Discussion:Méthadone

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Lien externe mort[modifier le code]

Bonjour,

Pendant plusieurs vérifications automatiques, et dans le cadre du projet correction des liens externes un lien était indisponible.

Merci de vérifier si il est bien indisponible et de le remplacer par une version archivée par Internet Archive si c'est le cas. Vous pouvez avoir plus d'informations sur la manière de faire ceci ici. Si le lien est disponible, merci de l'indiquer sur cette page, pour permettre l'amélioration du robot. Les erreurs rapportées sont :

  • http://www.arm-advocates.org/
    • Dans Méthadone, le Fri Jan 27 19:00:02 2006, Socket Error: (-3, '\xc3\x89chec temporaire dans la r\xc3\xa9solution du nom')
    • Dans Méthadone, le Tue Jan 31 21:16:39 2006, Socket Error: (-3, '\xc3\x89chec temporaire dans la r\xc3\xa9solution du nom')

Eskimbot 31 janvier 2006 à 22:51 (CET)[répondre]

Fait.Sand 1 février 2006 à 09:06 (CET)[répondre]

Substitution à la cocaïne[modifier le code]

Dans l'article, il est sous-entendu que la méthadone peut-être utilisé chez les cocaïnomanes, ou tout au moins il est y est fait état dans le paragraphe traitements de substitution : je pense qu'il n'en est rien, et je ne trouve aucune source confirmant cette affirmation. Cordialement -- doc103 (d) 2 octobre 2010 à 18:12 (CEST)[répondre]

Les modalités du suivi du traitement et du sevrage en méthadone sont sujettes à débat[modifier le code]

On ne peut affirmer de façon péremptoire qu'il n'est pas possible de diminuer de plus de 10 % par mois car on le fait en pratique pour certains patients sans nécessairement de rechute et je ne crois pas qu'il existe de recommandations officielles , d'ailleurs aucune source n'est citée. Par ailleurs même en diminuant de 10 % le sujet ressentira des signes de manque . La susceptibilité au manque est variable entre les sujets et entre différentes périodes de la vie pour un même sujet . Aucune généralité dans ce domaine ne me parait dons être publiable sans masquer la réalité complexe de la substitution et de son sevrage (qui n'est pas nécessairement un but pour le thérapeute).

Il serait peut-être interressant de citer le Dr Nysmander qui a découvert les effets de la méthadone : Le potentiel de la méthadone comme traitement de maintien pour usagers de drogues a été découvert à New York pendant les années soixante, par les Drs Marie Nyswander et Vincent P. Dole, qui étudiaient deux criminels toxicomanes. Les chercheurs voulaient prouver qu’à partir du moment où leurs clients recevaient assez de drogue pour satisfaire leurs besoins compulsifs et ne plus ressentir les effets du sevrage, ils ne commettraient plus de crimes et s’intéresseraient à autre chose. Les médecins ont donc donné des doses fréquentes de morphine aux deux clients. Résultat : ils ont effectivement perdu tout intérêt pour les activités criminelles ou pour les autres drogues. Toutefois, à part la télévision, ils ne s’intéressaient plus à rien d’autre et passaient leur journée allongés sur le divan, à dormir ou à demander leur prochaine injection.Nyswander et Dole pensaient avoir échoué. Ils ont utilisé la méthadone afin de diminuer progressivement les doses de morphine et sevrer leurs clients. Et là, surprise ! Les clients, tout à coup éveillés, ont perdu leur intérêt pour la drogue et ont commencé à parler d’autre chose : l’un a demandé de la peinture pour se remettre à son hobby, l’art ; l’autre a voulu reprendre des études. C’était exactement le résultat souhaité par les deux médecins ! Un bon dosage de méthadone rendait leurs clients équilibrés, lucides et prêts à mener une vie normale. extrait de t ra i t e m e n t d e m a i n t i e n à l a m é t h a d o n e publié par la CAMH de l'Ontario

... Vous ne pouvez pas demander à des toxicomanes de penser à leur avenir professionnel et d’être raisonnables, tant que leur préoccupation majeure est d’obtenir de la drogue. Quand un toxicomane n’a plus l’obsession de se trouver de la drogue, il peut penser à autre chose. À ce moment-là, le mot « rétablissement » a du sens. — Dre Marie Nyswander* Co-fondatrice du traitement de maintien à la méthadone

  • Extrait de Nat Hentoff, A Doctor Among the Addicts, Rand McNally, 1968

j'ai pris 220 mg de methadone pendant plusieurs années et un matin je me suis dit " STOP " . J'ai donc baissé le dosage de 40 mg par jour pendant deux jours puis 20 mg pendant quatre jours puis de nouveau 40 mg un jour puis 20 mg puis 10 mg les deux derniers jours pour me retrouver au bout de 9 jours a 10 mg .Mon psychiatre en addictologie me conseilla de ne pas stopper le traitement aussi vite car un risque important de manque pouvait se faire ressentir . Effectivement au bout du dixième jour de baisse , mon corps s'est tout d'un coup demandé ce qu'il se passait. Après quelques nuits difficiles je me suis réveillé ce matin plus en forme que jamais avec la réelle impression d'avoir passé une partie de ma vie a un peu trop dormir . Aujourd'hui tout convient à croire que ma vie sans méthadone sera plus intéressante à vivre qu'avec. Alors n'hésitez surtout pas à diminuer afin de vous sortir de cette très contraignante prise quotidienne et faites comme bon vous semble. BON courage à tous. Ayez confiance en vous et en vos capacités .