Discussion:Mécanographie

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Mécanographie à cartes perforées[modifier le code]

Compte tenu de l'importance de la mécanographie à cartes perforées dans la naissance de l'informatique, j'ai ajouté ce domaine comme une partie à part entière de cet article (qui ne traitait jusqu'à présent que la mécanographie à machines comptables).

J'ai insisté dans cette partie sur l'évolution des usages de la mécanographie plus que sur les caractéristiques des appareils qui doivent plutôt être traités dans les rubriques propres de ces appareils (tabulatrice, trieuse, etc...), rubriques qui ont été créées en même temps (janvier 2008) que cette partie sur la mécanographie à cartes perforées et qui doivent encore être largement développées (chantier en cours).

--Alain Aussedat (d) 15 janvier 2008 à 17:41 (CET) auteur principal initial de la partie "cartes perforées" de cet article.[répondre]

Mécanographie à machines comptables[modifier le code]

Je n'ai pas touché à la partie existante concernant les machines comptables, mais il me semble que les paragraphes finaux de cette partie concernant le remplacement d'une machine comptable par une tabulatrice puis un ordinateur dans une entreprise de Mulhouse sont un exemple bien banal d'une opération qui s'est réalisée des milliers de fois en France à cette époque. Il ne me semble pas que de tels exemples doivent être développés dans une encyclopédie. Il vaudrait mieux le mettre dans un document externe sur lequel cet article pointe. Même remarque pour l'introduction de cet exemple dans la chronologie.

Par ailleurs, il serait souhaitable, comme pour la 1ère partie (cartes perforées) d'ajouter un paragraphe sur les références des sources d'information

--Alain Aussedat (d) 15 janvier 2008 à 17:41 (CET)[répondre]

En effet, tu as parfaitement raison. N'hésite pas ! • Chaoborus 16 janvier 2008 à 09:43 (CET)[répondre]

Oui mais c'est à l'auteur de cette partie de l'article de citer ses sources. Je suis totalement ignorant des machines comptables et des sources d'information qu'il a utilisées; personnellement je n'ai travaillé que sur la mécanographie à cartes perforées; --Alain Aussedat (d) 16 janvier 2008 à 18:44 (CET)[répondre]

Non Monsieur, Cette opération n'a rien de banal. A cette époque les constructeurs de ces machines prônaient haut et fort que la mécanographie et les ordinateurs par la suite savaient tout faire sauf de la comptabilité en Grandes entreprises. Pour en avoir une idée plus précise de ce qui s'est passé dans ce domaine, je vous conseille, cher Monsieur, de visiter la page "discussion lettrage comptable" et la suite pour vous faire une idée plus précise. Monsieur, lorsque j'ai supprimé la première machine comptable en tant que Chef opérateur en atelier mécanographique en 1962, j'ai récolté un blâme IBM par ma direction interposée. Par la suite interdit de Cahier de Charge, vous connaitriez la suite après lecture de "discussion lettrage comptable". gilbert.bitsch à votre service pour toutes explications complémentaire. Vous serez alors en relation de la source. Mes sources, c'est mon vécu, mes études effectuées dans une HEC allemande pendant l'occupation, (en gestion d'entreprises comme en toutes autres choses ils avaient 10 années d'avance) et mon expérience dans les domaines de la gestion, de la mécanographie, des machines comptables ainsi que dans l'informatique. Quelles sont les sources de l'auteur d'une innovation ? Personne au monde ne m'a pas disputé l'édition de la tenue de la première comptabilité auxiliaire fournisseurs sur tabulatrice en 1962, ni d'abord sur tabulatrice en 1965 et ensuite sur ordinateur IBM 360/40 pour la tenue des comptes clients en 1966 . Les milliers de fois se sont pointé sans les années 80 seulement. Ce que savaient faire les gros ensembles en 1962,(source beagle), les mini et les micros ordinateurs dont le prototype dormait depuis 1952 sans affectation possible le sauraient aussi. Car il ne savait pas non plus faire de la comptabilité ! Il faisait des calculs de prévision, (sondages) pour un candidat lors d'une élection présidentielle Américaine à la télévision. Source : beagle. Mis en vente après les élections, il est resté sans acheteur.

