Discussion:Franco-Ontariens

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Beaucoup d'anglicismes et d'erreurs d'ortographe dans ce texte. Il serait utile de le corriger, et d'y faire un certain nettoyage syntaxique. Je l'ai fait en bonne partie. Peut-être reste-t-il encore quelques approximations.--Piero 3000 21 mai 2006 à 03:38 (CEST)[répondre]

j'ai retiré ces liens qui n'ont pas leur place dans l'article:

Conseil scolaires francophones publics[modifier le code]

Conseil scolaires francophones catholiques[modifier le code]

--Pyb 15 novembre 2005 à 16:15 (CET)[répondre]

Très déçu par le retrait de ces liens, ils sont fondamentaux à la réalité franco-ontarienne. Pour quelle raison retirez-vous ces liens ? L'article concerne les franco-ontariens et s'il y a bien un moteur de la renaissance de cette communauté, c'est par le biais des Conseils scolaires francophone.
Quelle arrogance de la part d'un PARISIEN que de dire aux Franco-Ontariens quels liens ils peuvent intégrer sur une page qui traite de leur culture et de leur patrimoine.
J'ai du mal à voir l'apport de ces liens à par un coup de publicité pour ces sites. L'article ne porte pas sur l'éducation au canada. Les liens externes doivent apporter un contenu intéressant en rapport à l'article. Ce qui ne me semble pas le cas de ces sites. Et puis il faut accepter sur wikipédia que n'importe qui puisse venir mettre son nez dans nimporte quel article. Je ne critique pas le fond, mais des liens (c'est en effet plus facile pour un parisien :) ) Pyb 15 novembre 2005 à 16:29 (CET)[répondre]
Vous ne connaissez manifestement rien à la réalité franco-ontarienne. Ces liens sont ici car c'est par ces conseils scolaires que se rebâtit l'ontario français. Pas de coup de pub car tous les Conseil de l'Ontario français sont inscrits en toute égalité.
Moi non plus je ne connais rien à la réalité franco-ontarienne. Et ce n'est certainement pas cette pile de liens qui va m'éclairer. Marc Mongenet 15 novembre 2005 à 16:35 (CET)[répondre]
N'importe quoi
Votre lien "Histoire du système scolaire franco-ontarien" aboutit à un historique avant 1970, et qui ne traite aucunement de la création des douze conseils scolaires francophones de l'ontario dont j'avais soumis la liste de liens. Votre myopie n'a d'égal que votre arrogance.
Merci d'éviter les insultes. J'ai commenté ma décision d'enlever ces liens, car je respecte votre travail. D'autres contributeurs semblent partager mon avis. A vous d'apporter des éléments contradictoires, plutôt que des insultes et "n'importe quoi". Pyb 15 novembre 2005 à 17:03 (CET)[répondre]
Bonjour! Je suis l'auteur qui a créé cet article. Pourrait-on m'expliquer un peu plus la discussion en jeu. Il me semble n'avoir pas vu ces liens il y a à peine quelques jours, et maintenant nous en sommes déjà aux insultes. Nous pourrions peut-être trouver un terrain d'entente entre amis francophones? Pour la question des anglicismes, sentez-vous à l'aise de les corriger. Ce travail en était un surtout de traduction du wikipedia anglophone.

Ogryx 15 novembre 6:22

Cher Ogryx. A votre avis, est-ce que les adresses web des douze conseils scolaires francophones devraient se trouver dans cet article ? D'après deux wikimembres ces adresses n'ont pas leur place ici. Mais celui qui connaît bien la réalité franco-ontarienne sait que ces conseils scolaires sont un des instruments les plus important de la renaissance franco-ontarienne.

