Discussion:Leadership

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Subjectivité[modifier le code]

Qu'un article encyclopédique affirme qu'untel politicien est LE meilleur exemple de leadership est une marque grave de subjectivité. C'est la première chose qui mérite le recyclage.--70.49.66.207 (d) 17 octobre 2008 à 19:09 (CEST)[répondre]

Coïncidence. J'ouvre l'article aujourd'hui par hasard. Il est mal ficelé mais il se trouve que Winston Churchill est OBJECTIVEMENT un des meilleurs exemples de leadership politique et militaire que l'on puisse trouver.Le petit polymathe (d) 19 octobre 2008 à 14:12 (CEST)[répondre]

Il n'y a pas plus rien de subjectif quand les historiens de nombreux pays nomment eux-mêmes ainsi la chose, ni d'arbitraire non plus, comme si c'était chaque fois en français une décision éditoriale de faire débuter le dictionnaire par la lettre «A». C'est simplement ainsi, qu'on aime ou non le personnage. Précisons: la période visée est la seconde guerre mondiale, là où il se présenta en promettant des larmes et du sang, comment être plus honnête, franc et direct. Le peuple fut derrière lui alors que les bombes pleuvaient. Stiff upper lip.— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 216.252.79.169 (discuter), le 29 juillet 2016 à 23:32 (CEST)[répondre]

Leaderships caritatif et sportif[modifier le code]

À la suite de la modification du chapeau, j'ai cherché et n'ai pas trouvé beaucoup de bons exemples de leadership caritatif (Bernard Kouchner) et sportif. Je les réintègre dans « divers » et crée un paragraphe.--Le petit polymathe (d) 20 octobre 2008 à 08:49 (CEST)[répondre]

Subjectivité 2[modifier le code]

Cher 70.49.66.207. Quels exemples proposez-vous ?

On peut évaluer le leadership d'un individu sur deux dimensions : l'intensité et la durée. Avec cinq degrés : trés, faible, moyenne, forte, très.

EXEMPLES :

Winston Churchill : très forte intensité, très longue durée.

Ernest Shackleton : forte intensité, courte duré.

Coluche (au plan politique) : forte intensité, courte durée.

Coluche, abbé Pierre (au plan caritatif) : moyenne intensité, longue durée.

Daniel Cohn-Bendit : moyenne intensité, très longue durée.

Augustin Legrand : moyenne intensité, très courte durée.

« Une encyclopédie sans exemple est un squelette. » (Source : Voltaire). QUELS EXEMPLES OBJECTIFS PROPOSEZ-VOUS ?

Merci d'avance--Le petit polymathe (d) 21 octobre 2008 à 07:29 (CEST)[répondre]

Pas d'équivalent en Français?[modifier le code]

On dit chefferie... mais c'est sûr que l'origine latine est plus ringarde que l'anglais je suppose!!!

Je cite le le Centre national des ressources textuelles et lexicales Chefferie = Circonscription territoriale placée sous les ordres d'un officier. Cordialement. --Bruno des acacias 5 mars 2011 à 13:01 (CET)[répondre]
Il n'y a peut-être pas d'équivalent direct en français de France, mais des expressions avec un sens similaire existent (on peut évoquer un chef charismatique ou bien mentionner son leadership...). -- un utilisateur anonyme.

Travail inédit[modifier le code]

Cette section a été supprimée de l'article car elle représente un Travail inédit. Cordialement, Freewol (d) 1 juin 2010 à 11:13 (CEST)[répondre]

Caractéristiques du leadership[modifier le code]

  • 1° Capter l’attention de l’entourage

Le charisme du leader est important. Le leader doit réussir à attirer les gens. Le leader doit donc savoir clairement quels sont ses objectifs et savoir comment il va les atteindre.