--Gilbert Bitsch (d) 15 février 2011 à 14:30 (CET) auteur principal initial de la partie "Machines comptables" de cet article et contributeur de la partie à cartes perforées.[répondre]

A cette époque les constructeurs de ces machines prônaient haut et fort que la mécanographie et les ordinateurs par la suite savaient tout faire sauf de la comptabilité en Grandes entreprises
Ce en quoi ils avaient tout à fait raison, les capacités des disques 1311 (2 Mo !) et 2311 (1964 : 7 Mo) étant parfaitement insuffisants. Leur contenance était comparable à celle d'une dizaines de bacs de cartes (1 carte = 80 caractères; un bac de 2000 cartes = 160 Ko), mais la vitesse des tabulatrices et interclasseuses pour les tris était considérablement supérieure pour ce genre de volume, car elles fournissaient des sélections en accès direct à 1600 opérations par minute, ce dont étaient incapables les disques et bien davantage les bandes.
Jusqu'en 1971, les ordinateurs furent incapables de lutter sérieusement contre les interclasseuses. Les disques 3330 et 3340 le permirent avec des machines puis puissantes comme les IBM 370. 212.198.148.24 (d) 12 mai 2013 à 23:30 (CEST)[répondre]

Note concernant les sources de cet article[modifier le code]

La structure de cet article, comprenant deux grands ensembles distincts traitant d'une part de la mécanographie à cartes perforées, d'autre part de la mécanographie à machines comptables, a conduit à indiquer les sources d'informations dans chaque partie.

Concernant la mécanographie à cartes perforées, ces sources sont indiquées dans le paragraphe 1-5. Toute autre source ajoutée par de nouveaux contributeurs est la bienvenue.

Toute cette partie concernant la mécanographie à cartes perforées est d'introduction récente (12 janvier 2008).Elle doit donc encore faire l'objet de compléments faisant appel à de nouvelles sources.

compte tenu des sources rajoutées récemment dans ce paragraphe 1-5, j'ai estimé correct de supprimer l'avertissement concernant la faiblesse des sources. En revanche, cet avertissement a peut-être sa place au début de la section concernant la mécanographie à machines comptables qui me paraît intéressante mais peu documentée

Par ailleurs, l'article doit encore largement être "wikifié", notamment par la création de liens internes vers des termes apparaissant dans l'article.

Chantier en cours.

--Alain Aussedat (d) 15 janvier 2008 à 17:48 (CET)[répondre]

--Gilbert Bitsch (Gilbert Bitsch) 15 Juin 2008 (CET)

Pour la rédaction qui concerne les machines comptables l'unique donnée complêtée en dehors de mon savoir concerne l'énumération des marques de ces machines. Je ne me souviens plus de la source. Est-il necessaire de fournir la source lorsqu'il est question de voitures. En ce qui concerne mes sources au sujet de mon action sur Wiki., que ce soit en comptabilité, en mécanographie,en lettrage, en Grand livre, en systèmes numériques ma seule et unique source se trouve dans "Histoire de la profession comptable"Pour ce qui ne se trouve pas dans l'oeuvre cité, il s'agit de ma contribution personnelle et de rien d'autre. Quelles sont les sources des inventeurs ?

47 ème congrès de l'ordre des experts comptables[modifier le code]

. Le projet de la profession comptable libérale

   Livre disponible à Paris au siège de l'ordre des Comptables et des Experts comptables.

