Discussion:Marie-Madeleine de la Peltrie

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Autre aspect de sa personnalité[modifier le code]

Outrre l'apparence très lisse qu'on lui donne dans cet article, Mme de la Peltrie avait tout un caractère - si vous avez déjà lu l'autobiographie de Marie de l'Incarnation, ça vous a peut-être passé par dessus la tête, la béguine n'ayant que des bons mots pour «Mme la fondatrice».

Premièrement, afin de répondre aux souhaits répétés de son père quant au remarriage, elle a bel et bien simulé un mariage en blanc avec un Français - qui deviendra d'ailleurs le «secrétaire» (si on peut dire) de la communauté ursuline en France.

Lorsque le contingent de colons français dirigé par Maisonneuve et Jeanne Mance hiverne à Québec, Mme de la Peltrie décide de sacrer les ursulines là, partir avec son argent (qui permettait aux ursulines de subsister) et ses meubles pour continuer son aventure avec les zélotte de la congrégation de Notre-Dame-de-Montréal. Et si les colons de Montréal ne l'avait pas arrêté net, elle se serait rendu dans les Pays d'en Haut, ayant déjà payé son passage aux porteurs sensés l'amener. Elle reviendra un an plus tard à Québec. J'imagine l'apréhension mais aussi le soulagement des ursulines qui avaient peine à se nourrir depuis le départ de la riche fondatrice.

Lorsque l'incendie réduit le couvent des ursulines à ses fondations et que Marie Guyart de l'Incarnation remue mer et monde pour financer sa reconstruction avec l'aide du gouverneur, Mme de la Peltrie tient mordicus à son projet (au détriment de la reconstruction) d'édifier une chapelle en marge du cloître ce qui sème l'émoi et le désarroi chez les élites de la petite colonie...--Ocre (d) 1 juillet 2009 à 20:07 (CEST)[répondre]