Discussion:Françoise Merle

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« "== Quelques extraits de presse ==

« (...) Françoise Merle a une façon de travailler qui m’intéresse énormément. Il faut avoir une méthode pour travailler. Je suis chaotique et imprécise, j’éprouve le besoin de points de repère : comment être acteur ? Si je n’ai pas quelque part une méthode qui sous-entend ma démarche, j’ai peur. Avec Françoise, j’ai trouvé ces règles du jeu où je peux avancer pas à pas. Il y a longtemps que je n’avais pas connu ça ». DELPHINE SEYRIG, Itinéraire, Journal du Théâtre de Sartrouville, 1985

« (...) De par la grâce d’une mise en scène follement inventive, où le moindre geste, le moindre rythme, la moindre lumière, ont été éprouvés dans leur effet sensible sur le spectateur, me voici comblé par cette pièce symboliste belge de 1896, qui me parle de l’amour comme j’ai envie qu’on en parle aujourd’hui.(...) Comme Truffaut, du reste, comme le Resnais de Mélo, Françoise Merle se garde bien de rire de ces extravagances d’autrefois (...) ». CLAUDE-JEAN PHILIPPE, 7 à Paris, février 1988

« (...) Tout de suite l’on comprend qu’il y a là l’intelligence, la pudeur, l’émotion d’une magnifique interprète, qui a elle-même écrit ce monologue formidable.(...) On l’a dit, c’est la à puissance du texte, celle de l’interprète, dont l’intelligence et la générosité portent avec une sensibilité bouleversante cette Estelle qui est un peu elle et très loin d’elle(...) Et c’est pourquoi ce « petit » spectacle est un très grand spectacle, et c’est pourquoi on est là au cœur même du théâtre ». ARMELLE HÉLIOT, Le Quotidien, mars 1992

« (...) Sganarelle… On rit et puis on ne sait plus s’il faut rire de cette plongée dans les eaux glacées du calcul égoïste, où le chacun pour soi semble être la devise de tous.(...) Personne ne peut rien pour personne, semble dire le spectacle, sinon accompagner du regard les mouvements imprévisibles de la passion, avec l’espoir secret d’y sombrer à son tour ». JEAN-PIERRE RYNGAERT, Théâtre/Public, 1989

« Ils sont très jeunes et ils n'aiment pas les sentiers battus. Sous la direction de Françoise Merle, ces anciens du cours Florent ont découvert les masques catalans. Rien à voir avec les masques italiens. L'on est dans un autre grotesque, moins flatteur pour l'acteur, plus inquiétant. Ainsi masqués, ils composent une histoire étrange, surréalisante et féroce, où tout se dérègle et l'on s'adonne à l'on ne sait quelles représailles. Beau comme du Buñuel ou du Vigo ». GILLES COSTAZ, Festival d’Avignon, 2000"  »


-- Cgolds (d) 29 juin 2013 à 13:56 (CEST)[répondre]