Discussion:Interprète (informatique)

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« Il était particulièrement pratique quand les temps de réponse des machines étaient plus lents. Aujourd'hui, ce temps de compilation d'un programme répartis en différents modules est devenu négligeable, aussi les langages interprétés ont perdu de leur intérêt pour la programmation pure. »

Il me semble que l'interet des interpréteurs soit plutôt dans la portabilite que dans le temps de compilation, non ? Aoineko 11 aoû 2003 à 10:09 (CEST)

Interprète ou interpréteur ?[modifier le code]

Oh l'horrible angliscisme interpréteur! J'ai changé cela, mais maintenant il faudrait changer le titre de l'article et je ne sais pas faire.

Pierre de Lyon 2 février 2006 à 07:55 (CET)[répondre]

Interpréteur a l'avantage d'être moins ambigu, et le bon goût de correspondre à l'usage. Ce serait bien que les gens qui se permettent des modifs aussi importantes ne soient pas ceux qui font deux fautes par phrase (« angliscisme » → « anglicisme » ; faire est transitif obligatoire (ce n'est pas do !) ; et je ne compte pas la typo à l'anglaise (pas d'espace devant le point d'exclamation). Doit-on chasser de la langue française tous les mots qui viennent de l'anglais, ou tous les mots qui sont nés d'erreurs de traduction, sans en considérer les conséquences ? Palpalpalpal 24 juillet 2006 à 15:14 (CEST)[répondre]

Tout d'abord je commencerais par une petite remarque: le mot anglais «typo» se traduit en français par «coquille».

Ici, « typo » est l'abréviation de typographie. D'ailleurs je ne vois pas ce que signifierait dans ma phrase « coquille à l'anglaise ». Palpalpalpal 24 juillet 2006 à 21:29 (CEST)[répondre]

Je suis désolé, si je néglige un peu mon style dans les discussions et je vous prie de m'en excuser. Je suis aussi désolé de déroger à ma règle qui consiste en général à ne pas répondre aux attaques ad hominem; mais c'est la dernière fois dans ce forum de discussion.

Ma remarque n'est pas un ad hominem, bien qu'elle y ressemble : tout en prétendant exercer une compétence de correcteur, vous montrez l'absence d'une partie de cette compétence en faisant des fautes criantes. Vous pouvez négliger votre style, vous avez même le droit à l'erreur ; mais si c'est pour corriger les autres auteurs de Wikipédia péremptoirement (« l'horrible angliscisme »), sans arguments, qu'est-ce qui peut, à part la démonstration implicite de votre compétence, donner de la valeur à votre jugement ? Palpalpalpal 24 juillet 2006 à 21:29 (CEST)[répondre]
La voici, je pense. Dans le livre Théorie des programmes de Livercy, publié en 1976 et malheureusement hors impression, dont j'ai été le co-auteur nous utilisions le mot interprète et je crois que c'est le premier ouvrage d'enseignement en français présentant ces concepts. Une version électronique existe dans [1] et la page d'index où se trouve interprète est [2]. Pour la petite histoire, nous avions discuté certains termes opiniâtrement, mais je ne me souviens pas que nous ayons discuté le mot inteprète. Pierre de Lyon 25 juillet 2006 à 09:58 (CEST)[répondre]

Je ne vois pas où est l'absence d'ambiguïté, ni l'usage dans l'emploi d'un mot anglais. L'argument est constamment invoqué pour les anglicismes. Or souvent le français est plus riche que l'anglais. Je vais prendre quelques exemples: on nous dit souvent que «process» ne peut se traduire que par «process», or c'est précisément un mot qui a deux traductions en français à savoir «procédé» et «processus». De même «to implement» que d'aucuns traduisent par «implémenter» a deux traductions différentes «implanter» et «mettre en œuvre».

