Discussion:Hydrant

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Titre anglais[modifier le code]

Hydrant est un mot anglais qui signifie « prise d'eau » ou « borne d'incendie » quand elle est spécialement destinée à cette usage. Je ne vois pas la raison de donner un titre anglo à un article de l'encyclopédie francophone. Spedona 10 jan 2005 à 09:20 (CET)

Parce que c'est comme ça que l'appellent une bonne moitié des pompiers francophones. PsychoMessiah, le 13 août 2006 à 22:17 (CEST)[répondre]

Seulement en France? Au Québec nous appellons cela des "Bornes Fontaine" peut-être faudrait-il ajouter la redirection?--Tiggerst (d) 16 février 2008 à 11:54 (CET)[répondre]

Effectivement la question du nom est assez débattue. Officiellement en Suisse on utilise « hydrant » (avec les variantes « borne-hydrant » – souvent au féminin « borne hydrante » – et « hydrant souterrain ») ; bien que « poteau d'incendie » et « bouche d'incendie » soient aussi officiels et bien plus utilisés. En France, en Belgique, au Québec, je ne sais pas. Mais je ne crois pas qu'il y ait matière à renommer. On fera des redirections lorsque nécessaire. — Florian, le 16 février 2008 à 22:53 (CET)[répondre]
J'ai ajouté la redirection Saintamh (d) 24 mars 2008 à 13:05 (CET)[répondre]

je me me demande si c'est seulement au Québec qu'on a tendance à dire une "bonne-fontaine" ou c'est répandu ailleurs dans la francophonie.

Je crois que cette page devrait s'appeler "Borne d'incendie" ou "Poteau d'incendie". Les deux sont utilisées au Québec et sont probablement correct aussi en France. Personne n'appelle ça un "hydrant" au Québec et la majorité des gens ne doivent pas savoir ce que c'est.


Le titre est très mal choisi, le mot "Hydrant" est un régionalisme. De plus l'étymologie données est totalement erronée, se référer à au dictionnaire de l'académie française : http://atilf.atilf.fr/dendien/scripts/tlfiv5/advanced.exe?8;s=1570939740;

Hydrant ... jamais entendu ce terme avant d'arriver ici par redirection ! C'est contraire au principe de moindre surprise. Bouche d'incendie, souvent ; borne d'incendie parfois. Golfestro (d) 20 juin 2012 à 11:06 (CEST)[répondre]

Attention, le terme hydrant ne figure pas dans les dictionnaire en lignes qui sont utilisés pour rédiger les pages wikipedia. Le dictionnaire que j'utilise propose deux autres termes: hydranthe et hydratant.

Citernes ? Fosses ?[modifier le code]

C'est quoi cette histoire de citernes (ou de fosses de 10 mètres cubes) sous les hydrants ? C'est peut-être le cas sur certaines installations particulières, mais on ne peut absolument pas généraliser comme ceci. J'attends des sources sinon il faudra effacer... — Florian, le 21 mai 2010 à 01:11 (CEST)[répondre]

Relecture[modifier le code]

Suite à la demande de relecture, je fais un passage. Je m'attarde sur le fond, n'étant pas un cador en orthographe.

1-Je ne suis pas pompier et donc je ne connait pas le nom exact mais pour moi français, c'est une borne incendie. J'espère que les redirects ont été crée (y compris pour les appelations québecquoise cf ci dessus)

2- "À défaut, le tuyau souple utilisé pour brancher la pompe sur l'hydrant se pince, et il y a un risque de détérioration du réseau (destruction et aspiration des joints entre tuyaux de la canalisation, voire effondrement de la canalisation sous le poids du terrain, tous ces éléments étant conçus pour résister à une pression positive)." -> là je demande une source, car de mon point de vue et de mes connaissances cela releve du n'importe quoi. Et comment ça tient quand on installe la canalisation, qu'on rebouche la tranchée et qu'il n'y a pas encore d'eau dans le tuyau cela s'éffondre?

3-"Le réseau doit être pourvu de réserves suffisantes pour permettre l'extinction d'un incendie et l'usage normal du réseau (eau potable ou industrielle)." Je ne sais pas comment c'est fait en ville, mais dans le village de mes grand parents, il y a deux réservoirs séparés, celui pour l'incendie ne servant jamais en temps normal.

