Discussion:IBM

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

Historique détruit[modifier le code]

Voir ci-dessous la liste des versions contenant un copyvio exilées dans Special:Undelete/IBM/purge. — Rhadamante 16 février 2010 à 15:54 (CET)[répondre]

  1. (diff) 16 février 2010 à 15:09 . . Geograf (discuter | contributions | bloquer) (45 276 octets) ("Bâtissons une planète plus intelligente" :  : rajout du = dans le modèle Copie de site)
  2. (diff) 16 février 2010 à 14:26 . . Geograf (discuter | contributions | bloquer) (45 235 octets) ("Bâtissons une planète plus intelligente" : : violation du droit d'auteur)
  3. (diff) 14 février 2010 à 21:26 . . Geograf (discuter | contributions | bloquer) (45 115 octets) (pertinence du texte de la section : "Bâtissons une planète plus intelligente")
  4. (diff) 24 janvier 2010 à 11:42 . . Elvin (discuter | contributions | bloquer) (45 071 octets) (Annulation des modifications 49188538 de 81.192.172.46 (d))
  5. (diff) 24 janvier 2010 à 11:28 . . 81.192.172.46 (discuter | bloquer) (45 071 octets)
  6. (diff) 20 janvier 2010 à 16:19 . . 86.221.36.131 (discuter | bloquer) (45 071 octets)
  7. (diff) 13 janvier 2010 à 17:21 . . 93.35.56.39 (discuter | bloquer) (45 069 octets) ("Bâtissons une planère plus intelligente")
  8. (diff) 12 janvier 2010 à 22:00 . . Olevy (discuter | contributions | bloquer) (45 069 octets) (.)
  9. (diff) 12 janvier 2010 à 18:29 . . Olevy (discuter | contributions | bloquer) (45 135 octets) (chgtsà IBM)
  10. (diff) 12 janvier 2010 à 12:29 . . OgilvyOne (discuter | contributions | bloquer) (45 214 octets)
  11. (diff) 12 janvier 2010 à 12:28 . . OgilvyOne (discuter | contributions | bloquer) (44 723 octets) (ajout de l'explication du slogan)
  12. (diff) 12 janvier 2010 à 11:55 . . OgilvyOne (discuter | contributions | bloquer) (41 820 octets) (Logiciels)
  13. (diff) 12 janvier 2010 à 11:46 . . OgilvyOne (discuter | contributions | bloquer) (41 945 octets) (Services)
  14. (diff) 12 janvier 2010 à 10:27 . . OgilvyOne (discuter | contributions | bloquer) (40 508 octets) (mise a jour de la partie logiciels)
  15. (diff) 12 janvier 2010 à 10:17 . . OgilvyOne (discuter | contributions | bloquer) (40 530 octets)

Discussion[modifier le code]

Peut-être serait-il bon de parler du logo et des différents surnoms d'IBM avant son histoire. (Actuellement, le terme Big Blue est utilisé avant d'être expliqué) Explopulator 19:09 30 sep 2005 CEST.

N'est-il pas dommage de cantonner les 3 premiers paragraphes quelques chiffres, aussi exorbitants puissent-ils être, sur un article parlant d'une entreprise à l'histoire aussi riche ? Je réecrirais bien l'introduction, mais je ne souhaite pas imposer mon point de vue. Qu'en pensez-vous ? Explopulator 21:28 7 oct 2005 CEST

aucune mention sur le passé nazi de la firme ? il y a pourtant un paragraphe sur l'article anglais de wp aliocha23

C'est en ce cas à toutes les entreprises étatsuniennes qu'il faudrait faire ce reproche, et ce jusqu'en 1941 pour la plupart. Notons qu'i n'y avait pas d'IBM à cette époque en Allemagne, mais une filiale qui se nommait la Dehomag (Deutsche(s?) Hollerith Maschinen Aktiengesellschaft, peut-être). Coca-Cola, lui, était présent sous sa marque. Morus 17 mars 2006 à 14:54 (CET)[répondre]

Rendons à Cary ce qui n'est pas à Akers[modifier le code]

John F. Akers : Définition ouverte du PC en 1981 aux USA (1983 en Europe) avec la commande du système d’exploitation PC-DOS à Microsoft (Bill Gates) : Non; c'est Frank Cary qui a nommé l'équipe d'Estridge avec pour mission de créer le PC, et cela en 1979 (des fuites dans le New York Herald Tribune en font d'ailleurs foi). Quand Akers arrive aux commandes, le produit est en phase de fabrication intensive : s'il est annoncé en France en 1983, il l'avait été dès 1981 aux Etats-Unis. Akers, lui, ne devient président d'IBM qu'en 1983 !