  • L'absence d'ambiguïté ? Si l'on utilise interprète, on n'a qu'un mot pour deux interprétations. Quand on utilise interpréteur, on n'a besoin d'aucune information supplémentaire pour savoir qu'on parle d'un programme informatique. Interpréteur n'a pas de page de désambiguïsation sur Wikipédia. Je ne dis pas que l'ambiguïté est forcément un mal ; simplement que c'est une partie du prix à payer si l'on élimine interpréteur, prix qu'on ne peut pas se contenter d'ignorer.
  • Je ne parle que du cas particulier qui nous occupe. Je n'ai jamais traduit process par process. Aux traductions littérales de process que vous citez, j'ajouterais procès (et traitement). Les erreurs que vous décrivez montrent qu'il faut être prudent, mais ne justifient pas de tomber dand l'excès inverse en bannissant tout anglicisme. Palpalpalpal 24 juillet 2006 à 21:29 (CEST)[répondre]
Eh bien oui, j'affirme qu'en traduisant interpreter par intepréteur on a fait n'importe quoi sans réfléchir sans regarder l'usage établi. Pierre de Lyon 25 juillet 2006 à 09:58 (CEST)[répondre]
Là-dessus, nous pouvons tomber d'accord. C'est peut-être malheureux que l'exemple de votre livre n'ait pas été suivi. Mais c'est de l'usage actuel qu'il est question. Quand nous avons intégré algorithme, nous avons peut-être fait une erreur. Que gagne-t-on et que perd-on à essayer (souvent despérément) de corriger ces erreurs passées ? Palpalpalpal 25 juillet 2006 à 13:46 (CEST)[répondre]
Je pense qu'il n'y a rien de grave, comme nous faisons une encyclopédie francophone, nous mettons le mot correct et le plus ancien attesté, à savoir inteprète et nous mettons un renvoi depuis le mot interpréteur et nous expliquons l'usage (malheureux) en train de s'installer. Profitons en pour expliquer à nos collègues informaticiens à bien parler le français (-: je voudrais dire bien l'écrire mais après mon premier message j'ai des scrupules!) et surtout n'abondons pas dans leur sens. Pierre de Lyon 25 juillet 2006 à 14:56 (CEST)[répondre]


Enfin en traduisant «interpretor» par «interpréteur» on perd l'analogie qu'a l'anglais, à savoir celle de l'homme qui traduit et celle du programme qui fait la même chose (-: oui «faire» est un verbe transitif). La traduction devient un appauvrissement.

C'est interpreter, pas interpretor. Et ce qu'on perd, c'est l'ambiguïté qu'il y a en anglais. On a toujours un lien étymologique évident. Palpalpalpal 24 juillet 2006 à 21:29 (CEST)[répondre]
J'aurais dû aller vérifier, c'est bien interpreter qui est le mot que je voulais citer et qui a une rubrique d'homonymie dans le Wikpedia anglais. Ceci dit, à ma décharge, si l'on cherche interpretor dans le Wikipédia anglais, on constate que beaucoup d'auteurs utilisent interpretor pour intepreter. Très probablement l'un doit être angalis et l'autre américain. Cependant, j'affirme que chaque fois que l'on francise un mot anglais ou américain au lieu de le traduire on perd de l'information et c'est évidemment le cas avec interpréteur. Notre langue informatique s'abatardit. Pierre de Lyon 25 juillet 2006 à 09:58 (CEST)[répondre]

Quant à l'usage, je dois dire que depuis 1969 que je pratique et enseigne l'informatique, j'ai toujours employé le mot «interprète» et mes élèves m'ont toujours compris.

Si vous leur disiez « interprétateur » (sic) ou « intéprète » (sic), ils vous comprendraient aussi bien. J'admets que déterminer l'usage n'est pas une mince affaire. Mais êtes-vous en train de me dire que les gens qui utilisent interpréteur sont rares ? Palpalpalpal 24 juillet 2006 à 21:29 (CEST)[répondre]
Non, mais je constate que les gens ignorant les ressources de la langue français sont nombreux. Pierre de Lyon 25 juillet 2006 à 09:58 (CEST)[répondre]

Pour conclure, comme je travaille pour le Wiképdia francophone, je continuerai à pourchasser les anglicismes, quoi qu'en disent mes contradicteurs, il en va de la survie de notre langue et de notre science informatique. Pierre de Lyon 24 juillet 2006 à 16:01 (CEST)[répondre]

