Discussion:Margarita de Borbón

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"Pourtant, la majorité des experts en questions dynastiques considèrent que la renonciation de Margarita (et de sa sœur Pilar) restent valides, même si elles n’ont jamais été confirmées par le gouvernement." Ce n'est pas par le gouvernement, qu'il faudrait qu'elles soient confirmées, mais par le Parlement (les Cortès). La Constitution de 1978 précise : par une loi organique. En effet, les Infantes Marguerite et Pilar ne sont jamais revenues sur leurs renonciations, et de toutes façons, dans la tradition espagnole (monarchie "ancienne") comme dans la monarchie instauré par Franco et dont la Constitution de 1978 constitue une application (au surplus conforme aux habitudes de l'ancienne monarchie, en dehors du choix du prince qui a cependant été validé "dans les règles" en 1969), leur accord n'était pas indispensable, car il suffit de la signature du roi et du vote des Cortès. Il n'y a que le roi lui-même qui puisse abdiquer sans demander leur avis aux Cortès, et encore, ce faisant il ne s'exclut pas totalement de la succession, comme Philippe V qui avait abdiqué en faveur de son fils aîné : à la mort de ce dernier, Philippe V est remonté sur le trône. Il faut bien reconnaître que l'attitude générale de la Casa real, depuis maintenant de nombreuses décennies, manque de clarté. Le site de François Velde (que je ne connais pas personnellement!), Heraldica, explique très bien la situation en ce qui concerne la portée et l'application de la fameuse Pragmatique de Charles III dont tout le monde parle sans jamais l'avoir lue : Heraldica : mariages inégaux en Espagne et Pragmatique de Charles III [en] TR

« Cortes » (sans accent), et non "Cortès", si on veut vraiment employer un mot espagnol « dans le texte ». Le mot « Parlement » semblerait ici plus adéquat pour éviter un mélange des langues non justifié.
Cela dit, qu'est-ce qui peut empêcher un prince d'une famille régnante à renoncer à ses droits à la succession ? A priori, rien ! --Cyril-83 (d) 29 mai 2012 à 06:40 (CEST)[répondre]