Discussion:Gouvernement Gabriel Attal

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

Composition[modifier le code]

Bonsoir @SenseiAC, je maintiens que la composition du gouvernement telle que tu la mentionnes sur l'article reste, à ce moment précis, une spéculation, et ce tant que Matignon ou l'Élysée ne l'ont pas annoncée. La seule page qui fait foi à ce moment, c'est celle-là. Franceinfo, BFM et autres peuvent "annoncer" un maintien en poste mais ça n'a aucune valeur en l'état, ce ne sont que des bruits de couloir (ce qui ne veut pas dire que ça s'avèrera faux). Ce ne sont pas les médias qui forment le gouvernement, et s'avancer comme ils le font n'est en aucun cas gage de certitude, on a connu maintes ajustements de dernière minute au cours du passé... --Lodewijk van den Broucke (discuter) 11 janvier 2024 à 17:48 (CET)[répondre]

Peut-être qu'il serait bon, sur ce genre de situation où l'actualité est mouvante et concerne des informations importantes, de ne pas se précipiter, à celui qui fera la mise à jour de l'article concerné le premier. Wikipédia n'est pas une chaine d'information en continue. Et oui, vous avez raison, c'est a minima le communiqué du service presse de l’Élysée qui fait foi.
Ncotso (discuter) 11 janvier 2024 à 22:04 (CET)[répondre]

Limitation des attributions du garde des sceaux, ministre de la justice[modifier le code]

Bonjour, Un décret vient limiter les attributions d'Éric Dupond-Moretti pour tenir compte de ses fonctions antérieures d'avocat et des affaires dans lesquelles il a été impliqué. Il me semblerait intéressant de placer cette information sur cet article. Mais j'avoue ne pas trop savoir où la mettre et sous quel intitulé. La consultation des articles consacrés aux précédents gouvernements de la Ve République ne m'a pas trop éclairé sur ce point.

Bref, j'aimerais avoir votre avis.

Indépendemment de son positionnement dans l'article, voici le paragraphe que je propose :

« Un décret du <ref>{{Légifrance|base=JORF|numéro=JUSX2400963D|texte=Décret n° 2024-19 du 11 janvier 2024}} pris en application de l'article 2-1 du décret n° 59-178 du 22 janvier 1959 relatif aux attributions des ministres</ref> dispose qu'Éric Dupond-Moretti, Garde des sceaux, ministre de la Justice, ne peux pas traiter de certains dossiers en relation avec ses anciennes fonctions d'avocat et avec les affaires dans lesquelles il a été impliqué ou a fait l'objet de poursuites judiciaires. Ces attributions sont confiées au Premier ministre. »

Ncotso (discuter) 12 janvier 2024 à 07:14 (CET)[répondre]

En général nous ne le mentionnions pas. Je n'ai plus en tête les données exactes, mais je me rappelle que plusieurs ministres du gouvernement précédent était également concernés par des décrets de déport (Aurélien Rousseau et Agnès Pannier-Runacher, notamment).
EDIT: Je vois que l'on a même eu un décret de déport de la PM vers une de ses ministres! --Lodewijk van den Broucke (discuter) 12 janvier 2024 à 23:14 (CET)[répondre]
Merci pour votre réponse.
Ncotso (discuter) 13 janvier 2024 à 08:18 (CET)[répondre]

Ajout d'une source[modifier le code]

Je propose d'ajouter la source suivante (décret de nomination des ministres) au titre de la partie "Composition initiale" : « Décret du 11 janvier 2024 relatif à la composition du Gouvernement », sur Legifrance, Journal officiel, 12 janvier 2024 (consulté le 12 janvier 2024) https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000048931984 JuanMario-de-Santiago (discuter) 12 janvier 2024 à 14:43 (CET)[répondre]

Formulation[modifier le code]

Dans la partie "Comparaison" je propose d'écrire : "Aucun des ministres du gouvernement précédent issus de la gauche (Clément Beaune, Olivier Véran, Olivier Dussopt, Rima Abdul Malak, Stanislas Guerini, Roland Lescure, Fadila Khattabi et Patrice Vergriete) n'est reconduit lors de la première vague de nominations."

Monsieur Berli (discuter) 14 janvier 2024 à 23:27 (CET)[répondre]

Mention du caractère minoritaire du gouvernement[modifier le code]

Comme le gouvernement Borne avant lui, le gouvernement Attal est minoritaire au Parlement (le 6e sous la Ve République). Je crois qu'il serait judicieux de le mentionner dans l'introduction de l'article, comme c'est le cas dans l'intro de l'article portant sur le gouvernement Borne.

Étant soumis aux limitations d'édition en place pour cette page, s'il y a un consensus autour de ma proposition, il serait nécessaire qu'un utilisateur confirmé se charge de la modification en ce sens.