Pourchasserez-vous bit avec la même détermination ? Quel mot suffisamment français utilisez-vous pour algorithme ? Chaque mot est un cas particulier ; je ne vois pas ce qu'on peut gagner à rejeter (ou embrasser) systématiquement tous les anglicismes. Palpalpalpal 24 juillet 2006 à 21:29 (CEST)[répondre]
(-: Le mot bit a précisément, en français, cette ambigüité dont je parlais, qui nous renvoie à coquille et qui nous rappelle notre esprit gaulois. Quant au mot algorithme j'espère que vous ne voulez par me faire dire qu'il s'agit d'un mot anglais récent.Pierre de Lyon 25 juillet 2006 à 09:58 (CEST)[répondre]
Pour bit, l'ambiguïté est effectivement gênante, et justifierait qu'on cherche un substitut – voilà une cause qui me semble plus utile que celle d'interprète. Pour algorithme, je comptais simplement sur votre coopération pour préciser les limites de votre rejet des emprunts. Palpalpalpal 25 juillet 2006 à 13:46 (CEST)[répondre]
Quant à algorithme, comme il s'agit d'un mot arabe (ou persan) attesté en français depuis le XVIe siècle, je crois, il ne s'agit pas du même débat. Mais je veux bien aussi participer. Pierre de Lyon 25 juillet 2006 à 14:56 (CEST)[répondre]
Oh, il n'y a pas de débat sur algorithme. On pourrait en lancer un, mais ça serait vraiment uniquement histoire de rigoler. Pour moi les questions seraient les mêmes : en quoi la date ou la langue à laquelle un mot est emprunté est-elle utile pour décider de son sort ? Palpalpalpal 25 juillet 2006 à 17:26 (CEST)[répondre]

Enin à propos du le point d'exclamation: il faut savoir que l'on ne met pas une espace, mais une demi-espace avant un point d'excalamation et cela mon clavier ne sait pas «le» faire. Pierre de Lyon 25 juillet 2006 à 09:58 (CEST)[répondre]

Ce qu'il « faut » savoir, c'est qu'en français moderne, on met une espace fine, qui est… une espace, aussi sûrement qu'une demi-part de gâteau est une part de gâteau. Une espace insécable quelconque ( ) la remplace mieux que rien du tout. Palpalpalpal 25 juillet 2006 à 13:46 (CEST)[répondre]

Considérations didactiques[modifier le code]

La phrase suivante relève de la didactique de l'informatique et n'a rien à voir dans un article sur les interprètes. «Il est à noter toutefois que les structures de données n'ont plus à être enseignées de façon pratique aujourd'hui, sauf aux concepteurs de langages. Elles sont en effet disponibles en standard dans tous les langages objet, et même quelques autres. Ainsi Perl implémente les hashs ou fonctions de hachage comme type d'accès de base, éliminant tout besoin de les programmer».

Je me propose de l'enlever.

Pierre de Lyon 2 février 2006 à 08:09 (CET)[répondre]

Tout à fait d'accord. Je trouve même que tout le paragraphe devrait être supprimé : les langages compilés et interprétés n'ont aucune raison théorique d'avoir plus ou moins de « particularités ». Palpalpalpal 24 juillet 2006 à 15:26 (CEST)[répondre]


J'agrée complètement, pour deux raisons concernant ces considérations didactiques :

  • ce n'est pas leur place
  • je suis en complet désaccord avec.

Hors sujet mais je peux détailler :

  • la réimplantation des structures de données classiques est un bon

exercice qui ne fait pas de mal à ceux qui, justement, apprennent à programmer. Mais il faut bien distinguer l'aisance dans la manipulation des pointeurs, acquise par ces exercices classiques, d'avec la connaissance des structures fournies par la bibliothèque du langage utilisé .Les deux sont indispensables.

  • ceux qui ne connaissent pas les détails affreux de telle ou telle structure

finissent un jour où l'autre par en recréer une implémentation douteuse

  • et d'autre part ils sont tendance à oublier les limites raisonnables d'emploi

de ces structures.

Que ceux qui n'ont jamais vu d'étudiants implémenter un "tampon de texte" sous forme de liste d'octets à double chainage m'accusent d'exagération !

Utilisateur: Schtong

Langage à domaines spécifiques[modifier le code]

Il me semble que la dernière partie : utilisation des langages interprétés, devrait donner lieu à un article sur les langages de programmation à domaines spécifiques, en anglais en:Domain-specific programming language et donc ne pas figuer là. On pourrait d'ailleurs traduire l'article en question.