Mes suggestions[modifier le code]

Je n'ai pas envie de rentrer dans un camp ou l'autre, surtout lorsque les insultes volent dans toutes les directions. Je suis d'avis que l'éducation et les conseils scolaires (dans un contexte plus spécifique) ont un rôle essentiel à jouer surtout dans l'Ontario français en situation minoritaire. Mais je comprends également l'argument que la neutralité ou le contexte est mal ciblé. Pour satisfaire nos collèges français, je prévois créer un article sur l'Éducation française en Ontario. Les liens supprimés pourront être ramenés, car le contexte sera suivi. Commentaires? Suggestions? (Les compliments sont aussi les bienvenus)

--Ogryx 19 novembre 6:27

C'est déjà mieux, mais je pense qu'il ne sera pas possible - même sur un article traitant de l'éducation - de mettre un lien par districts. Avoir douze liens dans un article qui ont un faible apport en terme de contenu n'est pas recommandé (voir à ce propos la page d'aide sur les liens externes Wikipédia:Liens externes). Pour information, tous les intervenants dans la discussion ne sont pas français, mais bon même si on est français :) Pyb 19 novembre 2005 à 13:55 (CET)[répondre]
Malheureusement, je ne peux faire de préférence entre les conseils scolaires; tous ont un district, chacun est en compétition l'un contre l'autre. Je n'ai pas l'appétit non plus de faire un article pour chacune des régions de l'Ontario. Mais je peux promettre que le nouvel article aura un contenu relatif aux liens externes. Je dois également ajouter qu'il est utile, surtout pour un parent franco-ontarien, d'avoir un article qui peut directement lier les différents conseils scolaires francophones de l'Ontario. Ogryx 20 novembre 2005 à 3:49 (CEST)
bon je te laisse faire (même si je suis plutôt contre). Pyb 20 novembre 2005 à 12:54 (CET)[répondre]
Question: Est-ce que l'objection est juste contre le nombre de liens, ou les liens eux-mêmes?(Voir aussi la discussion ci-dessous) Ogryx 21 novembre 2005 à 3:25 (CEST)

Question de curiosité[modifier le code]

Est-ce que ces conseils scolaires sont proches des boards of education que l'on trouve aux États-Unis ? Avec la même importance sur l'organisation des écoles, du contenu des programmes ? sebjd 20 novembre 2005 à 09:53 (CET)[répondre]

Au Canada, les conseils scolaires ont toute l'autorité pour exécuter les politiques d'un programme scolaire. Ils ont beaucoup plus d'autorité qu'un conseil d'école (souvent composé de parents) et je dirais même qu'ils ont plus de pouvoirs qu'aux États-Unis (évidemment, ceci est débattable). Il n'est pas rare de voir les élus des conseils scolaires faire la lutte aux politiciens des provinces. Ogryx 20 novembre 2005 à 4:19 (CEST)
Merci, voici peut-être un argument pour justifier certains liens. Est-ce que ces conseils scolaires franco-ontariens auraient un site-portail commun ou une page sur le site du ministère provincial chargé de l'éducation (ça ferait un seul lien externe plutôt qu'une dizaine) ? ::sebjd 20 novembre 2005 à 11:13 (CET)[répondre]
Je fais présentement une recherche. L'idée est bonne, mais je ne sais pas si un lien de cette sorte existe.
Ogryx 20 novembre 2005 à 6:47 (CEST)
Pour moi, les deux posent problème: le nombre et la nature de ces liens. Je ne trouve pas que les liens soient très pertinents et offre beaucoup d'informations. Mais sur ce point je ne suis pas très compétent. Sinon, je pense que le nombre de liens va poser un problème à d'autre contributeur. Ce qui est moins vrai pour les liens en eux même. En effet, si quelqu'un voit 12 liens similaires, il risque de les enlever. Il faudrait en sélectionner quelqu'uns. Le mieux serait de trouver un lien faisant office de portail vers tous ces liens de districts. Le lien SOS DEVOIR me semble quand à lui être complètement hors sujet, car publicitaire. De même pour TF0. (tout cela n'est que mon avis qui n'est peut être pas partagé par d'autres :) ). Pyb 21 novembre 2005 à 11:57 (CET)[répondre]
Ce lien pourrais combler les besoins des deux partis: [1] Bdescham 21 décembre 2009 à 11:19 (CEST)[répondre]

Corrections et remises en forme[modifier le code]