Franl Cary a d'ailleurs derrière lui toute l'histoire des précedents ordinateurs personnels - qui à part le 5110 ne furent pas de très grands succès, d'où son changement de stratégie. Morus 16 mars 2006 à 07:50 (CET)[répondre]

Sources SVP[modifier le code]

"La compagnie a souvent été décrite comme possédant une culture fortement tournée vers les affaires."

Une compagnie commerciale qui ne serait pas "fortement" tournée vers les affaires, elle fait QUOI ?

Faillite et licencier le personnel, attendre les subventions des contribuables…comme certaines!

Wikipédia devrait être classé dans les sites "humour" Daniel - 5 avril 2008

Pour demander des références sur un passage, on peut utiliser le modèle {{refnec}} (j'ai l'ai rajouté 2 fois au chapitre 'Culture'). Au moins, ça prévient que le passage est sujet à caution. C'est vrai qu'on pourrait limite supprimer la phrase mais je pense que l'auteur a juste mal tourné sa phrase pour dire que IBM a une importante culture d'entreprise, notamment pour sa partie commerciale/relation client (une affirmation qui a aussi besoin de références :). Romainhk (QTx10) 5 avril 2008 à 14:38 (CEST)[répondre]

Bonjour,

Cette diff indique George W. Faichild comme fondateur, ce qui me parait discutable. Si je lis les articles sur en:, en:Computing Tabulating Recording Corporation (CTR) est le fruit de la fusion de 1911 de plusieurs sociétés, sous l'impulsion du financier en:Charles Ranlett Flint :

CTR est présidé et dirigée par Fairchild de 1911 jusqu'en 1914 où il est remplacé comme General Manager par en:Thomas J. Watson, tandis que Fairchild reste le chairman jusqu'à sa mort en 1924. CTR est renommé IBM en février 1924. AMA Hollerith ou Flint méritent plus d'être considérés comme fondateurs que Fairchild, mais une source explicite serait la bienvenue.

mro [d] 5 mai 2008 à 09:05 (CEST)[répondre]

Sur 3 liens dans "Notes et références"...[modifier le code]

... 2 qui pointent sur l'Allemagne nazie, soit 66% ? Voilà qui semble pour le moins orienté... 212.198.23.126 (d) 18 juin 2008 à 01:45 (CEST)[répondre]

Il n'y a rien d'anormal à apporter des sources spécifiques à des informations qui peuvent faire l'objet de controverses comme celles que vous mentionnez. Cela dit, n'hésitez pas à ajouter des notes à d'autres endroits si c'est opportun. — mro [d] 18 juin 2008 à 08:46 (CEST)[répondre]
+1, cet article manquant dramatiquement de sources par ailleurs. Daniel*D  20 juin 2008 à 09:49 (CEST)[répondre]

"Bâtissons une planète plus intelligente"[modifier le code]

En fait, cette section est copiée d'une page du site d'IBM : voir page droit d'auteur associée Geograf (d) 16 février 2010 à 14:32 (CET)[répondre]

copyvio traité par Rhadamante. Merci. Geograf (d) 16 février 2010 à 16:08 (CET)[répondre]


Renommage vers IBM[modifier le code]

Que pensez vous d'un renommage de la page en IBM ? Cdlt, Kyro cot cot ? le 9 juin 2010 à 14:31 (CEST)[répondre]