Pierre de Lyon 2 février 2006 à 08:17 (CET)[répondre]

Argument sur vitesse de compilation[modifier le code]

L'argument sur la vitesse de compilation est d'ordre historique du moins en ce qui concerne des applications de taille moyenne.

L'exemple de Turbo Pascal montre que ce qui accélère le travail des programmeurs, c'est d'avoir une intégration raisonnable des outils pour ne pas avoir à se dire "bon, je sors de l'éditeur, maintenant je compile, zut point virgule ligne 203, je recharge l'editeur je vais ligne 203 etc". Mais ça on l'a aussi avec un compilateur en ligne de commande, et un makefile lance par une touche depuis emacs.

Ce qui me parait plus fondamental avec un interprete(ur), c'est de pouvoir lancer l'exécution de programmes incomplets sans avoir à écrire des "stubs" pour des fonctions manquantes, du moment qu'on ne tente pas de les appeler. La aussi, c'est un gain de temps pour verifier vite fait qu'un bout de code fonctionne/

On interprète pendant la mise au point et on compile quand c'est au point. Moralité: on a besoin des deux! Pierre de Lyon 3 février 2006 à 19:32 (CET)[répondre]

Rediriger ?[modifier le code]

L'article interprétation (informatique) est indigent, il faut plutôt le rediriger vers interprète.Pierre de Lyon 25 novembre 2006 à 14:37 (CET)[répondre]

Sources pour « interprète » ?[modifier le code]

En l'absence de source, utiliser « interprète » pour désigner ce concept n'est rien d'autre que du travail inédit. Merci de citer vos sources, c'est une règle sur Wikipédia.

Bien entendu, je ne parle pas d'un document utilisant le mot « interprète » pour désigner ce type de programme — ce serait une source primaire — mais d'un document qui explique d'un point de vue linguistique qu'« interprète » peut ou doit être utilisé. C'est ce exactement que je fais pour « interpréteur », en citant une recommandation officielle d'un organisme de normalisation de la langue. Vous ne le faites pas, vous avez tort.

Quant à la nécessité de signer, encore une fois, je ne vois pas le rapport, les sources sont plus intéressantes, plus fiables et plus valables que les opinions ou les traductions personnelles de tel ou tel contributeur (sauf si, bien entendu, le contributeur en question est un expert reconnu en la matière, et que son travail sur le sujet a été publié ailleurs que sur Wikipédia ; est-ce votre cas ? si oui, mettez un lien vers votre travail sur « interprète » / « interpréteur », et le problème sera réglé) voir plus bas.

Ah oui, j'oubliais, dire que c'est une « mauvaise » traduction, et que c'est utilisé « à tort », n'est pas neutre. Or la neutralité est également une règle. Pour être neutre, vous devez préciser qui considère que c'est une mauvaise traduction (par exemple, tel ou tel linguistique ou organisme), et là encore, citer une source. On n'y coupe pas. Désolé.
Je viens de voir le lien vers votre ouvrage dans la discussion plus haut, je l'ai donc placé en source pour montrer l'usage. Ça reste une source primaire, mais c'est mieux que rien.
J'ai aussi distancié le propos en présentant le fait qu'il s'agisse d'une mauvaise traduction, non pas de manière péremptoire comme une vérité, mais comme un point de vue adopté par certains. Il reste encore à l'attribuer, c'est-à-dire à citer une source disant explicitement que la traduction est mauvaise et qu'elle doit être évitée — à vrai dire, en l'état, c'est plutôt le contraire (cf. recommandation de l'OQLF), mais si vous avez des sources n'hésitez pas à les produire.
Enfin, pour éviter d'alourdir le propos en intro, j'ai placé ces précisions dans un paragraphe dédié avec un renvoi depuis l'intro, et des liens vers le wiktionnaire.
J'espère que tout ceci vous conviendra, et que nous pourrons tous deux retourner à nos occupations dans la sérénité.

Équilibrage[modifier le code]

Cela ne choque personne qu'il y est plus de contenu dans le synopsis que dans le corps ?!?