Bien cordialement, Frenchpolit (discuter) 16 janvier 2024 à 03:01 (CET)[répondre]

Comparaison avec le gouvernement précédent[modifier le code]

Bonjour,

Les précédents gouvernements disposent d'une section détaillée dédiée à la comparaison avec le gouvernement précédent.

Je ne peux pas modifier la page, mais je propose le texte suivant :


Parmi les 15 membres du gouvernement Gabriel Attal (en comptant le Premier ministre), 11 faisaient déjà partie du gouvernement Élisabeth Borne :

•    7 ministres conservent leur poste : Bruno Le Maire (Économie, Finances et Souveraineté industrielle et numérique), Gérald Darmanin (Intérieur et Outre-mer), Marc Fesneau (Agriculture et Souveraineté alimentaire), Sébastien Lecornu (Armées), Éric Dupond-Moretti (Justice), Christophe Béchu (Transition écologique et Cohésion des territoires) et Sylvie Retailleau (Enseignement supérieur et recherche) ;

•    1 ministre voit ses attributions élargies : Amélie Oudéa-Castéra (Sports et Jeux olympiques et paralympiques, portefeuille élargi à l’Éducation nationale et à la Jeunesse) ;

•    1 ministre change de poste : Gabriel Attal (Éducation nationale et Jeunesse) devient Premier ministre ;

•    1 ministre change d’attributions et devient ministre déléguée : Aurore Bergé (Solidarités et Familles) devient ministre déléguée chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les discriminations ;

•    1 secrétaire d’État change d’attributions et devient ministre déléguée : Prisca Thevenot (Jeunesse et Service nationale universel) devient ministre déléguée chargée du Renouveau démocratique, porte-parole du Gouvernement.

4 personnes entrent au gouvernement :

•    Rachida Dati, nommée ministre de la Culture ;

•    Catherine Vautrin, nommée ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités ;

•    Marie Lebec, nommée ministre déléguée chargée des Relations avec le Parlement ;

•    Stéphane Séjourné, nommé ministre de l’Europe et des Affaires étrangères.

28 personnes quittent le gouvernement, appelées éventuellement à y retourner plus tard, il s’agit de : Élisabeth Borne, Catherine Colonna, Olivier Dussopt, Agnès Pannier-Runacher, Rima Abdul-Malak, Agnès Firmin-Le Bodo, Stanislas Guerini, Olivier Véran, Franck Riester, Bérangère Couillard, Roland Lescure, Jean-Noël Barrot, Olivia Grégoire, Thomas Cazenave, Dominique Faure, Philippe Vigier, Olivier Becht, Carole Grandjean, Clément Beaune, Patrice Vergriete, Fadila Khattabi, Charlotte Caubel, Hervé Berville, Sabrina Agresti-Roubache, Laurence Boone, Chrysoula Zacharopoulou, Patricia Mirallès et Sarah El Haïry.

S'agissant des ministères :

•    le ministère de l'Éducation nationale et de la Jeunesse et le ministère des Sports et des Jeux olympiques et paralympiques fusionnent pour devenir le ministère de l’Éducation nationale, de la Jeunesse, des Sports et des Jeux olympiques et paralympiques ;

•    le ministère des Solidarités et des Familles, le ministère de la Santé et de la Prévention et le ministère du Travail, du Plein emploi et de l’Insertion fusionnent pour devenir le ministère du Travail, de la Santé et des Solidarités ;

•    le ministère de la Transition énergétique et le ministère de la Transformation et de la fonction publiques sont supprimés ;

•    11 postes de ministres délégués et 8 postes de secrétaires d’État sont supprimés, appelés éventuellement à être pourvus plus tard.


Bonne journée !




KUZLJa3 (discuter) 21 janvier 2024 à 15:54 (CET)[répondre]

Merci, cela a l'air très bien. On dirait que vous n'avez pas de sources, c'est le seul reproche que l'on pourrait vous faire, mais apparemment votre proposition ne provoque pas de polémiques. J'ai regardé Gouvernement Élisabeth Borne#Comparaison avec le gouvernement précédent - je ne suis pas allé voir les autres - et là non plus il n'y a pas vraiment de sources, je ne sais pas s'il faut encourager ces pratiques, mais faut-il les décourager ?... je ne sais pas. L'article est protégée jusqu'au 9 juillet 2024 au moins, donc vous aurez meilleur compte à contribuer régulièrement sur des articles qui ne subissent pas l'assaut des vandales - paix aux premiers - et ainsi vous gagnerez automatiquement le droit de la modifier. Cordialement. Touam discuter 30 janvier 2024 à 12:54 (CET)[répondre]

Comparaison avec le gouvernement précédent[modifier le code]

Bonjour,

Voici une amélioration de la proposition de KUZLJa3 en ce qui concerne la comparaison avec le gouvernement précédent, section qui me paraît intéressante à détailler, à laquelle j'ai rajouté les liens utiles vers les pages des ministres concernés.