4-"L'utilisation d'un hydrant par un pompier nécessite un équipement approprié de protection individuelle, tels que des gants, un casque avec visière et une clé tricoise." Ah bon, sans casque pas moyen d'ouvrir la borne? Sans gant non plus? Le seul outil nécessaire est la clé.

5-"En France, les réserves d'eau doivent être pérennes. Par exemple, un cours d'eau qui n'aurait pas de débit en été du fait de la sécheresse ne peut être répertorié, comme hydrant." Là je ne comprend plus. Si je me fie au début hydrant= borne à incendie et là hydrant est aussi un cours d'eau (dans ce cas à quoi sert la clé tricoise?)

6-"Sous l'hydrant se trouve une citerne[réf. nécessaire] et des canalisations souterraines qui permettent d'alimenter l'hydrant en eau. Les fosses d'hydrants peuvent contenir généralement au moins un volume d'eau de 10 m³.[réf. nécessaire] En période d'hiver, la vanne de vidange souterraine s'ouvre lorsque la valve d'eau est complètement fermée afin que l'eau ne gèle pas." Juste avant on dit qu'un ruisseau qui s'asseche l'été ne peut être considéré comme un hydrant mais là on vidannge le reseervoir l'hiver mais cela ne pose pas de problème. Belle incohérence, non?

7-"De plus, les intempéries peuvent les endommager, notamment les boulons de fixation de l'hydrant." -> on a inventé il y a quelque temps maintenant des boulons inox...

Conclusion: il y a encore du travail. Skiff (d) 20 juin 2010 à 10:17 (CEST)[répondre]

Bonjour,
étant moi-même pompier et ingénieur civil, je pense pouvoir répondre aux points que vous soulevez :
1-Non. "Borne incendie" ne trouve sa place que dans le langage populaire et n'a pas de valeur officielle. Quelques rares pompiers l'utilisent par (mauvaise) habitude.
2-Les canalisations vides sont soumises à la pression atmosphérique (à l'intérieur) et n'encourent aucun risque. Lorsqu'une motopompe créé une aspiration (dépression), la pression descend en-dessous de la pression atmosphérique ; généralement il n'y pas de problème, mais le risque devient présent. On pourrait reformuler la phrase de manière moins affirmative.
En quoi sont fait les canalisations? Si c'est de l'acier (comme j'ai pu le voir dans le village en question, mais la canalisation date un peu) c'est pas une pression "négative" (ie: vide) d'un bar qui va lui faire peur. Si c'est un polymère renforcé par un treillis, là je peux concevoir que le tuyau s'aplatise sur lui même.
3-Votre cas est à ma connaissance plutôt particulier, en principe on dimensionne un réservoir pour lui laisser une "réserve d'incendie" prévue. Le problème avec le système de votre village, c'est que l'eau stagne et sa qualité n'est plus garantie, même comme eau d'extinction.
Mouais, le reservoir en question est quand même netoyé une fois par an. De la a dire qu'"il faille une eau de qualité pour éteindre un incendie, j'ai des doutes. Mais bon, je concède que c'est peut-être un cas particulier. Skiff (d) 21 juin 2010 à 22:44 (CEST)[répondre]
4-Ça, c'est le formalisme des règlements qui préconisent effectivement le port du casque "au cas où"... on peut virer tout ça.
5-Là, il faudrait dire "un hydrant alimenté par un cours d'eau qui n'aurait pas de débit en été...". Il naît d'un abus de langage qui est mal précisé dans l'article : je ne sais pas si un raccord ne servant que de prise d'eau pour le pompage dans un cours d'eau/citerne/piscine peut être vraiment appelé hydrant, compte tenu de la définition en début d'article qui parle de la nécessité d'un réseau d'eau sous pression. D'ailleurs les anglophones parlent de dry hydrant (hydrant sec) : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Dry_hydrant.jpg. À préciser...
6-C'est moi qui ai posé les [réf. nécessaire]. J'imagine que cette phrase est nourrie par l'abus dont je parlais au point précédent, en effet je n'ai encore jamais vu de fosse sous un hydrant qui serait également pourvu de canalisations... d'où la réf. néc. Par contre vous avez mal compris la suite, c'est seulement le corps de l'hydrant ainsi que la canalisation verticale sous l'hydrant qui se vident automatiquement, été comme hiver (s'il y a une citerne, ce n'est pas elle qui se vide).
7-Ça c'est des conneries, à virer.
Voilà, y'a effectivement du boulot mais c'est surtout des références à donner sur le point 5. — Florian, le 21 juin 2010 à 21:11 (CEST)[répondre]