Un chapitre "Cycle", un chapitre "comparaison interprèteur-compilateur", … « Ainsi, le langage BASIC fut le premier langage interprété à permettre au grand public d'accéder à la programmation, tandis que le premier langage de programmation moderne interprété est Lisp. » Détail limite anecdotique qui devrait être dans le chapitre "Historique".

Etc.

Ranger votre chambre ;)

Lacrymocéphale 30 juillet 2008 à 12:20 (CEST)[répondre]


Sondage sur le titre de l'article[modifier le code]

Le titre de l'article me gène depuis plusieurs années. Je trouve qu'il est en contradiction avec Wikipédia:Conventions sur les titres (Si plusieurs titres sont possibles, le plus commun devrait être utilisé) voir même relever de Wikipédia:Travaux inédits si la seule source d'usage du terme "interprète" est un ouvrage écrit par Utilisateur:PIerre.Lescanne.

D'un autre coté je sais que j'ai un PdV assez arrêté contre le militantisme pour la "pureté linguistique" et que je ne suis pas forcément objectif sur le sujet. J'aimerais donc avoir votre avis avant d'éventuelles modifications ske (d)

  1. L'ouvrage a été écrit par un collectif.
  2. L'ouvrage est la première référence traitant du sujet.
  3. Est-ce que les auteurs qui ont choisi un autre terminologie lui font référence? Ce serait la moindre des choses.
Pierre de Lyon (d) 7 août 2008 à 15:16 (CEST)[répondre]
Citer des travaux qui ne font qu’utiliser ce terme tient de la source primaire, ce qui est acceptable, mais on doit accorder davantage de valeur (en particulier pour le titre) aux travaux qui posent le problème de traduire le terme depuis l'anglais, et qui donnent des solutions à ce problème — ce que ne fait pas votre ouvrage.
Des sources évoquant explicitement « interprète » comme traduction possible d'« interpreter » (et pas celles qui font de simples utilisations du terme), personnellement je n'en ai trouvé strictement aucune : toutes celles sur lesquelles j'ai mis la main donnent « interpréteur » (avec parfois des alternatives comme « programmeur interpréteur » ou « programme d'interprétation », mais jamais « interprète »). 83.196.55.224 (d) 15 août 2008 à 14:20 (CEST)[répondre]
L'article Shell (informatique) est intéressant car il emploie à la fois le terme « interpréteur » et le terme « interprète » ce qui montre au minimum que la terminologie n'est pas définitivement fixée en 2008. L'article BASIC quant à lui n'emploie que le terme « interprète » Pierre de Lyon (d) 15 août 2008 à 21:46 (CEST)[répondre]
Je vous suggère aussi d'essayer Google avec « interprète LISP », « interprète Basic», « interprète perl », « interprète shell », « interprète php » etc. Vous verrez que le livre de Livercy n'est pas un isolat dans le monde de l'informatique. Pierre de Lyon (d) 15 août 2008 à 22:02 (CEST)[répondre]
Je ne dis pas le contraire, je sais bien que le mot « interprète » est utilisé, mais :
  1. beaucoup moins souvent qu'« interpréteur », je pense que vous en conviendrez ;
  2. oui, des gens l'utilisent (y compris dans des ouvrages ou des articles scientifiques), certes, mais aucune source discutant du problème d'un point de vue linguistique / terminologique n'évoque « interprète » : c'est systématiquement « interpréteur » qui revient (du moins dans les sources que j'ai trouvées, mais n'hésitez pas à me détromper).
83.194.89.250 (d) 15 août 2008 à 23:59 (CEST)[répondre]
De plus vos Google tests sont biaisés par le bruit que provoque l'adjectif « interprété » (même graphie à un accent de différence, ce à quoi Google n'est pas sensible) ; or personne ne conteste cet adjectif. 83.194.89.250 (d) 16 août 2008 à 00:04 (CEST)[répondre]
Tout d'abord, s'il vous plait voudriez-vous vous enregistrer comme contributeur et ne pas signer d'un numéro IP. D'autre part, en l'absence de chiffres et de statistiques, je ne donne pas acte de cette prééminence. Enfin, la confusion « interprété » et « interprète » n'intervient pas dans les exemples que j'ai donnés. Si cela vous gène, mettez des guillemets.Pierre de Lyon (d) 16 août 2008 à 10:43 (CEST)[répondre]