J'ai corrigé des fautes et remis en forme certaines phrases qui reprenaient trop la structure anglaise. Certaines, de peur de commettre un contre sens, on été laissées en l'état. Il y a une phrase en début d'un des chapitres qui est et est restée incompléte. Mais comme je n'en vois pas bien le sens, je l'ai laissée en l'état. Si un franco-ontarien peut jeter un oeil dessus ainsi que sur mes corrections pour voir si le Parisien (!) n'a pas commis d'impair... TCY 21 février 2006 à 00:54 (CET)[répondre]

Peux-tu me pointer vers la phrase? Je peux probablement la corriger... Ogryx 21 février 2006 à 5:00 (CEST)


Je me rends compte que je l'ai modifié par la suite d'ailleurs pas très bien et vient de la remettre en forme. Donc la phrase initiale était :

Le terme franco-ontarien a deux usages reliés, qui ne sont pas identiques pas ont une signification similaire: elle réfère aux francophones de l'Ontario peu importe l'endroit de leur naissance, ou elle réfère aux gens d'origine Canadienne française, peu importe leur langue.

Et après ma dernière remise en forme :

Le terme franco-ontarien a deux interprétations liées mais qu'ont pas la même signification. La première fait référence aux francophones de l'Ontario, peu importe l'endroit où ils sont naits. La seconde fait référence aux gens d'origine Canadienne française de l'Ontario, peu importe leur langue.

C'est juste ? TCY 24 février 2006 à 23:28 (CET).[répondre]

Oui, à l'exception de "qu'ont pas" qui est devenu "qui n'ont pas" Ogryx 26 février à 3:35 (CEST)

Majuscules/minuscules, supression[modifier le code]

J'ai changé plusieurs franco-ontarien par Franco-ontarien et vice versa. Même chose pour quelques québécois, question d'uniformiser et de différencier les gens du qualificatif. Aussi, j'ai supprimé le au moins dans cette partie de phrase : « une grande majorité d'entre eux est au moins bilingue et peut communiquer aisément en anglais aussi bien qu'en français ». Que veut-il dire, le au moins ? Y'aurait-t-il une proportion appréciable de Franco-ontariens qui soient trilingues ou davantage ? Si quelqu'un est en mesure d'appuyer cela, il n'aura qu'à le remettre.--Piero 3000 21 mai 2006 à 03:34 (CEST)[répondre]

Appuyer une information et paragraphe sur la Politique[modifier le code]

Je ne sais pas si ma façon de faire est adéquate (un wikipédien plus expérimenté pourra corriger sans problème), mais j'ai mis du gras et des (???) ou (!!!) à quatre endroits dans l'article :

  • La plupart des communautés en Ontario ont au moins quelques résidents franco-ontariens.

Est-ce possible d'appuyer une telle affirmation ? À moins que ce ne soit une donnée connue et généralement admise en Ontario même ?

  • Cette tendance existe aussi pour le québécois, mais elle est moins prononcée grâce aux récents efforts québécois pour réduire le nombre d'anglicismes de leur vocabulaire.

Ça me semble vague. À quoi est-il fait référence ici ? À la loi 101 ? Celle-ci avait un tout autre objectif. Il faudrait appuyer ou expliquer un peu cette affirmation qui dit peu de choses.

  • Selon plusieurs experts, cette position a favorisé la résurgence du nationalisme québécois et a contribué au référendum de 1995 au Québec.

Wow ! C'est toute une affirmation ! Je ne sais pas si elle est vraie ou fausse, mais la formule « selon plusieurs experts » est très vague et peu crédible.

  • Beaucoup de Québécois comprennent que c'est aussi une responsabilité québécoise que d'appuyer et protéger les minorités francophones du Canada.

L'idée mérite d'être mentionnée, mais autrement. Certains fédéralistes (je suis malheureusement incapable de les nommer en ce moment-même :P) affirment au contraire que le Canada protège déjà amplement les minorités francophones et ridiculisent donc la prétention au rôle protecteur du Québec...

