Discussion:Matériel informatique

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Quant à moi, cet article devrait plutôt s'appeller "Matériel informatique" ou quelquechose du genre... Vous êtes d'accord ? -- Calo 22:43 nov 27, 2002 (CET)

N'est-ce pas ce qui est indiqué dans la définition ? Meszigues 22:54 nov 27, 2002 (CET)

Bien sûr, c'est écrit dans la définition, mais il me semble que dans une encyclopédie française, les titres devraient être français, non ? (avec Hardware redirigeant vers l'article avec un titre français) -- Calo 22:58 nov 27, 2002 (CET)
On devrait plutôt le nommer architecture des PC seulement; ceux-ci ne représentent qu'une partie très spécifique du matériel informatique, et juste la partie émergée d'un très gros iceberg.

Y a-t-il une raison pour laquelle la définition de tous les périphériques cités sont placées comme sous page de wiki/ (wiki/Manette par exemple) ? JonathanIlias 21 déc 2004 à 19:08 (CET)

Arf, n'y prêtez pas attention, c'était ma question bête du jour ;). En revanche, j'ai apporté quelques modifs mais je n'ai pas osé touché à la tentative de classifications des matériels informatiques. Celle-ci ne me convient pas : c'est un point de vue très visuel. S'il faut mettre une classification, je préfèrerais qu'elle soit plus conceptuelle. Qu'en pensez-vous ? JonathanIlias 21 déc 2004 à 19:20 (CET)
C'est vrai que c'est pas aussi simple que ordinateur d'un côté et périphériques de l'autre. Tout dépend de la définition de ordinateur : est-ce l'unité centrale ? Dans ce cas la frontière entre périphérique et composant de l'ordinateur est floue : la plupart des composants internes existent aussi sous forme de périphériques (et vice-versa: l'écran peut être intégré à l'UC). De plus, on trouve des éléments informatiques dans beaucoup d'autres objets comme l'électroménager. J'avait proposé une classification qui essaie de tenir compte de cela ici. Mais c'est pas terrible non plus... Qu'entend-tu par "classification plus conceptuelle" ? Moi j'ai pas d'idée. --Beavis 21 déc 2004 à 19:53 (CET)

le contenu de cette page[modifier le code]

cette page résume les composants qu'on trouve dans un ordinateur, et en particulier un PC. elle est loin de couvrir la totalité du matériel informatique qu'on peut trouver dans tout les appareils informatiques.--Silex6 (d) 24 décembre 2008 à 09:44 (CET)[répondre]

Notes de bas de page et paragraphe en corrélation sont équivoques[modifier le code]

La note de bas de page laisse entendre que les ordinateurs centraux ont disparus. C'est faux.

Je pense que la formulation de la phrase n'est pas convenable et erronée.

Les terminaux sont des extrémités, pas nécessairement des clavier-écrans, comme les imprimantes par exemple. Les terminaux-écrans étaient encore très utilisés jusqu'à l'an 2000, je peux vous le certifier pour l'avoir vécu.

Le PC n'a jamais remplacer les terminaux, ce sont les logiciels d'émulation, mais surtout, l'intégration directe des données par l'entremise d'outils d'interrogation tel que SQL ou les échanges inter-applications par l'entremise de XML qui ont permis une restitution fonctionnelle et métier au travers des outils bureautiques, mais surtout de navigateurs Web en passe de supplanter définitivement les terminaux, d'où l'intérêt du PC pour le coup.

Pour ma part, je supprimerai la note de bas de page et reformulerai la phrase du paragraphe correspondant.

Espérant contribuer utilement...

--Stéphane Bouët [Pour discuter] 26 septembre 2013 à 21:58 (CEST)[répondre]