C'est mon droit le plus strict de contribuer sous IP, si ça ne vous convient pas, militez donc pour interdire les IP.
Et même avec des guillemets, la confusion interprète / interprété apparaît. J'en veux pour preuve le premier résultat de la recherche "interprète php", qui est : [3], page où le mot « interprète » n'apparaît pas une seule fois, et qui n'est retourné par Google qu'à cause de la locution « langage interprété (PHP) », ce qui n'accrédite donc nullement l'utilisation d'« interprète ». Ce n'est qu'un exemple parmi tant d'autres. 81.49.187.171 (d) 16 août 2008 à 13:46 (CEST)[répondre]
  • Je me suis expliqué pour dire pourquoi la traduction d'« interpreter » par « interpréteur » est un perte de sens. On m'objecte une référence québécoise, on sait comment les québécois ont pris l'habitude d'importer des mots sans les traduire vraiment: char, cellulaire, gaz, etc. Pierre de Lyon (d) 7 août 2008 à 15:16 (CEST)[répondre]
Je viens d'ajouter plein d'autres références qui ne sont pas québécoises, donc cet argument ne tient pas. 83.196.55.224 (d) 15 août 2008 à 14:20 (CEST)[répondre]
J'ajoute que vos explications sur la perte de sens ne sont que vos déductions à vous, qui ne sont en aucune façon sourcées par quoique ce soit d'extérieur. Encore une fois, ça porte un nom : travail inédit. Vous avez peut-être / sans doute raison, ce n'est pas le problème. Le problème c'est que jusqu'à preuve du contraire, cette analyse n'existe qu'ici.
Wikipédia n'est pas un ouvrage normatif, et n'a pas à se poser en redresseur de torts en disant « non, cet usage est fautif ». Au mieux on dit qui le considère comme fautif, mais on ne présente pas ça comme une vérité absolue, surtout sans aucune source. 83.194.89.250 (d) 15 août 2008 à 23:59 (CEST)[répondre]
Oui ce sont « mes » déductions et alors? Quelle analyse ?Pierre de Lyon (d) 16 août 2008 à 10:47 (CEST) P. S. Dorénavant, je ne répondrai pas à une IP.[répondre]
« Quelle analyse ? » Eh bien l'analyse selon laquelle il s'agit d'une mauvaise traduction, qui introduit une perte de sens.
« et alors ? » Et alors, vos déductions, si elles ne sont que de votre fait, et ne sont publiées nulle part ailleurs, n'ont pas à être présentes sur Wikipédia. C'est le sens de WP:TI. Or depuis tout ce temps, vous n'avez jamais produit une seule source qui explique que c'est une mauvaise traduction.
« Dorénavant, je ne répondrai pas à une IP » Forcément, l'IP vous pose des questions embarrassantes. C'est dommage, vous êtes un contributeur précieux pour Wikipédia, mais ce genre de réaction ne vous sert pas. Personnellement ça ne m'amuse pas de troller de la sorte sur un détail insignifiant par rapport au sujet de l'article, mais il me semble que mes interrogations sont justifiées, interrogations auxquelles il vous a fallu un long moment pour répondre (cf. § plus haut qui date de juin, et auquel vous n'avez jamais daigné répondre). Pourtant je ne pense pas avoir été discourtois à aucun moment, et il semble que votre ressentiment à mon égard soit uniquement du au fait que je sois sous IP. Mais cela changerait-il quoi que ce soit à mon argumentation si j'étais Machin plutôt qu'une série de chiffres ? 81.49.187.171 (d) 16 août 2008 à 13:46 (CEST)[répondre]

Dans la littérature scientifique... Avec Google Scholar :

  • "interpréteur lisp" 19 — "interprète lisp" 16
  • "interpréteur basic" 9 — "interprète basic" 1
  • "interpréteur postscript" 8 — "interprète postscript" 4
  • "interpréteur python" 13 — "interprète python" 0
  • "interpréteur php" 11 — "interprète php" 0

Il semble donc qu'interpréteur soit plus répandu, même si au fond moi aussi j'ai tendance à préférer interprète. Mais interprète se rencontre tout de même régulièrement, donc il faut de toute façon continuer à le mentionner dans l'article. — ChrisJ (d) 21 septembre 2008 à 23:35 (CEST)[répondre]