En fait, je trouve que tout le paragraphe sur la Politique est un peu anecdotique. Il serait intéressant de le modifier en profondeur en précisant, les anecdotes le prouvent, que la politique franco-ontarienne gravite essentiellement autour de la question de la langue et que ce qui s'y passe a nécessairement des répercussions au Québec (importantes ou pas ? il faudra éviter d'être trop franco-ontario-centriste ;) et mesurer l'importance de ces répercussions, mais vu du Québec). Inversement, les péripéties politiques et linguistiques au Québec ont nécessairement plus d'impact en Ontario francophone, pour des raisons évidentes de poids démographique.

Très bon article, mais il y a encore du travail à faire ! Piero 3000 21 mai 2006 à 04:32 (CEST)[répondre]

Mes commentaires[modifier le code]

par exemple, on peut souvent entendre "un pickup" ou "un truck" au lieu de "camion".

En vérité, la majorité des franco-ontariens vont dire une « camionnette », un « char » ou un « camion ». Le fait que la majorité des franco-ontariens parle aussi l'anglais ne veut pas dire que l'emploie des mots est strictement uniforme. C'est-à-dire que lorsqu'une personne oublie le mot français, il/elle a tendance à dire celui anglais et vice-versa en anglais. Mais cela ne veut pas dire que tout le monde dit « pickup ».

Malgré son origine québécoise, la langue populaire franco-ontarienne s'éloigne du français: sa syntaxe est fortement anglicisée et son vocabulaire français est rarifié.

Cette citation est fausse. Surtout avec une éducation française qui augmente en Ontario, il n'est pas logique de dire que le vocabulaire français est rarifié. Il se peut que l'usage du français comme langue première se rarifie, mais pas le vocabulaire.

J'aimerais aussi mentionné que Paul Demers est considéré une personne importante à la francophonie en Ontario, car il a littéralement retracé la carte de l'Ontario en appuyant le changement des noms tel que Orleans est respectivement Orléans aujourd'hui. Et sa chanson Notre Place est considéré comme l'hymne (inofficiel) des franco-ontariens. Il y a aussi Hélène Brodeur, écrivaine, qui a contribué avec ses Chroniques du Nouvel-Ontario à l'apprentissage de l'histoire de l'Ontario francophone aux jeunes. Enfin, voici ce que je pense de l'identité franco-ontarienne. Io Katai 2 octobre 2006 à 02:12 (CEST)[répondre]

Si des informations dans cet article sont fausses ou incomplètes, n'hésite surtout pas à l'améliorer en faisant les modifications toi-même ! On manque cruellement de contributeurs canadiens hors-Québec. DH2 octobre 2006 à 02:37 (CEST)[répondre]


J'ai retiré Marie-Mai des artistes Franco-Ontariens car un père ayant habité la région n'est pas suffisant pour être Franco-Ontarien. Et je ne vois pas non plus en quoi elle à pu enrichir la culture Franco-Ontarienne. Ridicule celui ou celle qui à fait cet ajout.

J'ajoute également que les frères Marc et Michel Lalonde ne sonts pas présents dans la liste des personalitées Franco-Ontariennes. Oubli majeur selon moi qui ne suis même pas Ontarien. Ils sonts tous les 2 natifs de l'Ontario, y ont fait carrière et ont influencés nombre de groupes et artistes avec la musique du groupe Garolou.

Services Financiers Choix du Président

Le but de cette lettre est de vous faire part d’une lacune qui existe au sein de votre organisme.

Lorsque je me suis abonné à vos services j’ai demandé de recevoir ma documentation en français. Ceci n’a pas été possible. La raison, semble t’il, que le besoin ne s’est pas fait sentir chez vous d’offrir ce service dû au fait que les lois financières du Québec ne vous permettent pas d’opérer dans cette province et que vous vous présenter comme une institution anglophone en Ontario.

Les données suivantes vous permettront possiblement de réviser vos politiques linguistiques en Ontario.


- Les deux langues officielles, le français et l’anglais, caractérisent la société canadienne.

