évolution de la recherche sur le conte : l’essentiel dans un conte, ce n’est pas la langue dans lequel il est noté, c’est sa structure (ce que Luzel appelle « le fond »). Je ferai remarquer d’autre part que, justement, Luzel a mis un soin particulier à reproduire les expressions même de ses conteuses, jusque dans leurs étrangetés, et que la volonté de respecter ces expressions pour l’édition de Françoise Morvan a été l’origine, de fil en aiguille, d’un séisme dont le « mouvement breton » (je devrais parler de « l’immobilisme dit-breton ») ne s’est toujours pas remis, et dont le ton de Shelley Konk est un symptôme patent — au sens où n’importe quel observateur extérieur comprend qu’il s’agit là non pas d’une querelle « totalement anachronique », mais toujours brûlante. Je ferai remarquer enfin que je lis le breton. Utilisateur : Alain Derrien 21 juillet 2006 à 14 :10.

Monsieur lit le breton, c'est une bonne nouvelle. S'il lisait le français de Françoise Morvan il y verrait que Luzel reconstruit le texte du conteur, donc qu'il ne lui est pas fidèle, comme il le prétend. Morvan a tort? C'est dans le livre Contes Bretons. Outre cela Derrien supprime la phrase signalant que "Ma c'horn bro" est en breton, alors que Bepred Breizad était bilingue. Cela c'est de l'obscurantisme. Je croyais que l'article devait être encyclopédique. Shelley Konk 21 juillet 2006 à 14:35 (CEST)[répondre]

l'insulte, cette fois personnelle, passe les limites : "Monsieur" lit le breton"... J'ai supprimé une phrase dans laquelle il était dit que les poèmes de "Ma c'horn bro" étaient "probablement" les mêmes que ceux de "Bepred Breizad". J'ai supprimé une trace d'ignorance, puisqu'il s'agit de deux recueils entièrement différents.

Je ne réponds plus sur la fidélité ou non de Luzel à ses conteurs, les arguments sont donnés, ils sont clairs pour qui veut entendre. Jouer l'âne ne grandit personne. Utilisateur:Alain Derrien 21 juillet 2006 à 19:16.

Si "Monsieur" est une insulte maintenant, faites savoir quel terme vous convient, puisque tel est votre bon plaisir. Vous assurez que les deux recueils sont entièrement différents: vous avez pu les comparer? Sinon, sur quoi basez vous cette certitude? Pourquoi (puisque je dois me répéter et que (Monsieur?) Derrien na pas voulu comprendre, il parait, selon ses dires, que "Jouer l'âne ne grandit personne"), mais pourquoi supprimer la phrase signalant que "Ma c'horn bro" est en breton, alors que Bepred Breizad était bilingue? Ne répondez plus si vous voulez. Shelley Konk 21 juillet 2006 à 20:04 (CEST)[répondre]

Il se trouve qu'étant bibliophile, et m'intéressant, entre autres choses, à la culture de la région où j'ai vu le jour, je possède l'édition originale de "Bepred Breizad", et que j'ai également sous les yeux "Ma C'horn-Bro" (édition Le Goaziou). Parce que, vous, vous parliez sans savoir ?? [Utilisateur: AlainDerrien]] 21 juillet 20:47. (CEST)

Donc on évite de répondre à certaines questions. Gênantes? Je n'ai pas les moyens d'être bibliophile. Je fais donc confiance aux auteurs que je lis, je n'ai pas les volumes sous les yeux, mais de mémoire je dirais soit Geriadur ar skrivagnerien, soit la préface de Ma c'horn bro, soit Luzel de Morvan. Shelley Konk 22 juillet 2006 à 14:08 (CEST)[répondre]

Pour répondre[modifier le code]

Monsieur Alain Derrien écrivait plus haut: "Je ferai remarquer d’autre part que, justement, Luzel a mis un soin particulier à reproduire les expressions même de ses conteuses, jusque dans leurs étrangetés, et que la volonté de respecter ces expressions pour l’édition de Françoise Morvan a été l’origine, de fil en aiguille, d’un séisme dont le « mouvement breton » (je devrais parler de « l’immobilisme dit-breton ») ne s’est toujours pas remis".