Oui et non... Je m'explique : les gros mainframes de l'époque (pré-1980, donc avant l'IBM PC), avec leur cohorte de terminaux totalement stupides ont effectivement disparu. Le dernier que j'ai vu était un vieux HP-UX d'époque, à la fac, quand j'étais étudiant, et je doute fortement qu'à sa mort il ait été remplacé par un système de même type.
Donc, en ce sens, la note est vraie : les mainframes pré-1980 ont disparu. Et c'est tant mieux. Car ces terminaux exposaient directement le système d'exploitation du mainframe, ce n'était finalement qu'une manière de multiplier le nombre d'écrans et de claviers d'un ordinateur unique. Qui n'a jamais testé de fork bomb sur un tel système ? C'était bien plus grave qu'un DoS, car ça tuait le travail des autres également !!
Toutefois, après une période "d'isolation" (les années 80 / début des années 90) où seuls les ordinateurs individuels régnaient, une nouvelle forme de mainframe est apparue : les serveurs.
Certes, à part de rares cas (superordinateurs de calcul notamment), ces serveurs sont en général totalement applicatifs et hautement spécialisés : serveur Web, serveur BD, serveur de fichier, serveur de gestion de configuration, architecture trois tiers, etc. Mais ils restent un "ordinateur central" auquel accèdent des terminaux (une session Telnet, un navigateur Web, etc.).
Cependant, la grosse différence entre une architecture "mainframe pré-1980" et une architecture "client/serveur" est que la première est plutôt du type "maître/esclave". Les terminaux sont alors stupides. Dans une architecture client/serveur, le client est "intelligent", et c'est lui qui a l'initiative de la connexion tandis qu'un terminal n'est même pas capable de booter sans son mainframe (net boot de rigueur) ! Et même en cas de client "stupide", à l'heure actuelle, ce n'est plus qu'une application (voire une simple librairie !) qui tourne sur un ordinateur "intelligent".
En ce sens, donc, la note est "fausse" et il existe toujours des ordinateurs "centraux", mais on ne communique plus directement avec leur système d'exploitation : on utilise des applications qui tournent dessus. La différence peut sembler mince, mais elle est pourtant fondamentale.
Ceci étant dit, la note mérite en effet une clarification pour les profanes. Je doute que même parmi les informaticiens, beaucoup saisissent la nuance "ordinateur central du type existant avant 1980" dans cette note.
 Mac LAK Discuter ] 27 septembre 2013 à 12:07 (CEST)[répondre]
C'est un point de vue, pas une réalité. Si c'est sensé être un rhétorique, elle ne ma pas convaincu et j'en suis navré.
Il existe des problèmes de vocabulaire historique que je n'aime pas, parce qu'il déforme la réalité. Ainsi, un serveur est un logiciel et en aucun cas une machine. On doit ce triste amalgame à NetWare, système d'exploitation réseau. Une machine est conduite par un système d'exploitation. Par l'entremise de ce système d'exploitation, on pilote des serveurs que l'on dit donc hébergés. La machine est donc l'hôte des services qu'elle délivre. Une machine est un hôte, ni plus, ni moins. Ce n'est pas le matériel qui prime, mais bien le logiciel qui le pilote.
Pour ce qui concerne l'usage du PC en lieu et place de système centraux, c'était, soit disant, purement économique, et après de nombreuses années de disette sécuritaire, pragmatisme et économie obligent, il a bien fallu remettre les clés des données des entreprises entre les mains de ceux qui pouvaient en assurer la pérennité.
Si, d'ailleurs, ce n'était pas le cas, nous ne pourrions même pas en débattre ici.
Il est indispensable de considérer le matériel comme un tout. Un concentrateur USB sans unité centrale ne sert à rien. Cette unité centrale peut être un PC, mais également un smartphone , une netbox, ...
Par exemple, un smartphone est un ordinateur, piloté par un système d'exploitation dont la priorité fonctionnelle est la téléphonie, il sait désormais prendre des photos, on peut étendre sa capacité de stockage au travers de cartes SD, il peut également servir de lecteur de musique numérique qu'il restitue grâce à la prise son à laquelle on connecte un micro/casque qui peut servir d'interface d'écoute ou de dialogue par l'entremise de la fonction téléphonique.
Être exhaustif sur ce sujet du matériel informatique risque inévitablement d'être polémique, parce qu’indépendamment des terminaux que sont les PC et autres smartphones, il faut aussi parler des commutateurs réseau de tous acabits, des dispositifs combinés que sont devenus les systèmes de reproduction de documents...
Bon courage...
--Stéphane Bouët [Pour discuter] 28 septembre 2013 à 21:39 (CEST)[répondre]
N'oublie pas de signer, stp.
Comme je l'ai dit, la note mérite d'être éclaircie, mais pas dans le sens que tu souhaites, je pense.

Désolé de ne pas t'avoir convaincu, je vais donc retenter.

Le vocabulaire fluctue dans le temps, que tu aimes ou pas n'est pas un critère : c'est comme ça, c'est tout, les langues évoluent. Tu peux voir l'exemple du verbe "communiquer", devenu transitif depuis l'avènement des département de communication... Et tu as des exemples de ce type à la pelle.
Actuellement, et même si ton âme d'électronicien se révulse, un serveur est à l'heure actuelle aussi bien la machine que le logiciel serveur qu'elle héberge. C'est un terme qui s'applique au matériel OU au logiciel, indistinctement, et c'est l'usage admis par tous. Je te mets au défi de prouver le contraire... Au mieux, tu trouveras la précision "machine serveur/se" et "logiciel serveur", mais le terme "serveur" s'applique aux deux quand même.
De plus, quand on parle de serveur "tout court", on sous-entends "machine et logiciel serveurs".