- Le terme Franco-Ontarien désigne les francophones qui vivent dans la province canadienne de l’Ontario

- Selon le recensement de 2001, il y a 548 940 francophones en Ontario.

- Les Franco-ontariens représentent en nombre absolu la plus grande communauté de francophones du Canada après celle du Québec et la plus grande minorité linguistique en Ontario. De ce fait la communauté francophone Ontarienne représente 50% de la population francophone hors Québec.

- La langue française est présente en Ontario depuis près de 370 ans.

- Depuis 1975 il existe un drapeau franco-ontarien qui est un symbole des francophones de l’Ontario. Ce drapeau a reçu le statut de symbole officiel du gouvernement de l’Ontario. Il est reconnu par l’assemblée législative de la province.

- En 1986 le gouvernement de l’Ontario a adopté la loi sur les services en français. Présentement on désigne 25 endroits dans la province ou les ministères et les agences provinciales doivent fournir localement des services en langue française.


Cartes du Choix du Président chez Choix du Président

Lors de l’utilisation d’une carte du Choix du Président à une machine Choix du Président il n’y a aucune option pour obtenir le service en français. Les seules langues disponibles son l’Anglais et le Mandarin. Nous sommes heureux de voir que le Choix du Président est prêt à offrir ses services dans d’autres langues pour mieux desservir sa clientèle. Nous nous demandons pourquoi vous n’offrez pas des services en français pour la population franco-ontarienne qui constitue la plus grande minorité linguistique en Ontario.

Carte du Choix du Président chez CIBC

La carte choix du Président fonctionne dans les guichets automatiques de la CIBC gratuitement. La banque CIBC offre le service en français pour leur clientèle CIBC et les autres institutions financières, mais, avec la carte du choix du président aucune option de service en français n’est offert, le service est en anglais automatiquement. Le Choix du Président ne permet même pas au franco-ontariens l’option d’utiliser la langue française dans d’autres institutions financières qui ont déjà l’option du français comme langue d’utilisation.

Cartes des autres financières dans une machine du Choix du Président.

Lorsqu’un client d’une autre institution bancaire utilise les guichets de «  PC Financial », le service leur est offert dans leur langue du choix, selon le réglage de leur carte. Ceci veut donc dire que vos machines ont la capacité de reconnaitre les cartes de débits francophones et d’autres langues.

La carte Master Card du Choix du Président est offerte en français et en anglais car celle-ci est disponible au Québec, elle est donc obligé par la loi d’offrir des services en français. C’est pour cette raison seulement que les franco-ontariens ont les services en français. Ceci nous fait croire que vous avez plusieurs employés dans votre compagnie choix du président qui desservent les clients francophone en français, mais, vous n’êtes même pas prêt à offrir des services partiels aux franco-ontariens avec l’institution « PC Financial ».

Nous vous demandons d’offrir des services en Français pour la minorité franco-ontarienne c’est-à-dire sans attendre que les services soient possiblement offerts au québécois.

Ce manque de service démontre un manque de respect envers la communauté franco- ontarienne. Vous avez refusé, à plusieurs reprises de nous offrir certains services en français avec nos cartes de débit. Votre carte refuse de nous donner l’option de se faire desservir en français dans les institutions comme CIBC et autres. Vous n’offrez pas l’option de faire nos transactions financière en français sur votre site internet. Lorsque nous utilisons notre carte de débit pour faire une épicerie nous n’avons pas le choix de choisir notre langue. En plus, lorsque nous voulons faire nos transactions bancaires par téléphone nous n’avons pas l’option d’être servi en français. Le problème est le même dans les quartiers francophones de l’est de l’Ontario ou vous semblez embaucher uniquement des employés anglophones.

Toutes ces choses nous donnent et l’impression que votre banque n’est pas seulement unilingue, mais il semble également qu’on fait des détours pour refuser le service de base en français aux franco-ontariens. Votre institution semble ne pas vouloir desservir la communauté francophone quand plusieurs autres institutions financières offrent déjà un service francophone de façon intégrale en Ontario.