Hydrant et borne-fontaine[modifier le code]

Une des bornes-fontaines installées vers la fin du XIXe siècle afin de proposer davantage de points d'accès à l'eau potable. Rue de la République à Chaumontel (95).

Salut, la redirection depuis la page de redirection "Borne fontaine" n'est pas pertinente. Il faut aussi garder en vue l'évolution historique. Les bornes-fontaines avaient comme mission d'approvisionner les habitants en eau potable, entre la fin du XIXe siècle et jusque dans les années 1930, voire nettement plus tard dans des très petites communes rurales. Les bornes-fontaines avaient des robinets, et leur débit n'était pas suffisant pour combattre des incendies. En voici une illustration, montrant le modèle le plus simple. Des modèles plus prestigieux se trouvent encore dans de très nombreuses villes, généralement en fonte. Je me permets de demander aux auteurs du présent article de corriger cette erreur. Cordialement, Pierre--P.poschadel (d) 15 mai 2011 à 14:49 (CEST)[répondre]

Ces bornes fontaines en fontes sont généralement des Fontaines Bayard Lyon JeanBono (d) 15 mai 2011 à 18:37 (CEST)[répondre]
Ah oui, je vois de quoi tu parles ! Mais ce modèle n'était apparemment pas répandu en milieu rural. Quoi qu'il en soit, c'est un élément du mobilier urbain qui mérite d'être présenté sur WP, et il ne convient pas de faire l'amalgame avec l'hydrant.--P.poschadel (d) 15 mai 2011 à 19:04 (CEST)[répondre]
Je suis Québécois et ici je n'ai jamais entendu le therme hydrant de ma vie... borne-fontaine est ici le seul therme utilisé (dans l'article il est d'ailleurs mentionner qu'en amérique du nord on parles de borne-hydrante, ce qui est inexact). Je crois que ça mérite non-seulement une correction mais aussi que sois reformuler l'explication.

Renommage[modifier le code]

Ce renommage sans préavis est tout bonnement inadmissible ! Qu'est-ce qui le justifie sans discussion préalable ? — Florian, le 7 octobre 2011 à 19:59 (CEST)[répondre]

hydrant et poteau d'incendie[modifier le code]

en France, les exploitants de réseau de distribution d'eau potable font une différence entre poteau d'incendie et hydrant.

poteau d'incendie : borne reliée au réseau d'eau potable répondant aux critère de défense incendie :

- si diamètre 100mm -> 60 mètre cube d'eau par heure pendant deux heures à une pression de 1 bar 
- si diamètre 150mm -> 120 mètre cube d'eau par heure pendant deux heures à une pression de 1 bar 

l'hydrant se trouve sous la surface du sol (il suffit de soulever la bonne plaque de métal sur la chaussée). Contrairement au poteau d'incendie qui permet plusieurs branchements (le plus souvent trois), l'hydrant n'a qu'une "prise". De plus, l'hydrant ne répond pas aux critère de défense incendie. Il ne sert donc qu'en cas de travaux sur le réseau pour purger la portion concernée.

chaque vs tousles[modifier le code]

Bonjour, j'ai récemment remarqué un changement intrigant dans le remplacement ci-après::

En 1881, la ville de Paris envisage de placer des bouches à incendie chaque 200 mètres, et chaque 100 mètre pour l'eau en haute pression; en positionnant des plaques rouges sur les murs avoisinant pour faciliter la découverte des bouches sous la neige[1]. Il est alors question de déployer le standard 100 millimètres Keyser. En 1881, la ville de Paris envisage de placer des bouches à incendie tous les 200 mètres, et tous les 100 mètres pour l'eau en haute pression ; en positionnant des plaques rouges sur les murs avoisinants pour faciliter la découverte des bouches sous la neige[2]. Il est alors question de déployer le standard 100 millimètres Keyser.

