Discussion:Liste des dirigeants actuels des gouvernorats palestiniens

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Après avoir fait l'objet d'un débat d'admissibilité, cette page a été conservée.
Vous pouvez consulter le débat d'admissibilité à présent clos et archivé.

Le fait qu'une proposition de suppression a déjà été rejetée n'empêche pas de faire une nouvelle proposition pour d'autres motifs. Si vous avez des commentaires, vous pouvez les faire ci-dessous.

Article non vérifiable[modifier le code]

L'article Liste des dirigeants actuels des gouvernorats palestiniens ne cite aucune source et semble impossible à vérifier.

Cela le rend donc effaçable à brève échéance étant donné que la réalité ou le caractère encyclopédique de son sujet est non vérifiable. Le bandeau ne devrait rester apposé que quelques jours, puisque soit son auteur justifie d'une source, soit l'article est effaçable.

Si le bandeau est apposé depuis plus d'une semaine, il faut vérifier si le maintien est justifié et, le cas échéant appliquer l'une des solutions immédiates suivantes :

supprimer le bandeau : si l'article a une source vérifiable de qualité quelle que soit la qualité de l'article ;
démarrer un débat d'admissibilité ;
supprimer l'article : suppression immédiate, sauf si des sources sont apportées auquel cas on accordera un sursis supplémentaire de quelques jours.

Que vous en soyez l'auteur ou une autre personne intéressée, vous pouvez modifier l'article ou discuter des sources ci-dessous, en respectant bien sûr les règles de savoir-vivre.

Trouver des sources sur « Liste des dirigeants actuels des gouvernorats palestiniens » :

Bandeau apposé par Claude villetaneuse (discuter) 15 novembre 2018 à 17:37 (CET)[répondre]

Discussion ci-dessous[modifier le code]

L'article est totalement dépourvu de sources, mais, surtout, ne rappelle pas la situation plus que complexe de la Palestine, alors que l'article Palestine (État) indique dès le RI : « Dans le contexte du conflit israélo-palestinien, les frontières, la capitale et la reconnaissance internationale de la Palestine font l'objet de débats et controverses. Les frontières revendiquées par la Palestine sont celles de la Cisjordanie, gouvernée partiellement depuis 1994 par l'Autorité palestinienne, et de la bande de Gaza, sous contrôle du Hamas depuis 2007. La Cisjordanie est occupée par l'État d'Israël depuis 1967 et la fin de la guerre des Six Jours. La Palestine revendique Jérusalem-Est comme capitale bien qu'elle n'administre pas la ville dans les faits, le siège du gouvernement étant à Ramallah ».'

Par l'absence de tout rappel de cette situation complexe, l'article laisse penser que l'autorité Palestinienne serait le gouvernement des zones concernées et l'autorité de nomination des dirigeants de gouvernorats de la Palestine.

Le seul problème est que chacun sait que l'AE n'a autorité que sur une partie de ce territoire, le surplus étant sous domination israélienne, et que, à la suite du conflit Fatah-Hamas, l'AE et ses cadres ont été évincés de la direction de la bande de Gaza, qui est désormais assurée par le Hamas : si des gouverneurs sont en fonction dans les 5 gouverneurats de Gazah, leur autorité de nomination n'est évidemment pas la même que pour les autres.

La rédaction actuelle nie cette complexité et laisse penser que l'autorité palestinienne dirige la Palestine, ce qui n'est pas le cas et est clairement un POV^[1].

Par ailleurs, l'article fait l'objet en novembre 2018 d'un débat sur son admissibilité au sens des critères de Wikipédia. La discussion est ici --Claude villetaneuse (discuter) 15 novembre 2018 à 17:37 (CET)[répondre]

↑ cf, au hazard : Piotr Smolar, « L’Autorité palestinienne envisage de désigner Gaza comme « entité rebelle » : Confronté à une administration américaine hostile et à une réconciliation compromise avec le Hamas, le président Mahmoud Abbas raidit ses positions », Le Monde,‎ 21 mars 2018 (lire en ligne, consulté le 15 novembre 2018) « Le président de l’AP semblait ainsi annoncer le retour à une politique punitive à l’égard de Gaza (...) Interrogé par Le Monde, Mahmoud Al-Aloul, le numéro 2 du Fatah (...) précise en quoi pourraient consister les mesures citées par M. Abbas. Il évoque « la possibilité de déclarer Gaza comme une entité rebelle ».

[1] , au hazard : Piotr Smolar, « L’Autorité palestinienne envisage de désigner Gaza comme « entité rebelle » : Confronté à une administration américaine hostile et à une réconciliation compromise avec le Hamas, le président Mahmoud Abbas raidit ses positions », Le Monde,‎ 21 mars 2018 (lire en ligne, consulté le 15 novembre 2018) « Le président de l’AP semblait ainsi annoncer le retour à une politique punitive à l’égard de Gaza (...) Interrogé par Le Monde, Mahmoud Al-Aloul, le numéro 2 du Fatah (...) précise en quoi pourraient consister les mesures citées par M. Abbas. Il évoque « la possibilité de déclarer Gaza comme une entité rebelle ».

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