Lorsque nous avons demandé à des employé du choix du président pourquoi les services n’était pas offert en français, il nous on dit avoir reçu plusieurs plaintes à ce sujet.

Nous vous demandons donc pour des services en français par respect de la communauté franco-ontarienne.


Une copie de cette lettre sera également envoyée à de divers organismes francophones tel *L’A.F.O. et l’Impératif français ainsi qu’au média.

  • L’Assemblée de la francophonie de l’Ontario (AFO) est une association qui plaide et fait pression pour la défense des droits des franco-ontariens.

Principalement t, l’AFO agit comme un groupe de « Lobby » qui a pour missions le développement et l’épanouissement de la communauté franco-ontarienne ou tout simplement vient lutter pour des services pénalisant les francophones.

Merci nous attendons votre réponse.


Franco-Ontarien

Section éliminée[modifier le code]

Je place ici une section qui a été effacée. Elle pourrait être réinstaurée si des sources peuvent être trouvées. Je la place ici afin de ne rien perdre.

L'identité franco-ontarienne[modifier le code]

Drapeaux de l'Ontario, du Canada et drapeau franco-ontarien à l'entrée de la ville de Val Rita-Harty.

Le terme « Franco-Ontarien » admet deux interprétations voisines, mais qui n'ont pas la même signification. Selon la première, il inclut tous les locuteurs du français en Ontario, quelle que soit leur origine géographique, ethnique ou linguistique. Selon la seconde, il recouvre tous les Canadiens français nés en Ontario, quelle que soit leur maitrise du français.

Dans les médias et milieux traditionnels dominés par la population de souche, le terme est souvent réservé plus particulièrement aux Canadiens-français nés en Ontario, qui utilisent le français ou sont de langue maternelle française, et qui vivent en Ontario. Par exemple :

  • Louise Charron (née à Sturgeon Falls en 1951) a été la première Franco-Ontarienne de naissance à siéger à la Cour suprême du Canada. Elle a par contre été précédée par Louise Arbour (née à Montréal en 1947). Même si cette dernière a gagné sa réputation d'avocate et de juge en Ontario et qu'elle représentait l'Ontario à la Cour suprême, elle a été considérée par plusieurs comme québécoise.
  • Deux vedettes populaires de l'Ontario, Avril Lavigne et Alanis Morissette, sont franco-ontariennes selon la deuxième définition mais pas selon la première, puisqu'elles sont nées de parents franco-ontariens, mais qui vivent et travaillent en anglais. En raison de leur langue d'usage, elles sont exclues par la première acception bien qu'elles soient d'origine canadienne-française.
  • L'ancien Premier ministre du Canada, Paul Martin, est né à Windsor d'un père franco-ontarien et d'une mère anglophone. De nombreux Canadiens l'ont néanmoins considéré comme Québécois parce que sa carrière politique a surtout été menée à Montréal et que le Québec est devenu sa province d'adoption.

L'identité franco-ontarienne est le produit de trois vagues historiques d'immigration. La première eut lieu au XVIIIe siècle, provenait surtout de France et s'est installée dans la région de Windsor et de Détroit, sous le régime français. La deuxième vague provenait du Québec, au XIXe siècle et XXe siècle, et s'est dirigée vers le nord et l'est de l'Ontario. Pendant cette période, l'Ontario était surtout britannique, et cette vague d'immigrants a souvent fondé ses villages propres ou a grossi les rangs de communautés francophones déjà existantes. La troisième vague est plus récente et provient tant du Québec que d'autres lieux du monde francophone : Haïti, Europe, Afrique, Viêt Nam, etc. Ces immigrants s'installent surtout dans les grandes villes de l'Ontario. Ces nouveaux arrivants tendent à conserver un lien durable, grâce aux nouveaux médias, avec leur culture d'origine (québécoise, haïtienne, etc.) et la première des deux acceptions du terme « Franco-Ontarien » commence à s'imposer pour les inclure. JeanPaulGRingault (discuter) 21 septembre 2022 à 02:11 (CEST)[répondre]