Discussion:Lingua franca

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Transfert[modifier le code]

J'ai transféré le paragraphe "Français" de l'article Lingua franca de la Wikipedia anglophone, et je viens de le traduire. Pautard 11 août 2006 à 20:34 (CEST)[répondre]

Question a voir ...[modifier le code]

Les mots utilisés étaient principalement empruntés à l'espagnol et à l'italien mais ils pouvaient appartenir de façon plus hétérogène à d'autres langues du bassin méditerranéen comme l'arabe, le maltais, le turc ou le français.

A lepoque de lingua franca, l'espagnol (d'ailleur aujourdhui aussi il nexiste pas) et l'italien n'existaient pas. Alors quel sont les langues qui ont ete utilise, le catalans ? et le toscan ? ou le sicilien ? et le castillan ? ou un peu des 4. --Le serbe 7 novembre 2006 à 19:33 (CET)[répondre]

Quelle époque était-ce ? Cela manque dans l'article.--Ivanoff 31 janvier 2007 à 22:09 (CET)[répondre]
L'italien existe depuis Dante (même si c'est essentiellement à base de toscan et plus exactement du florentin avec une influence sicilienne, cette dénomination est plus restrictive et régionale). Et, comme tous les italophones, je sais lire la Divine Comédie dans le texte (alors que j'ai beaucoup de mal à lire du français du XVe ou du XVIe auquel je ne comprends goutte…--ᄋEnzino᠀ (d) 10 septembre 2009 à 22:24 (CEST)[répondre]

lingua franca et provençal[modifier le code]

Il semblerait que le provençal ait également largement contribué à la lingua franca. Le terme "sabir" proviendrait de l'infinitif du verbe "savoir" (saber) en provençal. [1] [2] Je l'ajoute dans l'article. --Matieu Castel 11 septembre 2007 à 10:01 (CEST)[répondre]

lingua franca et provençal[modifier le code]

Vous devez avoir raison , "saber" (savoir) est aussi un mot catalan et castillan (qui deviendra l'espagnol). Ces langues étaient proches . En fait, au XIIe siècle, de Marseille à Barcelone en passant par les Baléares (et même par la Gascogne), c'était la même langue ... Par la suite , ce ne sera plus le cas : le catalan, l'occitan, le gascon et le provençal évolueront ... --82.240.128.125 (d) 1 novembre 2011 à 03:04 (CET) C'était juste une discussion ...--82.240.128.125 (d) 1 novembre 2011 à 03:04 (CET)[répondre]

Nom de l'article[modifier le code]

J'ai écrasé la Redirection vers Langue franque. En effet, cette dénomination a deux inconvénients :

  • elle est plus rare (pour cette définition) ;
  • elle prête à confusion avec la langue des Francs (le francique, un dialecte germanique).

Tous les articles et livres récents consacrés à cette langue utilisent l'expression lingua franca, qui selon le principe de moindre surprise doit être le nom de l'article.--ᄋEnzino᠀ (d) 10 septembre 2009 à 22:21 (CEST)[répondre]

Ok, désolé de la méprise --Hercule Discuter 10 septembre 2009 à 23:28 (CEST)[répondre]
De rien.--ᄋEnzino᠀ (d) 10 septembre 2009 à 23:36 (CEST)[répondre]

Lingua franca (ou franco) : ce ne serait pas langue franche (le "franco") plutôt que langue franque ? C'était une langue commerciale (au départ, au moyen-âge, la langue des marins et commerçants génois, baléariens et catalans). En italien ou en espagnol , la "zona franca", c'est la zone franche (sans taxes) , et "franco", c'est en français "franco de port" (port payé) . A méditer ... Langue franque , hum ! Je ne toucherai surtout pas au titre, mais ce n'était pas indispensable de le traduire : lingua franca c'est lingua franca et c'est quasiment intraduisible ...--82.240.128.125 (d) 1 novembre 2011 à 03:40 (CET)[répondre]

Un lexique de Lingua Franca (dictionnaire de la Langue Franque), imprimé en 1830 à Marseille.
Clairement, la lingua franca (ou franco), c'était au Moyen-âge la langue des Croisés (les premiers Croisés étaient des Francs) et donc la langue des Francs des Croisades (au sens large). La France n'existait pas en tant que telle, c'était la Francie, le royaume des Francs jusqu'au XIe-XIIe siècle et ça n'a rien à voir avec le francique, la langue de l'époque de Clovis. Alors oui, langue Franque, ça peut prêter à confusion, effectivement, par rapport au francique, mais c'est ce qui correspond le plus, dans l'esprit, à Lingua franca. Au mieux, on va dire que le terme est difficilement traduisible, mais ça n'a rien à voir avec la langue franche. Pour approfondir, voir cet article du Monde : "Lingua Franca. Histoire d'une langue métisse en Méditerranée", de Jocelyne Dakhlia : l'esperanto disparu (2008). --34 super héros (discuter) 4 septembre 2020 à 14:15 (CEST)[répondre]
(Rappel) les Croisades ont débuté à la fin du XIe siècle : la langue italienne n'existait pas, ni l'espagnol, ça explique les choses... --34 super héros (discuter) 4 septembre 2020 à 14:26 (CEST)[répondre]

Éviter ou ne pas éviter le conflit[modifier le code]

Merci Tonymec Émoticône pour votre contribution sur ma contribution, qui me parait beaucoup mieux comme vous l'avez faites. Cependant, je tique un peu sur votre expression "donc en évitant le conflit". Je ne crois pas que ce soit ce que l'autrice veut dire, qui insiste sur une langue pendant un conflit ; de ce que je comprends, c'est l'existence du conflit, qui n'est donc pas évité, qui donne un caractère spécial à l'échange - ici son sujet principal c'est le Fixeur. Voici l'ensemble du passage sur le sujet sur la source, pour que vous puissiez vous faire une idée :

« Parler la même langue ne signifie pas parler une langue qui effacerait les lignes de démarcation et le clivage entre cultures et indentités. Parler dans la même langue ne veut pas dire parler la même langue. Le contact n'efface pas le conflit. Ce qu'a bien montré Joceline Dakhlia, c'est le coté rudimentaire de cette lingua franca, qui ne devient ni vernaculaire - ni la langue maternelle de personne. C'est bien la preuve qu'il s'agit de satisfaire un besoin de communication dans une zone de conflit. Satisfaire le besoin élémentaire de communication préserve la différence - il y a le conflit et le contact. Cela interroge l'automatisme qui fait voir dans tous les agents de mobilité des passeurs d'exception qui auraient possédé une extraordinaire capacité d'action ou mené des rares "formes d'existence". Joceline Dakhlia défend plutot l'idée de la banalité des passeurs. Il s'ensuit que, si les passeurs ne sont pas exceptionnels, dans une histoire connectée, tous les contacts ne seront pas des ouvertures ou des échanges ou des connexions. »

— Zrinka Stahuljak, Les Fixeurs au Moyen Âge

Voilà pourquoi, il ne s'agit pas d'éviter le conflit, qui existe, mais de communiquer dans le conflit. Qu'en pensez-vous ? Je vous laisse modifier selon ce que vous en pensez. Touam (discuter) 16 juillet 2023 à 08:22 (CEST)[répondre]

OK. Je vais essayer de rendre le texte de l'article plus conforme à l'idée de Joceline D. sans le rendre incompréhensible pour un lecteur «naïf». N'hésitez pas à repasser après moi. — Tonymec (discuter) 16 juillet 2023 à 13:37 (CEST)[répondre]