Une évidence. --Bruno des acacias 15 octobre 2010 à 08:53 (CEST)[répondre]
Pas d'accord. Les règles sur les titres sont claires, il n'y a aucune raison de faire une exception ici.
Attaquez vous plutôt au renommage de Tōkyō et Viêt Nam...
--Hercule Discuter 17 octobre 2010 à 22:08 (CEST)[répondre]
La régle qui est régulièrement avancée est le principe de moindre surprise. Mettez-vous d'accord entre pro et anti avant d'affirmer tout de go « La régle est simple » puisqu'il y en a deux. --Bruno des acacias 1 février 2011 à 10:21 (CET)[répondre]
Il y a un point spécifique concernant les sigles, avec un exemple on ne peut plus parlant : si c'était le principe de moindre principe qui devait s'appliquer systématiquement l'article sur la compagnie ferroviaire nationale s'intitulerait SNCF.
Donc oui, la règle est claire.
--Hercule Discuter 1 février 2011 à 11:40 (CET)[répondre]
Un point spécifique n'est jamais un point clair. --Bruno des acacias 1 février 2011 à 11:46 (CET)[répondre]
Franchement c'est une spécificité de WP:fr que je trouve totalement ridicule, qui appelle encore de nos jours la SNCF "Société nationale des chemins de fer français" ou encore IBM "International Business Machines". Kyro me parler le 1 février 2011 à 19:25 (CET)[répondre]

Vidéo du centenaire[modifier le code]

Ce serait peut-être un peu lourdingue d'en mettre le lien dans l'article, mais cette vidéo du centenaire présente le mérite de bien graduer l'historique. Le lien aura peut-être sa bonne place ici en page de discussion, au moins pour étayer les dates fournies :

http://www.youtube.com/watch?v=39jtNUGgmd4&NR=1

212.198.153.55 (d) 1 février 2011 à 01:48 (CET)[répondre]

(L'historique proprement dit ne commence qu'à partir de 2:00) 212.198.153.55 (d) 1 février 2011 à 01:51 (CET)[répondre]

Texte transféré de l'article par Olevy et à considérer d'un oeil critique[modifier le code]

IBM a été propriétaire de la firme allemande Dehomag dès 1922 et a collaboré avec le régime national socialiste. Le livre-enquête d'Edwin Black révèle cette collaboration et les profits de la société IBM sous la direction de Thomas J. Watson.

http://www.lexpress.fr/informations/holocauste-les-listes-ibm_641323.html http://www.lexpress.fr/informations/watson-un-criminel-en-col-blanc_641324.html


IBM et l'Holocauste[modifier le code]

Dans IBM et l'Holocauste, paru en 2001, Edwin Black dénonce les relations commerciales entre le géant de l'informatique et l'Allemagne nazie. IBM a vendu au régime national-socialiste des machines permettant de faciliter le recensement de la population et d'associer à chaque individu un « code barre informatique ». Ce système a aidé les nazis dans leur génocide grâce à l'identification de la population juive d'Allemagne de 1933 à 1939.

Suite à quelques recensions négatives, telle que celle de l'historien Peter Hayes[1], à laquelle Black eut un droit de réponse[2], certains ont bien rapidement conclu que les travaux de Black n'étaient pas fondés. Par la suite, ces quelques critiques soit se sont rétractés, reconnaissant leur erreur, soit ont été eux-mêmes dénoncés comme fort peu scrupuleux[3].

Aujourd'hui, les travaux de Black sur les liens, certes non causaux, entre IBM et l'holocauste sont reconnus par des spécialistes éminents[4], comme Saul Friedländer qui écrit :

« L'étude de Black n'est pas sans intérêt ; elle contient une mine de détails inconnus ou peu connus. L'auteur montre de façon convaincante les efforts incessants fournis par IBM pour maximiser ses profits en vendant ses machines et ses cartes perforées à un pays dont les actes criminels allaient bientôt être notoirement reconnus. De fait, Black démontre avec une grande précision que le propriétaire quasi divin de cette corporation, Thomas J. Watson, était insensible à la dimension morale de ses affaires avec l'Allemagne de Hitler et pendant des années a même entretenu quelques affinités avec le régime nazi. Le marché allemand était essentiel pour les activités d'IBM en Europe, et Watson était prêt à tout pour garder le contrôle de sa filiale allemande, Dehomag, même quand des officiels nazis haut-gradés furent introduits au conseil de direction. Il ne cessa jamais, même quand il devint clair que le système de tableaux d'IBM aidait au recensement des victimes[5]. »

Dans ce même article de Friedlander, on peut lire que

« l'utilisation de systèmes IBM, en particulier les machines Hollerith à cartes perforées, pour des opérations de recensement ultra précises et détaillées, ont permis aux Nazis de rapidement identifier et localiser les Juifs destinés à la déportation et l'extermination. Cette question n'est pas nouvelle. Elle fut documentée en détail dans une étude datant de 1984 publiée par deux historiens allemands, Götz Aly et Karl-Heinz Roth, sous le titre Die restlose Erfassung (« Le contrôle total »)[6],[7]. »

On notera d'ailleurs que le livre des historiens Götz Aly et Karl-Heinz Roth, traduit en anglais en 2004 et préfacé par Edwin Black, approfondit la question de la technologie statistique appliquée au recensement « des Juifs, des Roms et d'autres personnes d'origine non-allemande »[8] par les nazis.

