Discussion:Lamarckisme

Cet article me paraît totalement à revoir. Il traite de la transmission des caractères acquis et non du lamarkisme, dont elle n'est qu'une composante. Il existe un article sur la transmission des caractères acquis, qui pourrait être enrichi de ces passages sur l'épigénétique. Il faudrait au moins mentionner que cette réduction du lamarkisme à la transmission des caractères acquis est usuelle mais historiquement infondée. Est-ce que quelqu'un suit cet article et veut en discuter? Sinon, je serai tenté de le réécrire.— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 134.214.32.12 (discuter), le 29 juin 2009 à 13:20 UTC

En l'absence de réponse à ma proposition de discussion, je fais une nouvelle proposition pour l'article, qui me paraît plus cohérent avec l'article "transmission des carcactères acquis", et moins approximatif. Toutes les études épigénétiques auparavant mentionnées ici peuvent être ajoutées à cet article.— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 86.67.51.217 (discuter), le 30 août 2009 à 12:05 UTC

En effet cette article n'est peut être pas très bien placé. Il s agit en réalité d un devoir que nous devions réaliser pour notre faculté, et nous l avons posté un peu en catastrophe. Il serait donc plus judicieux de le déplacer, soit en "transmit ion des caractères acquis") soit dans le "néo lamarckisme". Quand à l interprétation des théorie de lamarck, il sagit bien ici de l acceptation néo lamarckienne courante, et non pas le sens "historique" des travaux de lamarck, qui sont en réalité bien plus vastes— Le message qui précède, non signé, a été déposé par LSCS (discuter), le 25 octobre 2009 à 16:12 UTC

Je ne suis pas vraiment d'accord. Les études récentes montrent que l'obésité ou le sous poids d'individus peuvent être transmis à la descendance. L'épigénétique est bien un argument fort sur le fait que le milieu de vie et les spécificités des individus conduiraient à la transmission de l'état nouveau acquis chez certains individus à la descendance. L'idée du tout génétique est de plus en plus mis à mal. En effet, plus que les séquences des gènes, c'est la durée du temps de sythèse des protéines qui détermine le phénotype. De toutes récentes pistes témoignent de ce que même certaines mutations muettes joueraient un rôle dans ce mécanisme complexe influençant les chemins de pliages des protéines, interdisant des retours en arrière. L'épigénétique permet de mieux comprendre le chemin complexe qui mène des gènes et du zygote au phénotype. Il est désormais connu que les cellules des différents tissus d'un même individu subissent des mutations sur la durée de vie de l'individu, l'épigténétique prouve que des caractères nouveaux peuvent être acquis sur la durée de vie des individus. Il semblerait que le viol par exemple modifierait le profil génétique des victimes. Une chose inadmissible encore dans un passé très proche. Amicalement. A.Kirca (d) 13 janvier 2010 à 17:44 (CET)

et bien je ne suis vraiment pas d'accord, de récentes études montrent que l'influence de certaines allèles dans l'obésité est prépondérante, en plus vous confondez mutation et expression du gène, bref c'ewst du n'importe quoi, tout comme cet article où on parle de la transmission des caractères culturels wtf????Klinfran (d) 26 mars 2010 à 18:26 (CET)