  • 2° Communiquer l’essentiel de la situation

Il doit être conscient de ses objectifs, le leader doit aussi savoir les exprimer clairement. Il faut qu’il partage sa vision de ce qu'il faudrait mettre en place. Les membres de son équipe doivent non seulement connaître le «comment», mais aussi le «qui», le «quoi» et le «quand» du projet. Le leader combine faits, concepts et images et leur donne une signification qui peut être perçue, partagée par différentes personnes. Donc il doit entretenir la confiance des gens

  • 3° Se maîtriser

Le leader a ses propres atouts, les exploite et les maîtrise. Il perçoit tout ce qui ne va pas comme une source d'apprentissage, une leçon à tirer. Il n'a pas peur des critiques mais, au contraire, il met ses expériences à profit pour améliorer son style de leadership.

  • 4° Perception et écoute active

Un bon leader doit constamment décoder son environnement autant interne qu'externe. Il donne à chaque membre de son équipe la possibilité de donner son idée, ses pensées. Il identifie les besoins personnels de chacun des membres de l'équipe ainsi que les besoins de l'équipe dans son ensemble. Le leader tient compte des ressources et de l'énergie disponible. Il aide aussi son équipe à se définir et à réaliser les objectifs communs.

  • 5° Responsabilisation et prise de décision

Le leader envisage l'avenir facilement et transmet sa vision des choses à accomplir et les objectifs à atteindre. Il sait comment motiver, orienter et soutenir les membres de son équipe grâce à son efficacité, même si des difficultés ou des obstacles surgissent. Être un bon leader, ce n'est pas mobiliser des personnes par la contrainte. Le leader prend les décisions qui s'imposent et les concrétise après avoir consulté son équipe. Plus les membres de son équipe pourront participer à la prise de décision, plus ils seront motivés. Cela permettra également de créer un climat sain, de favoriser un sentiment d'unité et de prendre de meilleures décisions.

  • 6° Motivation

Le leader doit créer une ambiance qui saura répondre aux besoins de son équipe. Il est préférable pour le leader de comprendre ce qui motive les membres de son équipe. Les membres de son équipe, sentant leurs besoins compris, développeront alors un sentiment d'appartenance. Pour ce faire, le leader doit créer une ambiance de travail dynamique.

  • 7° Résolution de conflits

Le leader joue également un rôle de médiateur dans la résolution de conflits.

  • Conclusion

Un bon leader sait ce qu'il veut, communique efficacement ses intentions, transmet sa force et son dynamisme aux autres.

Pas de référence à la cognition sociale[modifier le code]

Cet article manque singulièrement de références à la psychologie sociale du leadership. Qu'en est-il de l'explication, même basique, des leadership transactionnel et transformationnel ? Ce sont les deux modèles dominants aujourd'hui, et il n'y en a pas de définition. Article non universitaire qui mène à des voies de recherche non scientifiques.

Merci

Oui. Un article grand public écrit par des amateurs bénévoles. Ainsi va Wikipédia sur des sujets à la fois récents et pointus. A mon avis. --Bruno des acacias 30 septembre 2010 à 08:25 (CEST)[répondre]

Recyclage[modifier le code]

Bonjour.

Cet article est à recycler parce qu'il est un vaste mélange d'éléments vérifiables à l'aide de documents de qualité et d'éléments qui apparaissent comme des travaux inédits selon la définition de Wikipédia:Travaux inédits. Enfin, c'est mon avis de lecteur. Autrement dit, jamais je n'oserai réutiliser ce contenu tellement il me paraît être un travail personnel des auteurs et non l'exposé de connaissances déjà publiées ailleurs. Cordialement. --Bruno des acacias 5 mars 2011 à 11:42 (CET) : PS :Exemple de travail inédit qui ne peut pas être publié dans la Wikipédia --Bruno des acacias 6 mars 2011 à 09:55 (CET)[répondre]

Discussion transférée depuis Wikipédia:Pages à fusionner
Ces deux pages renvoient exactement au même concept. Leadership est bien développé et structuré; leader quant à lui est relativement creux. Je pense que le second doit être déversé dans le premier. Laszlo Quo? Quid? 21 avril 2022 à 12:06 (CEST)[répondre]

Pour--Sherwood6 (discuter) 23 avril 2022 à 19:26 (CEST)[répondre]
Traité. Laszlo Quo? Quid? 28 avril 2022 à 09:47 (CEST)[répondre]