Le matériel est composé d'éléments, qui ne sont pas forcément présents sur toutes les machines. Typiquement, des machines spécialisées peuvent tourner sans processeur (un FPGA n'est pas un CPU), sans RAM, sans disque et bien entendu sans clavier, souris, écran, réseau, etc. Ce sont des briques élémentaires que l'on assemble suivant les besoins.
Quoi que tu en dises, les "vrais" terminaux (écran, clavier, éventuellement souris, un CPU, un peu de RAM et un boot par LAN) sont des éléments révolus. Il existe bien sûr encore des machines en boot par réseau (ex : cartes CPU "esclaves" dans des racks 19", dénommées en général "CPU diskless" dans la terminologie moderne), mais en général elles n'ont plus aucune interface homme/machine physique, uniquement une connexion réseau... Ce sont des terminaux par rapport à la CPU maître (celle qui a le disque dur), et ces terminaux ont eux-mêmes des terminaux via des sessions de type Telnet, qui ne sont plus que des logiciels et non plus des machines à part entière.

Quant à l'utilisation du matériel... J'ai déjà vu des périphériques "idiots" communiquer par USB entre eux, ce bus remplaçant alors d'autres bus série plus anciens (type I²C ou SPI, par exemple). Il y a un hub USB, mais pas d'unité centrale à proprement parler ! Il ne faut jurer de rien, tout peut être adapté à un usage qui n'est pas l'usage nominal prévu.
Rien que dans le monde du PC, la variété de matériels unitaires disponibles et les combinaisons possibles font que tu ne peux même pas définir un PC autrement que par son mode de compatibilité historique (norme AT), qui finalement ne décrit pas grand-chose de plus qu'une méthode de boot, quelques I/O et interruptions de contrôle... Rien de bien lourd, mais c'est pourtant bel et bien la base de nos machines dites "PC".

Cela ne change de toutes façons pas le problème initial : les mainframes pré-80 sont morts et enterrés. Je comprends qu'un fan de machines comme les AS/400 en soit attristé, mais c'est pourtant bien la réalité et ce type de machine devient plus qu'anecdotique... J'ai 40 ans, quasiment 15 ans d'expérience professionnelle, et j'ai commencé l'informatique à l'âge de 11 ans (soit presque 30 ans). J'ai vu une quantité incroyable de machines, y compris des armoires 8 bits programmées par clés et/ou cartes perforées.
Et bien sur toute cette période, j'ai vu en tout et pour tout trois mainframes, et un seul en domaine pro (un AS/400, justement). Tous obsolètes au moment de ma rencontre avec eux, et conservés uniquement pour des raisons de coût d'adaptation de certains logiciels... Et ces logiciels avaient une date de fin programmée et prévue, qui a signé l'arrêt de mort des machines qui les hébergeaient. Le cas de l'AS/400 est symptomatique : il servait (le pauvre !) UN SEUL TERMINAL, celui du développeur. Son boulot était de faire tourner un vieux truc qui n'était utilisé que par un seul client, et lui aussi en monoposte... Triste, mais vrai. Et c'était en 2000.
De la même façon, j'ai encore mes Amstrad CPC chez moi. L'un d'entre eux fonctionne même toujours. Mais ça ne veut pas dire pour autant que l'âge des machines 8 bits personnelles n'est pas révolu ! Car maintenant, à part quelques PIC et contrôleurs spécialisés, va trouver un CPU 8 bits... Le moindre microcontrôleur est en archi 16 bits !

Même si je peux comprendre que ça te déplaise, les terminaux actuellement, ce sont des logiciels clients tournant sur des PC, reliés à plusieurs serveurs simultanément (le contrôleur de domaine, le serveur Web, le serveur de fichiers, le serveur mail, etc.). Cela reste une machine autonome te permettant de jouer de la musique ou la dernière vidéo à la mode... C'est d'ailleurs ce que je fais en ce moment : mon navigateur est connecté à une vingtaine de serveurs différents (dont Wikipédia), j'ai un programme de test qui tourne depuis mon Visual Studio et qui tape dans mon serveur MySQL local, je joue de la musique qui vient de mon NAS en DLNA pendant que mon iTunes est en train de mettre à jour mon iPhone... Ma machine est à la fois client et serveur, et c'est ça la grande avancée depuis les mainframes.