Ce changement me semble critiquable à double titre: son imprécision, sa longueur (deux mots au lieu d'un seul).

Rappelons-nous d’abord que l'usage de chaque suivi d'un numéral et d'un subst. plur. est autorisé, attesté et documenté ne serait-ce que par le TLFI: [1]. La raison à cela? «Chaque est possible parce que numéral + subst. plur. n'exprime pas une pluralité de concepts, mais une grandeur, ainsi que le montre cet emploi en fonction de suj.»

On peut ainsi utiliser chaque pour des distances de manière assez précise:

  • Exemple: «En effet, chaque trente toises d'élévation dans ces montagnes équatoriales équivaut à vingt-cinq lieues ou à un degré de latitude (BERNARDIN DE SAINT-PIERRE, Harmonies de la nature, 1814, p. 212).»

Le mot tous les, d'après le même TLFI peut être «Suivi d'une unité de longueur, pour exprimer l'idée d'intervalle»

  • Exemple: Tous les cent pas, un cimetière minuscule, serré entre deux logis, entasse les unes sur les autres ses trois douzaines de vieilles tombes

Le mot chaque est utilisé par des gens pas seulement reconnus, mais également doté d'une notoriété inégalée:

  • Exemple: «À chaque cinq minutes, une jeune fille entrait» (ZOLA, Thérèse Raquin, 1867, p. 19).
  • Exemple: «Ton nom était sur nos lèvres chaque deux minutes» (MALLARMÉ, Correspondance, 1866, p. 210).
  • Exemple: «Chaque trente secondes, (...) Fabien plongeait sa tête dans la carlingue» (SAINT-EXUPÉRY, Vol de nuit, 1931, p. 113).

Last but not least, le mot chaque apporte une précision que ne porte pas le mot tousles

  • Exemple: «Vingt fois dans chaque vingt-quatre heures» (GOBINEAU, Nouvelles asiatiques, Les Amants de Kandahar, 1876, p. 244).

Si l'on devait remplacer chaque usage du mot chaque par tousles, cela dissiperait une certaine confusion:

  • «En effet, toutes les trente toises d'élévation dans ces montagnes équatoriales équivaut à vingt-cinq lieues ou à un degré de latitude
  • «Vingt fois toutes les vingt-quatre heures»

Je propose donc de revenir au chaque qui précédait le tousles, sauf argument contraire. Chaque argument doit être considéré, et chaque mot compte.

  1. Gabriel Édouard (Colonel) Auteur du texte Paris, Le feu à Paris et en Amérique / par le Colonel Paris,..., Germer Baillière et Cie, (lire en ligne)
  2. Gabriel Édouard (Colonel) Auteur du texte Paris, Le feu à Paris et en Amérique / par le Colonel Paris,..., Germer Baillière et Cie, (lire en ligne)

Réseau aérien ou souterrain d'eau sous pression ?[modifier le code]

En France, un PEI (borne ou bouche) est relié à :

  • un réseau d'eau sous pression (PEI peint en rouge),
  • un réseau d'eau en sur-pressé et/ou additivé (PEI peint en jaune),
  • une réserve : (PEI peint en bleu)
    • artificielle (citerne aérienne souple ou rigide, citerne enterrée),
    • naturelle (rivière, étang, lac).

Dans le cas des réserve, il n'y a pas de pression et il faut pomper l'eau. On parle de poteau ou de bouche d'aspiration.[1]

--pyrog (discuter) 17 décembre 2018 à 20:56 (CET)[répondre]

Bouche ou poteau d'incendie ?[modifier le code]

  • La bouche d'incendie est un appareil de robinetterie […] permettant le branchement au niveau du sol du matériel mobile des services de lutte contre l'incendie.
  • Un poteau d'incendie est une installation analogue à la bouche d'incendie mais dont les prises sont disposées au-dessus du sol.[2]

Bouche d'incendie, prise d'eau sous chaussée ou trottoir à l'usage des pompiers.[3]

Il n'y a pas de définition des poteaux (ou bornes) et des bouches dans les différents documents concernant la défense extérieure contre l’incendie (DECI), mais les illustrations sont explicites. (Par exemple[4])

--pyrog (discuter) 17 décembre 2018 à 21:13 (CET)[répondre]

Hydrant...[modifier le code]

Bonjour, le principe du terme le plus diffusé ne me semble pas être respecté pour le titre ici. Je n’avais jamais rencontré le terme « hydrant » en français.

