Discussion:Mary Marquet
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Le maître de son cœur[modifier le code]
Bonjour, Il semble que Marie MARQUET à jouer en 1932 avec Jean YONNEL (aussi de la Comédie Française) la comédie "Le maître de son coeur". cf. Photo du studio G.L. MANUEL Frères pour le journal Excelsior du 6 novembre 1932. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 109.190.96.127 (discuter), le 4 février 2021 à 15:40 (CET)
Lecture critique[modifier le code]
Triste aspect de cet article où les affirmations sont données sans source, ou bien sans sous source centrée(ex: l'express).
Le contributeur ayant le plus alimenté l'article est Scoubidou75 (d · c · b) convaincu de plagiat principalement en utilisant Yvan Foucart : Dictionnaire des comédiens français disparus, Mormoiron : Éditions cinéma, 2008, (unique ouvrage mis en biblio). Comme je retrouve les mêmes phrases dans un document plus fourni http://artistes1940.free.fr/marymarquet.htm, je soupçonne fortement un plagiat à la création.
Par la suite, sont venus s'ajouter
- des informations disparates coupant l'ordre chronologique, opérant des redites (arrestation en 44)
- des affirmations très troublantes s'appuyant sur un article de journal même pas centré sur le personnage
- assassinat de son fils
- reconnaissance de son fils par Francen à la naissance(?) alors que le mariage avec Francen n'a lieu que plus de 10 ans plus tard (une autre source parle de "légitimé par Francen" plus vraisemblable
- des commentaires persos (sur ses qualités de vendeuse, sur ses autobiographies qui relèveraient de la pure fantaisie.)
- une filmographie en un bloc spécial:diff/33476882 ressemblant étrangement à http://www.lesgensducinema.com/biographie/MARQUETM.htm
- Une suppression non justifiée d'une de ses préonm de naissance "Marie" spécial:diff/42950963
Je vais tenter un ravaudage mais il va me manquer les ouvrages les plus importants :
- le dictionnaire des comédiens disparus pour vérifier si le contenu est identique ou viendrait compléter le contenu de http://artistes1940.free.fr/marymarquet.htm
- Marie-Agnès Joubert, La Comédie-Française sous l'occupation (1940-1944) pour éclairer le rôle de Mary Marquet durant cette période et les véritables raisons de son arrestation. Mary Marquet en fournit des piste dans son témoignage cellule 209 partiellement accessible sur Googlebook mais les accusations concernant l'arrestation de son fils et les points de sa défense ne sont pas accessibles.
- L'article de l'encyclopaedia Universalis serait probablement une lecture profitable pour les abonnés.
Refonte effectuée[modifier le code]
Bon j'ai ravaudé le texte sur cette grande (dans les deux sens du terme) actrice, que j'ai découverte à l'occasion avec ses qualités artistiques et son caractère excessif. En fait, il m'a fallu faire une refonte, d'une part pour m'éloigner des phrases paraphrasée sur le site http://artistes1940.free.fr/marymarquet.htm, d'autre part pour recouper avec d'autres sources. Cela a mis en évidence que le site en question commettait des erreurs chronologiques et une erreur de filiation. J'ai volontairement supprimé la section vie privée, d'une part parce que la bio d'une personne doit raconter sa vie personnelle ET sa carrière artistique et que l'un des domaines est intimement lié à l'autre, d'autre part parce que cette séparation artificielle créait inévitablement des doublons de la part de lecteurs n'ayant pas une vue globale de l'article. J'ai volontairement supprimé les informations suivantes
- Enfin, il faut évoquer une carrière parallèle d'antiquaire, puisque Mary Marquet tient pendant des années un stand au Village Suisse, alors un marché d'antiquaires important de Paris. Elle s'y révèle une redoutable vendeuse, mêlant souvenirs théâtraux et intérêts commerciaux bien compris/ le nombre d'objets, dessins et divers vendus par elle et provenant, sans autre garantie que sa mémoire …, de chez Sarah Bernhardt, Edmond Rostand ou autres, relève du prodigieux[pas clair][réf. nécessaire].
- Pleine d'imagination, Mary Marquet n'hésitera pas à inventer une liaison prétendue avec Serge Lifar, dans son autobiographie Ce que j'ose dire,ce qui relève de la pure fantaisie, comme nombre d'anecdotes qu'elle raconte dans ses livres de souvenirs qui ne peuvent être pris pour argent comptant.[réf. nécessaire]
non sourcés et non neutres. J'ai de même, et là c'est - je le reconnais - plus discutable, supprimé toute référence à l'article de l'express pour ses affirmations très imprudentes sur François Francen que je ne retrouve nulle part ailleurs.