Je ferai remarquer (à nouveau, n'ayant pas été compris) que Morvan signale qu'il ne transcrivait pas fidèlement les propos des conteurs.
Que le séisme, mettons que séisme il y ait eu (sujet à traiter ailleurs), ne concerne que peu les textes de Luzel. Quand Italo Calvino transcrit à sa guise (en langue italienne unifiée) les contes qu'il recueille en dialecte, tout le monde trouve cela normal: c'est bien la trame qui compte/conte, non? Pas la langue? Shelley Konk 21 juillet 2006 à 20:17 (CEST)[répondre]
Françoise Morvan dit justement le contraire. Luzel est le collecteur le plus soucieux de retranscrire fidèlement la trame, et la langue. Qui d'autre le faisait à l'époque ? Je vous rappelle que vous affirmiez récemment encore que Françoise Morvan n'avait publié que les contes en français, et simplement parce que c'était le bruit qui court. Vous n'aviez pas ouvert un seul des livres de son édition.
Si, mais apparemment pas les bons. Shelley Konk 28 juillet 2006 à 10:56 (CEST)[répondre]

Vous ne connaissez pas

J'oubliais que vous étiez le seul connaisseur. Vous êtes en résidence sur la page: locataire ou propriétaire? Shelley Konk 28 juillet 2006 à 10:56 (CEST)[répondre]

et vous occupez le terrain, comme toujours.AlainDerrien 22 juillet 2006 à 23:29 (CEST).[répondre]

Je laisse sans réponse le vandalisme (dépiautage d'une intervention) et l'insulte (locataire ou propriétaire ?). Utilisateur:AlainDerrien 29 juillet 2006 à 22:07 (CEST).[répondre]

Quand on me dit que j'occupe le terrain, j'en tire des conclusions. Tout est insulte chez vous, y compris "monsieur".Shelley Konk 5 août 2006 à 15:45 (CEST)[répondre]

Pour une collaboration enfin encyclopédique[modifier le code]

Ayant constaté que les interventions de Monsieur Derrien dans cet article consistent plutôt à caviarder les textes d'autrui, je lui propose de réaliser enfin un travail constructif: dresser une liste (numérotée) des poèmes bretons de "Bepred Breizad" et de "Ma c'horn-bro".Shelley Konk 5 août 2006 à 15:41 (CEST)[répondre]

Il y a chez vous une impudence caractéristique d'un certain système de propagande, souvent analysé, d'ailleurs : en consultant l'histoire, il est facile de voir qui dépiaute les interventions de qui. Pour votre demande, qui prouve, une fois encore que vous parlez de ce que vous ne connaissez pas : "Bepred Breizad" paraît en 1865 (et comporte 28 poèmes). "Ma c'horn bro", recueil composé par Joseph Ollivier, selon des principes différents de ceux de Luzel (à savoir le genre du poème), comprend des poèmes écrits jusqu'à la mort (en tout, 41, sauf erreur), et de nombreux poèmes de "Bepred Breizad" ne s'y retrouvent pas. Vous n'avez pas le livre chez vous, ce n'est pas grave ; si vous voulez vraiment aider à la connaissance (ce qui doit le but de Wikipedia), avant de parler, allez à la bibliothèque la plus proche de votre domicile, qui possède un fonds breton d'une richesse considérable. Il est bon que les défenseurs, même auto-proclamés, de la culture bretonne, connaissent un peu ladite culture.Alain Derrien 5 août 2006 à 20:36 (CEST)[répondre]

Cela ressemble, hélas, à une fin de non-recevoir à ma proposition de collaboration encyclopédique. Si vous vouliez "aider à la connaissance", comme vous dites, vous pourriez apporter les éléments dont vous disposez au lieu d'élucubrer sur le contenu de "la bibliothèque la plus proche de votre domicile", que vous ne connaissez pas. Il est regrettable que les défenseurs auto-proclamés, comme vous dites encore, occupent le terrain, comme vous le dites aussi, sans apporter plus de lumière que d'ombre. Shelley Konk 5 août 2006 à 22:43 (CEST

RECTIFICATIFS[modifier le code]

Bonjour ! J'ai supprimé toute une partie de cet article car elle n'avait aucun usage : des tas de citations complètement incompréhensibles. J'ai l'impression que certains Bretons ont essayé d'en faire un champ de bataille !

En plus, l'image qui est utilisée est celle de la biographie de Françoise Morvan, que j'ai chez moi, et j'ai aussi l'impression qu'elle a été reprise sans copyright : est-ce qu'il n'y a pas un problème  ? Je suis passionné par la littérature bretonne mais je n'apprécie pas ces polémiques. Elles n'ont vraiment aucune utilité ici. Voilà pourquoi j'ai coupé. Elouan.

Elément coupé[modifier le code]

A propos des contes: un exemple italien[modifier le code]

- En 1957, après deux ans d'enquête parmi les conteurs populaires, Italo Calvino publiait Fiabe Italiane (Contes italiens), recueil de contes traditionnels retranscrits ou réécrits par lui, sans que s'en suive une querelle, comme celle entretenue à propos des contes de Luzel.