  1. Hayes, Peter, Did IBM Really Cozy Up to Hitler?, Business Week, 19 mars 2001
  2. Black, Edwin, IBM's Role in the Holocaust, Business Week, 2 avril 2001
  3. Analysphere Retraction about Edwin Black, fichier pdf, 6 mai 2003
  4. [http://www.ibmandtheholocaust.com/comments.php Commentaires par des historiens sur le livre
  5. Friedländer, Saul, Was IBM Good For the Jews?, Los Angeles Times, dimanche 20 mai 2001
  6. Aly, Gotz, and Karl Heinz Roth, Die restlose Erfassung: Volkszdhlen, Identifizieren, Aussondem im Nationalsozialismus [Complete Registration: Population Census, Identity, and Separation under National Socialism]. Berlin, Rotbuch Verlag, 1984
  7. Aly, Gotz, and Karl Heinz Roth, The Nazi Census: Identification and Control in the Third Reich, Temple University Press, 2004
  8. Aly, Gotz, and Karl Heinz Roth, The Nazi Census: Identification and Control in the Third Reich, Préface, introduction et extrait du chapitre 1

_____________________________________________________________________________

Je suis extrêmement étonné que l'article Caran d'Ache, par exemple, ne mentionne pas le fait que cette firme a fourni au régime nazi des crayons qui ont servi à écrire les noms des déportés, et à l'article Waterman le fait que (peut-être) cette société a fourni le stylo qu'utilisait Hitler !!! Et que dire de la société qui a fourni l'encre du tatouage des détenus d'Auschwitz ? Toute cette polémique ne serait que ridicule si elle n'était pas odieuse. --Elvin (d) 26 septembre 2012 à 17:04 (CEST)[répondre]

Principaux apports[modifier le code]

la boule des machins à écrire n'est elle pas une invention d'IBM ? oui ! ✔️

Leur premier logo y ressemble Breugelius (discuter) 18 octobre 2016 à 17:41 (CEST)[répondre]

Parler d'un langage de programmation créer par IBM : Le SQL.[modifier le code]

Je propose de placer a un endroit dans l'article, une section parlant du langage SQL, un langage de programmation informatique créer par IBM (https://fr.wikipedia.org/wiki/Structured_Query_Language).

Formulation inexacte[modifier le code]

"Après quelques machines de succès divers (5100, Système 23 Datamaster, Visiotexte…), il lance dans le plus grand secret le projet Acorn, qui deviendra en trois ans le PC"

Cette formulation n'a pas telle quelle de sens. Si on parle de lancer le projet, celui du PC l'a été sous Frank Cary, en 1978, et la presse d'affaires en a parlé suite à quelques fuites (on ne crée par un site IBM à Boca Raton sans susciter quelque curiosité). Le 5100 et le 5110 étaient effectivement antérieurs (lancements des produits en 1975 et 1977), le Visiotexte était l'analogue d'un Wang qu'une astuce non officielle permettait de faire tourner sous CP/M, et le système 23 a été annoncé juste trois semaines avant son retrait suite à l'arrivée du PC, en 1981 (aux USA, et en 1983 en France, le temps de tout traduire). Un projet se lance dans le plus grand secret, mais pas un produit. Et le projet a été lancé avant les sorties du Visiotexte et du Datamaster.

Ce qui montre que si le projet Acorn était connu depuis 1978 de la presse spécialisée, il était en effet inconnu des divisions existantes d'IBM, ce qui était le but afin de ne pas lancer de guerres entre labos pour récupérer le projet, problème constant alors à IBM. 2A01:E35:2E21:B580:64E5:13E0:ED65:21B1 (discuter) 28 juillet 2020 à 11:09 (CEST)[répondre]