Discussion:HMS Bounty

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Date de la mutinerie[modifier le code]

la date de la mutinerie indiquée sur la jaquette de mon film* est Janvier 1788. le bounty quitte le port en décembre 1787, et un mois après la mutinerie commence.

  • film avec mel gibson et anthony hopkins
Tiens, les jaquettes de DVD seraient-elle moins fiables que les encyclopédies ? :) Ŝilderik (d) 21 mai 2009 à 19:51 (CEST)[répondre]

Puisque les auteurs des articles sur la BOUNTY aiment la précision, en voici une passablement importante : en terme de marine on ne parle pas de milles nautiques, mais soit de milles marins soit de nautiques. Merci CD

Anecdote : dans « Dix-neuf hommes contre la mer », le deuxième tome de la trilogie de Nordhoff et Hall, on décrit avec précision la manière de fabriquer un loch et l'établissement des nœuds qui serviront à déterminer la marche de la chaloupe - illustration concrète du non-sens absolu qui consiste à parler par exemple de « nœuds à l'heure » :)Ŝilderik (d) 6 juin 2010 à 00:55 (CEST)[répondre]

L'intro précise que l'on peut dire "la Bounty", ce que je conteste : si, pour les anglo-saxons, les navires sont féminins, en français on utilise toujours le masculin (puisque l'on d'un navire ou d'un bateau), sauf cas exceptionnels quand le nom du navire est clairement féminin ("la Jeanne" pour la Jeanne d'Arc). Pour le Bounty, je ne vois pas de raison d'utiliser le féminin. le Korrigan bla 11 février 2006 à 16:29 (CET)[répondre]

Je suis assez d'accord, mais sans être aussi péremptoire. Le français a évolué, Jules Verne n'avait pas de problème à dire « la Bounty ». De plus, Bounty veut dire Bonté, ce qui peut être une raison de plus d'accepter le féminin. Ŝilderik (d) 21 mai 2009 à 19:50 (CEST)[répondre]
Je suis en train de lire la trilogie de Nordhoff et Hall, dans la récente traduction française, dans laquelle le choix a été fait d'utiliser le féminin pour le nom du navire. En fait, je crois que le féminin a toujours été utilisé (à vérifier), sauf pour les titres français des trois films (35, 62, 84) tirés de ces livres. L'impact de ce masculin est assez profond sur nous qui avons vu ces films avant de lire quoique ce soit sur le sujet pour considérer maintenant anormal l'usage du féminin. Je prône et emploie maintenant systématiquement le féminin. Ŝilderik (d) 6 juin 2010 à 00:50 (CEST)[répondre]
Eh bien je me suis pris par la main et ai rendu à la Bounty son genre :) Ŝilderik (d) 27 septembre 2010 à 19:58 (CEST)[répondre]
Je propose dorénavant que toutes les pages de navires soient féminisées. À commencer par la page de la Titanic. 30 octobre 2012
Je suis d'accord avec le premier commentaire : en français le nom du bateau est masculin, d'ailleurs on dit Le Queen Mary II ou Le Pacific Princess par exemple, alors que ce sont des noms anglais et féminins. La grammaire anglaise n'est pas censée s'appliquer en français, par contre l'usage français oui. Franchement La Bounty ça ne cadre pas, je trouve étrange que ce ne soit pas plus largement ressenti. --83.149.126.157 (discuter) 8 septembre 2017 à 15:12 (CEST) Jérémie[répondre]
En français, le genre des navires et des bateaux est celui du type de navire ou de bateau, et non celui du nom propre, qui n'est qu'une apposition au type. C'est uniquement par ellipse que le nom propre semble constituer la dénomination complète. Par exemple : le paquebot France, la frégate Boudeuse, le bateau baliseur Baie de Somme donnent respectivement le France, la Boudeuse, le Baie de Somme. La dénomination complète "the HMS Bounty" se traduit en français par "le navire de Sa Majesté Bounty", d'où, par ellipse, le Bounty.--Ramsès Deux (discuter) 13 juillet 2021 à 04:52 (CEST)[répondre]

Je suis étonné de cette explication dans la partie Livres : Le drame de la Bounty a inspiré de nombreux auteurs : * John Byron : L'Île, ou Christian et ses compagnons

Or John Byron est mort en 1786, soit 3 ans avant la mutinerie. Il y a une erreur quelques part non ? Grimko (d) 9 février 2011 à 17:17 (CET)[répondre]

En effet, il s'agit d'un poème de Lord Byron, petit-fils de John Byron. 10 mars 2011 à 13:15 (CET)Fenimore

Proposition de modifications faites par IP[modifier le code]

(Déplacé en bas de page par --Lebob (d) 10 août 2012 à 10:18 (CEST))[répondre]

Bjr

cet article n'est pas clair.

Voici un début qui serait meilleur : L'indépendance des 13 colonies britanniques d'Amérique du Nord met fin au commerce triangulaire, des Britanniques à la fin de la guerre d’indépendance et porte un coup économique aux planteurs des îles. Ceux-ci peinent à trouver de nouvelles sources d'approvisionnement pour nourrir leurs esclaves : le prix des denrées alimentaires devient excessif.

Le naturaliste anglais Joseph Banks se souvient avoir observé, lors de son voyage dans le Pacifique Sud avec le capitaine Cook sur l’Endeavour, les Tahitiens se nourrir de fruits de l'arbre à pain, Uru en Reo Maohi. Ces derniers très prolifiques, une fois cuits, présentent une chair blanchâtre semblable à de la mie de pain collée. Les problèmes d'approvisionnement des esclaves aux Antilles lui laissent entrevoir l'intérêt qu'il y aurait à introduire et acclimater l'arbre à pain.

Le roi d’Angleterre George III accueille le projet avec enthousiasme. L'Amirauté britannique achète un navire et nomme le lieutenant William Bligh, comme capitaine. Ce dernier doit cette recommandation à ses qualités d'excellent marin, au fait qu'il a navigué avec Cook comme maître d'équipage sur le HMS Resolution et qu’il s'est lié d'amitié avec le naturaliste Joseph Banks.

Ajouter que Christian Fletcher a été promu au rang de Master's mate ce qui est l'équivalent aujourd'hui d'enseigne de vaisseau.

HD