Discussion:Maclou de La Haye

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

à réécrire ??[modifier le code]

"Concernant le bilan critique, nous n’avons trouvé que trois articles consacrés à Maclou de La Haye : un paru dans le Bulletin du Bibliophile et du bibliothécaire de Edouard Turquety, celui de Jean Vignes « Brève histoire d’un genre érotique méconnu : la série de sonnets-blasons anatomiques du corps féminin », et « Entre Marot et Ronsard » de Michel Magnien.

On trouve quelques allusions à Maclou de La Haye, notamment chez Paul Laumonier, dues aux nombreuses dédicaces de Ronsard au Picard, ou chez Cécile Alduy dans Politique des Amours ou de Jean-Eudes Girot dans « Que me servent mes vers ». Enfin, il y a une entrée à « La Haye » dans le Dictionnaire des Lettres françaises.

Il a pu courtiser à loisir une jeune Vendômoise, Jeanne Desmons. Jeanne Desmons habitait un peu en aval de Vendôme. Il trouva près d’elle le « jardin de repos » quand il eut été adopté, c’est-à-dire fixé à la Cour comme valet de chambre par le dauphin, futur Henri II, duc de Bretagne, ou par son fils aîné, François, qui reçut le titre en naissant. (nom fournissant motifs aux jeux de sa poésie), dont il s'était épris avant son voyage et qu'il épouse en 1548. Ils donnent naissance à Henri en 1552. Quand il n'est pas appelé à la cour, Maclou de La Haye réside à Vendôme, dont sa poésie montre combien il apprécie les jolis monts et les cours d'eau paisibles.