Discussion:Jacques Friedel

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Un passage qui prête à interprétation[modifier le code]

Un passage de la biographie semble vulnérable. La tournure

« Jacques Friedel rejoint le lycée Louis-le-Grand en 1937 à l'occasion de la nomination de son père en tant que sous-directeur de l'École nationale supérieure des mines de Paris »

pourrait être mal interprétée par un esprit polémique ; cela pourrait laisser entendre que Jacques a eu droit, es qualité, de rentrer au prestigieux Lycée Louis-le-Grand parce que son père venait de prendre la sous-direction des Mines. D'ici à ce qu'on sous-entende qu'il y a des connivences, des passe-droit, il n'y a qu'un pas facile à franchir. C'est une interprétation malveillante d'autant plus envisageable qu'il semblerait bien que la famille Friedel était déjà parisienne (en tout cas, Jacques est né à Paris) ; la situation aurait été moins ambiguë si Edmond Friedel avait fait « monter » sa famille à Paris suite à sa nomination aux Mines.

L'argument «  à l'occasion de la nomination de son père » est d'autant plus obscur pour expliquer le choix de Louis-le-Grand que dès l'année suivante Jacques passe à Henri-IV. De plus, son père Edmond est resté à la direction des Mines (donc, à Paris), de 1936 à 1963. Comment alors expliquer que Jacques fasse sa prépa à Bordeaux puis à Lyon. Au passage, quatre établissements fréquentés en cinq ans (deux ans de terminale et trois ans de prépa), c'est un parcours pour le moins cahoteux, et c'est ce qui est le plus frappant : est-ce lié à la guerre ?

Ce passage est soit maladroit (ou incomplet), soit propice à une forme subtile de suspicion. Il serait probablement souhaitable de le reformuler.

Le Borogove  (à vous de jouer) 30 août 2014 à 09:49 (CEST)[répondre]

Jacques est monté à Paris en 1937, à l'occasion de la nomination de son père, et s'est retrouvé à Louis Le Grand, voir son autobiographie [1]. On peut rendre cela plus clair, mais il n'y avait guère d'ambiguïté je trouve. --Jean-Christophe BENOIST (discuter) 30 août 2014 à 10:41 (CEST)[répondre]

Terminologie[modifier le code]

J'ai remplacé "élève ingénieur" par "ingénieur élève". L'expression "élève ingénieur" désigne les étudiants futurs ingénieurs civils des Mines ; les futurs "Corpsards", en général anciens polytechniciens, sont appelés "ingénieurs élèves" (j'avoue ignorer s'il faut un trait d'union).

De même, j'ai corrigé la phrase suivante. Jacques Friedel a finalement été ingénieur au Corps des Mines, et non "ingénieur des Mines", ce qui implicitement signifierait "ingénieur civil".

Yves Hiccatte, vigneron (discuter) 4 juillet 2019 à 08:40 (CEST)[répondre]

En passant d’abord par https://www.researchgate.net/search/publication?q=Jacques+friedel+ puis Via la bibliothèque wp on a accès à https://doi.org/10.1098/rsbm.2015.0020 sur JSTOR =>www.jstor.org/stable/24868434.
Malik (discuter) 8 avril 2021 à 07:11 (CEST)[répondre]