En quelque manière ces gens sont mes paires. Malheureusement ils prétendent, avoir de tout temps fait de la comptabilité en ateliers mécanographiques avec supports d'entrées par cartes perforées. Malheureusement, ils ont raison selon leur conception de la comptabilité libérale en cabinets, limité à la tenue des comptes généraux, sauf ceux des classes ; 40 Fournisseurs 41 Clients, dont ils ne tenaient que les comptes collectifs. Malheureusement les volumes des pièces comptables traitées par eux par rapport à celui des comptabilités en Grandes entreprises (Ge) est l'inverse. C.à.d. ; les tiers représentent 80 % du volume traité en Ge, alors qu'il est de 20 % chez eux. Les libéraux ont de tout temps abandonné la comptabilité des tiers à leurs clients. Clients et Fournisseurs se traitaient chez leurs clients, par l'ouverture de chemises individuelles qui se soldaient manuellement après règlements. Les cabinets n'enregistraient chez eux que les factures payées en tant que des achats ou/et des ventes. Voyez le cirque et la valse des chemises et le nombre des comptables pour traiter ainsi mensuellement, des milliers et des milliers de clients et fournisseurs en Ge. Gilbert bitsch

Illustrations ?[modifier le code]

Bonjour, cet article est fort complet et intéressant, c'est indéniable; mais je le trouve toutefois un peu trop touffu. Ne pensez-vous pas que l'adjonction de quelques images, venant notamment des contreparties anglo-saxonnes, allégerait le tout ? Je peux m'en charger si cela vous rebute. Qu'en dites-vous ? --Ludovic89 (d) 30 novembre 2008 à 18:26 (CET)[répondre]

Bonsoir, veuillez entrer en contact avec moi par mon mail associatif. J'ai ouvert le premier cyber-atelier rural de France en 1999 dans le village où j'habite. 12 PC et 2 Mac. E-Mail = crepag01@sfr.fr Merci de bien vouloir m'aider à publier des images. Wiki rejette mes illustrations comme par ex. le premier compte établi par mes soins sur TABU. 421 IBM en 1966. Ce compte présentait les détails de l'extrait mensuel sur 3 Colonnes: 1°, les détails du solde précédant les mouvements du mois en cours. En 2° et 3°,colonne ; la ventilation au débit ou au crédit du solde précédent suivi des mouvements du mois. Cette disposition inédite et inimitable sans le plagiat de mon cahier de charges, gardien du secret du lettrage conversationnel, chagrinait tellement IBM que ma direction en a exigée sa suppression sur les relevés distillés à sa clientèle mondiale. C'est ainsi que Big blue, par l'imposition de son cahier de charge imposteur - documents à l'appui - que j'ai rejeté pour mon employeur a pu donner l'illusion au monde entier de faire de la comptabilité sur ses ordinateurs de la série des 360/, en éditant un simple relevé mensuel des mouvements du mois. Copie disponible. Cette manœuvre pratiquée de 1965 au début des années 1980, l'a été afin d'être en mesure d'attribuer l'ouverture de la comptabilité à la machine et non à l'homme. Pour cette raison IBM avait mit à l'étude et en chantier les ordinateurs de la série des 360. Cette dénomination, inspirés par les 360° du cercle, figure géométrique parfaite, pour annoncer qu'il saura aussi et enfin faire de la comptabilité. Ainsi IBM pour contrecarrer l'existence de mon logiciel plagié pour ses besoins personnels à l'échelle mondiale, à été en mesure de m'annoncer à tire personnel... et de proposer comme du pain béni, l'existence ou l'échange en location des ordinateurs 360 sachant faire de la comptabilité, contre les ateliers de mécanographie à cartes perforées et où des IBM 1401 handicapés, pour faire aussi de la comptabilité comme le faisait la SACM de Mulhouse et la SDM de Masevaux. Pendant ce temps, en catimini IBM préparait la série des micro-ordinateurs de la série des 30, inspirée par mon CdC plagié, pour s'attribuer le marché des 100% des comptabilités traités manuellement auparavant ou sur machines comptables pour 20% des utilisateurs. Détails à paraître sous : A l'informatique planétaire par une tabulatrice IBM 421 ou l'imposture du vingtième siècle.

Exemple de premier compte client 1965
Exemple de premier compte client tel qu'édité sur tabulatrice IBM 421 le 1er janvier 1966