Option 1: Laisser tel quel

  1. Pierre de Lyon (d) 7 août 2008 à 15:16 (CEST)[répondre]

Option 2: Renommer interpréteur et laisser interprète dans l'intro

  1. De manière tout a fait subjective, je n'ai jamais entendu autre chose que « interpréteur ». il me semble donc plus judicieux d'au moins utiliser ce titre. bayo 30 juillet 2008 à 16:40 (CEST)[répondre]
  2. Laisser « interprète » en intro, mais en mentionnant bien sûr « interpréteur » ; en fait laisser le texte comme il est me semble bien (logique, puisque c'est moi l'auteur du § Terme... Émoticône sourire (et aussi du monologue ci-dessus)), mais en inversant l'ordre (« interpréteur ou interprète », dans la mesure où le premier est largement plus utilisé que l'autre). 83.196.55.224 (d) 15 août 2008 à 13:00 (CEST)[répondre]
  3. L'usage l'emportant sur le bon sens même quand c'est malheureux, quelque soit l'argumentation pour interprète c'est le mot interpréteur qui me semble plus que majoritairement employé et donc à mettre en avant en titre d'article. (Interprète n'ayant pour moi que le bénéfice du doute, ne l'ayant jamais entendu en 12 ans d'informatique, même pas à l'INRIA) Lacrymocéphale 18 août 2008 à 14:39 (CEST)[répondre]
  4. Je suis également partisant d'utiliser le terme interprêteur et de laisser interprête dans l'introduction. De plus le paragraphe "terme" ne me semble pas neutre, je reformulerais. Pinkilla (chat) 26 août 2008 à 23:15 (CEST)[répondre]
  5. Il semble que, en 2008, la balance pesait en faveur de cette option. Pourquoi ce choix n’a-t-il pas été entériné ? Faut-il relancer le débat ? « Interprète » est, aujourd’hui, une traduction littérale qui ignore la distinction qu’a fini par faire le français entre hommes (interprètes) et machines (interpréteurs) – distinction qu’on retrouve, en informatique, dans le couple programmeur et programmateur. palpalpalpal (discuter) 14 mars 2018 à 11:12 (CET)[répondre]

Option 3: Renommer interpréteur et supprimer interprète dans l'intro

Option 4: Supprimer toute mention au mot "interprète"

  1. ske (d) 30 juillet 2008 à 12:55 (CEST)[répondre]
Si je peux apporter ma modeste contribution à ce long débat qui fait rage entre le terme interprète et interpréteur j’ajouterais simplement que j'ai toujours appris que l'on devais différencier l'action raisonnée de l'action automatique. Je m'explique, l'interprète est, il me semble, doué de raisonnement pour transmettre l'information mais aussi l’émottions qui passe par les différents langages en plaçant la communication dans le contexte de l’émetteur, ce qu'aucune machine n'est encore capable. Il suffit de tester différent traducteur automatique pour s'en convaincre. On parle encore la de traducteur non ? Il me semble que le suffixe "eur" désigne plutôt des automates comme un copieur, un broyeur, un tracteur, un réfrigérateur, un embouteilleur, etc... Le terme interpréteur désigne donc plus simplement l'automate qui est programmé pour transcoder un langage vers un autre. Le plus préjudiciable dans tous cela est qu'il existe deux articles qui parlent du même sujet : l'article Interprète (informatique) et l'article Interpréteur de commandes. --Microco (d) 5 juillet 2012 à 01:54 (CEST)[répondre]
Finalement ma question n'a plus lieu d’être, car si on lit bien les commentaires précédant ainsi que les deux articles Interpréteur de commandes et Interprète (informatique), on se rend compte que les deux termes s'utilisent, désignent la même fonctions et sont utilisés dans des articles qui traitent de sujet légèrement différent. Tout le monde est contant comme cela... --Microco (d) 19 septembre 2012 à 23:33 (CEST)[répondre]

Historique[modifier le code]

Dans la section Historique, il est dit que "les langages interprétés connurent à partir du milieu des années 1980 un fort déclin". Or qui dit déclin, dit "age d'or" antérieur. Comme il s'agit ici du premier repère chronologique, il me semble donc que :

  1. soit le terme "déclin" ( voire la phrase complète ) est inapproprié,
  2. soit une(des) étape(s) chronologiquement(s) fondamentale() et antérieur(s) est(sont) manquante(s).