Parmi les 15 membres du gouvernement Gabriel Attal (en comptant le Premier ministre), 11 faisaient déjà partie du gouvernement Élisabeth Borne :

•    7 ministres conservent leur poste : Bruno Le Maire (Économie, Finances et Souveraineté industrielle et numérique), Gérald Darmanin (Intérieur et Outre-mer), Marc Fesneau (Agriculture et Souveraineté alimentaire), Sébastien Lecornu (Armées), Éric Dupond-Moretti (Justice), Christophe Béchu (Transition écologique et Cohésion des territoires) et Sylvie Retailleau (Enseignement supérieur et recherche) ;

•    1 ministre voit ses attributions élargies : Amélie Oudéa-Castéra (Sports et Jeux olympiques et paralympiques, portefeuille élargi à l’Éducation nationale et à la Jeunesse) ;

•    1 ministre change de poste : Gabriel Attal (Éducation nationale et Jeunesse) devient Premier ministre ;

•    1 ministre change d’attributions et devient ministre déléguée : Aurore Bergé (Solidarités et Familles) devient ministre déléguée chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les discriminations ;

•    1 secrétaire d’État change d’attributions et devient ministre déléguée : Prisca Thevenot (Jeunesse et Service nationale universel) devient ministre déléguée chargée du Renouveau démocratique, porte-parole du Gouvernement.

4 personnes entrent au gouvernement :

•    Rachida Dati, nommée ministre de la Culture ;

•    Catherine Vautrin, nommée ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités ;

•    Marie Lebec, nommée ministre déléguée chargée des Relations avec le Parlement ;

•    Stéphane Séjourné, nommé ministre de l’Europe et des Affaires étrangères.

28 personnes quittent le gouvernement, appelées éventuellement à y retourner plus tard, il s’agit de : Élisabeth Borne, Catherine Colonna, Olivier Dussopt, Agnès Pannier-Runacher, Rima Abdul-Malak, Agnès Firmin-Le Bodo, Stanislas Guerini, Olivier Véran, Franck Riester, Bérangère Couillard, Roland Lescure, Jean-Noël Barrot, Olivia Grégoire, Thomas Cazenave, Dominique Faure, Philippe Vigier, Olivier Becht, Carole Grandjean, Clément Beaune, Patrice Vergriete, Fadila Khattabi, Charlotte Caubel, Hervé Berville, Sabrina Agresti-Roubache, Laurence Boone, Chrysoula Zacharopoulou, Patricia Mirallès et Sarah El Haïry.

S'agissant des ministères :

•    le ministère de l'Éducation nationale et de la Jeunesse et le ministère des Sports et des Jeux olympiques et paralympiques fusionnent pour devenir le ministère de l’Éducation nationale, de la Jeunesse, des Sports et des Jeux olympiques et paralympiques ;

•    le ministère des Solidarités et des Familles, le ministère de la Santé et de la Prévention et le ministère du Travail, du Plein emploi et de l’Insertion fusionnent pour devenir le ministère du Travail, de la Santé et des Solidarités ;

• le ministère de la Transition énergétique et le ministère de la Transformation et de la fonction publiques sont supprimés ;

•    11 postes de ministres délégués et 8 postes de secrétaires d’État sont supprimés, appelés éventuellement à être pourvus plus tard.

Bonne journée ! 2A01:CB0C:8E2:AE00:F910:F211:53E6:7294 (discuter) 27 janvier 2024 à 18:36 (CET)[répondre]

Je viens de rectifier, le nombre de ministres-Borne était 40 non pas 42[modifier le code]

C'est une faute de frappe que j'avais (par inadvertance) ajoutée, calquée sur ce que j'ai pu lire sur certains médias Gouvernement Élisabeth Borne(Gouvernement Élisabeth Borne 2, 3 inclus) ne comportait que 40 ministères; je ne peux rectifier maintenant(page protégée 196.75.20.58 (discuter) 9 février 2024 à 07:54 (CET)[répondre]

Bonjour, j'ai clarifié le paragraphe en question. Cordialement, Quand nous chanterons (discuter) 9 février 2024 à 09:54 (CET)[répondre]

Erreur sur l'intitulé du portefeuille de Stanislas Guérini[modifier le code]

L'intitulé du portefeuille de Stanislas Guérini comporte une erreur orthographique : il est ministre de la transformation et de la fonction publiqueS, le "s" ayant un sens et figurant bien dans le décret de nomination ([1]https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000049111524). TDB (discuter) 9 février 2024 à 09:49 (CET)[répondre]

✔️ diff. S'il y a des choses qui ont un sens dans ce gouvernement, évidemment qu'il faut les mettre Émoticône sourire. L'erreur vient de ce que l'on essaie de faire coller des articles wikipédia sur les fonctions ministérielles génériques avec les intitulés précis des ministres concrets. Un problème wikipédia en quelque sorte. Merci en tous cas de l'avoir relevée. Touam discuter 11 février 2024 à 10:09 (CET)[répondre]