Discussion:Louis Ier de Bourbon-Condé

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La mort de Condé[modifier le code]

Je pense qu'il est préférable de ne pas porter de jugement sur l'assassinat de Condé à Jarnac (après tout, les faits parlent d'eux-mêmes). Par contre, il peut être intéressant de se pencher sur les jugements des contemporains : la narration de la fin du prince par Brantôme, par exemple.

Guise 22 oct 2007 à 01:00 (CEST)

Supression[modifier le code]

J'ai supprimé cette phrase accompagnée d'une note :
Sous l'impulsion de Louis de Condé et de Coligny, la foi nouvelle s'implante à Sancerre, calviniste depuis 1548, à Bourges et Issoudun, puis à La Châtre, Aubigny et Saint-Amand

Je ne la comprends pas trop et je ne vois pas trop ce qu'elle vient faire dans la partie où elle était plaçée. --Châtillon (d) 29 février 2008 à 18:51 (CET)[répondre]

S'il n'est pas arrêté, c'est que les Guise n'ont pas de preuve écrite de sa participation à la conjuration.[modifier le code]

Fallait il une preuve 'écrite' pour agir au XVI°?--Razouguet (discuter) 25 octobre 2016 à 20:37 (CEST)[répondre]

Le prince de Condé est un prince de sang. Le roi ne peut l'arrêter si ce n'est pas justifié, ni le juger légalement sans la présence des pairs du royaume. De nombreux prisonniers de la conjuration le désignaient clairement comme le responsable du coup d'état, mais la parole des gens du commun ne pèse rien contre celle d'un Prince de sang. Le XVIe siècle reste une société d'ordre très hiérarchisée, avec des restes de la période féodale ; les Princes sont au-dessus du commun.
C'est surtout que le 1er avril 1560, le prince de Condé avait réalisé devant la cour, en présence du roi, un superbe discours dans lequel il menaçait de combattre en duel toute personne qui l'accuserait sans preuve. Aucun des gentilshommes présents n'osa relever le défi (notamment, parce que provoquer le Prince et le combattre en duel, c'était aussi encourir le risque de s'attirer la désapprobation du roi et de sa mère). Le Prince fut donc laissé libre. Son appartement fut toutefois fouillé, pendant son absence, en vain.
Le cardinal de Lorraine avait semble t-il la volonté de le faire arrêter, mais pas son frère le duc de Guise, militaire de métier, qui respectait le code d'honneur. Les deux Guise étaient en désaccord sur la méthode à employer à l'égard du Prince de Condé. Les Guise avaient surtout bien conscience qu'ils n'étaient plus en position de force à la cour pour prendre une décision aussi radicale que son arrestation.
Le prince fit arrêté six mois plus tard, parce que son agent était tombé entre les mains des Guise avec des documents qui rendaient Condé responsable des troubles en province. Et l'anecdote suivante témoigne de l'importance du code d'honneur : en décembre 1560, à la mort de François II, le Prince de Condé fut libéré, mais il refusa de sortir de prison tant que le gouvernement ne lui donne pas caution de son innocence. Le Prince de condé resta donc quelques temps, en prison, de sa propre volonté.
Preuve en est de l'importance des traditions chevaleresques, en 1562, lorsque le duc de Guise fait prisonnier le prince de Condé à la bataille de Dreux, la nuit tombée, il lui prête son lit de camp, car même vaincu, l'ennemi conserve les droits liés à son statut de prince.

--Châtillon (discuter) 25 octobre 2016 à 23:57 (CEST)[répondre]

bonjour
mais au lieu d'écrire tout ce ceci ici écrivez le dans l'article! Vendée globe 44 (discuter) 23 décembre 2021 à 11:26 (CET)[répondre]