Problème d'autosourçage[modifier le code]

Bonjour,

PIerre.Lescanne (d · c · b) (alias Pierre de Lyon ci-dessus) écrit en 2016 dans l'article : « alors que les auteurs du premier livre d'enseignement en français sur la théorie des programmes, ont proposé « interprète » [...] » et source avec l'ouvrage qu'il a lui-même co-écrit.

Ça a l'air d'être une source fiable (édité chez Bordas dans la coll. Dunod) qui permet d'attester la traduction « interprète », mais quelle source permet de s'assurer qu'il s'agit bien « du premier livre d'enseignement en français sur la théorie des programmes » et que ce sont bien eux qui ont proposé la traduction « interprète » à l'époque ?

Je ne remets pas en cause la bonne foi de PIerre.Lescanne (d · c · b), mais les informations doivent pouvoir être vérifiables. — Thibaut (discuter) 12 juillet 2021 à 03:35 (CEST)[répondre]

Je viens de voir le message du même utilisateur écrit en 2006 : « [...] et je crois que c'est le premier ouvrage d'enseignement en français présentant ces concepts [...] Pour la petite histoire, nous avions discuté certains termes opiniâtrement, mais je ne me souviens pas que nous ayons discuté le mot inteprète. »
Du coup, s'il n'est pas sûr et que ce mot n'a pas été discuté, que font les passages que j'ai cité dans l'article ? — Thibaut (discuter) 12 juillet 2021 à 04:12 (CEST)[répondre]
Bonjour, peut être pourrait on simplement remplacer cette phrase par "On retrouve le terme dans un ouvrage de 1978" en gardant la référence ? Cela permettrai de garder l'idée de première attestation du mot, en restant ouvert sur une autre antériorité D Cat laz (discuter) 14 juillet 2021 à 17:18 (CEST)[répondre]
Ça me parait une bonne idée. — Thibaut (discuter) 14 juillet 2021 à 17:21 (CEST)[répondre]
Je ne suis pas contre cette proposition. Mais en revanche, je ne suis pas d'accord pour accumuler les dictionnaires qui se copient les uns les autres, qui ne fournissement aucun contexte d'emploi et dont l'abondance n'apporte rien. On sent une certaine forme de passage en force. Je ne suis pas d'accord, non plus, avec l'expression « attesté vers 1970 » sans une référence qui l'atteste vraiment. Petite remarque annexe : évitez, alors que vous utilisez un pseudo, de qualifier quelqu'un d'autosourceur. --Pierre de Lyon (discuter) 17 juillet 2021 à 18:12 (CEST)[répondre]
« […] je ne suis pas d'accord pour accumuler les dictionnaires »
Les différents dictionnaires en référence que vous aviez effacé et que j’ai rétabli permettent d’attester que ce mot est bien utilisé en français et ce depuis longtemps, comme compromis je suis d’accord qu’on peut en retirer un ou deux (La Maison du Dictionnaire par exemple ou la source en néerlandais).
« […] les dictionnaires qui se copient les uns les autres. »
Tout comme le fait que vous trouvez que le mot « interpréteur » est un « horrible anglicisme » ou du « franglais », il s’agit d’un avis personnel, les dictionnaires Larousse, Le Robert et le dictionnaire de Dunod sont des sources de qualité, et Wikipédia suit les sources de qualité et doit rester neutre.
« Je ne suis pas d'accord, non plus, avec l'expression « attesté vers 1970 » sans une référence qui l'atteste vraiment. »
Le Petit Robert (édition actuelle) : « ÉTYM. v. 1970 ». — Thibaut (discuter) 17 juillet 2021 à 18:16 (CEST) modifié le 18 juillet 2021 à 04:22 (CEST)[répondre]
Je ne comprends pas votre réponse. --Pierre de Lyon (discuter) 17 juillet 2021 à 18:22 (CEST)[répondre]
J’ai complété mon message en espérant qu’il soit plus compréhensible. — Thibaut (discuter) 18 juillet 2021 à 04:22 (CEST)[répondre]