D’après Le Robert, c’est un terme « régional » et pour et Le Larousse, c’est un terme suisse. Je suis contre le franco-centrisme, mais il me semble que « hydrant » est d’usage assez minoritaire dans la francophonie. « Borne d’incendie » me semble être bien plus répandu ; c’est en tout cas un des termes les plus en usage en France et au Canada. --Lœnidra (discuter) 8 octobre 2021 à 22:55 (CEST)[répondre]

Tout à fait d'accord. Cela fait deux fois que je tombe sur cette page lors de traductions, et je suis toujours aussi surpris. En lisant l'historique des commentaires, je me rends compte que tout le monde est contre le nom de cette page, à la fois pour des raisons de fréquence d'utilisation, mais aussi de définition. Il semble qu'il y ait consensus pour renommer cette page, et éventuellement créer une rubrique « hydrant », voir une autre page. La question problématique est comment la renommer. Pour la France, c'est clair, c'est une bouche d'incendie. Mais borne pour le Canada et poteau pour la Suisse. Quid de l'Afrique francophone ? J'aurai tendance à penser que « borne d'incendie » serait un bon compromis, en énumérant les synonymes comme c'est le cas actuellement. NicGambarde (discuter) 17 octobre 2021 à 10:25 (CEST)[répondre]
Pas tout à fait d'accord avec vous. Je connais le terme Hydrant depuis longtemps. Une simple recherche google sur "contrôle des hydrants" démontre que ce terme est utilisé par les professionnels en France. Notamment, et par exemple, un rapport de contrôle des hydrants sur un site du gouvernement ou un document de vérification des hydrants des pompiers de Dordogne (le terme hydrant s'y retrouve 17 fois).-- Ghoster (¬ - ¬) 18 octobre 2021 à 09:16 (CEST)[répondre]
Pas d'accord non plus. En Belgique ce terme est l'usage principal pour désigner les prises d'eau de rue ou murales dans les bâtiments. Ce terme est inscrit à de multiples reprises dans les manuels officiels de pompiers belges, tant pour le cadre de base (B01/02), que moyen (sous-officiers - M01/02) ou que supérieur (officiers - OFF1 à 3). Vous trouverez ces documents officiels ici : [2]. Si je peux tout à fait concevoir que ce terme ne soit pas le plus employé en France, cet article est international pour tous les francophones, donc les autres pays sont à prendre ne compte également. Et à ce que je lis sur cette page de discussion, il n'y a pas que la Belgique. On retrouve apparemment également ce terme en Suisse. Donc pour moi il est tout à fait pertinent. Bien cordialement, Hombre del rio (discuter) 18 octobre 2021 à 10:49 (CEST)[répondre]
Pour info, la version gratuite du Robert n’indique pas tout, dans la version numérique du Petit Robert, on trouve ceci :

« ÉTYM. 1872, ~ 1871 ◊ mot allemand ■ RÉGION. (Moselle, Alsace, Belfort, Luxembourg, Suisse) Borne d’incendie. »

Le mot semble donc aussi utilisé dans l’Est de la France (ce que dit aussi le GDT), probablement par influence de ses voisins. — Thibaut (discuter) 21 octobre 2021 à 07:58 (CEST)[répondre]
Je suis d’accord que le terme « hydrant » existe en français, mais je continue à contester le fait qu'il devrait être le terme choisi pour le titre de l’article, car il ne me semble pas être le plus usuel dans la francophonie en général. Ce principe est utilisé, en règle général, dans tous les articles de Wikipédia. — Lœnidra (discuter) 8 août 2022 à 21:04 (CEST)[répondre]