Désormais, la pérennité, c'est la distribution et la réplication des données, et non plus leur concentration dans une seule machine "sûre" sauvegardée uniquement via des bandes... Sécurité illusoire : j'ai déjà vu plusieurs fois des bandes se perdre ou s'abimer (vivent les champs magnétiques intenses), des machines soit-disant "protégées" grillées par une surtension provenant d'un câble réseau endommagé entré en contact avec du 220V endommagé lui aussi et passant par la même gouttière, des disques en RAID tomber parce qu'un crétin a mis dedans deux disques du même lot qui sont tombés en panne en même temps (dommage, un seul disque en tolérance de panne, paf le RAID), et j'ai des exemples comme ça à la tonne. Tous vécus. Donc le "bon vieux temps" du mainframe, je dis: HEUREUSEMENT, IL EST FINI !!

Certes, on a actuellement d'autres problèmes... Qui n'a pas vécu la boucle sur le switch d'entreprise qui paralyse le réseau pendant deux heures, le temps de trouver ladite boucle sur des switchs non-manageables ? Ou l'accès au Net qui tombe et qui bloque 50% du travail possible ? Mais globalement, ces problèmes sont moins gênants (même si plus fréquents) que les anciens, rares mais catastrophiques.

Principe de base de la sûreté de fonctionnement : vaut mieux un problème bénin fréquent qu'un problème catastrophique rare. Nous avons évolué vers ça, et c'est une bonne chose.

J'espère t'avoir un peu plus convaincu cette fois.
Cordialement,  Mac LAK Discuter ] 28 septembre 2013 à 02:17 (CEST)[répondre]
Toujours pas, hélas.

La première raison est le vocabulaire, et que l'on veuille l'utiliser selon ses désires est un choix, mais ce qu'il représente étymologiquement en est un autre.

L'autre concerne les mainframes, qui ont soit disant disparus d'après tes dires. Pour ta gouverne, j'en installe encore, presque toute les semaines, pour remplacer des matériels anciens ou devenus désuets, mais les systèmes d'exploitation qui les régissent sont toujours IBM i (ex. AS/400) qui est toujours bien vivant. Ces installations concernent des clients dont les activités sont la banque, l'assurance, le pétrole, le commerce, l'industrie, l'aéronautique, ...
Tout ce petit monde est devenu virtuel, on héberge plusieurs systèmes dans une même machine. Il se côtoient souvent pour l'uniformité des traitements et services qui permettent la gestion de l'entreprise. Les systèmes mitoyens sont très souvent Unix et Linux. IBM i est utilisé pour la tenue des données de gestion de l'entreprise puisque le système intègre nativement DB2/UDB.
Bien entendu, les capacités de traitements ne sont plus nécessairement mitoyennes des capacités de stockage, cela fait partie des évolutions sécuritaires. Les capacités de traitements peuvent être géographiquement éloignées mais travailler en commun (Cluster) et les unités de stockages également, mais pour assurer dans ce cas une redondance.
Les mainframes conservent leur nom, mais ils ont évolués technologiquement. Pour piloter l'ensemble, on utilise toujours des consoles, virtuelles elles aussi, mais les commandes de chacun des systèmes d'exploitation qui permettent leur gestion sont toujours les mêmes. Mais lors de leur exécution, on traverse beaucoup plus de couches logicielles, ces dernières simulant les matériels présentés au système, ces ressources physiques étant désormais partagées entre tous les systèmes présents dans la machine ou que la machine sait voir (au travers de middleware ou de firmware).
Dans ces conditions, le vocabulaire est essentiel, car il faut être précis, surtout en cas de problème, puisque l'impact, suivant qu'il s'agisse de la machine ou d'un système n'est du tout le même. La machine héberge les partitions ou machines virtuelles. Ces partitions hébergent chacune un système (d'exploitation, bien sûr). Chaque système héberge des services ou serveurs, et ce sont ces systèmes qui utilisent les espaces de stockages, virtuels eux aussi, au travers de systèmes de fichiers pour en assurer la gestion. Ce sont ces systèmes de fichiers modernes qui assurent la redondance des données.
Dans ces configurations complexes, dire qu'il y a une panne sur le serveur, c'est dire également qu'il un truc dans le bidule qui déconne. C'est n'importe quoi.

Oui les mainframes existent, c'est mon travail de chaque jour, et lui, il n'est pas virtuel !...
Cordialement
--Stéphane Bouët [Pour discuter] 28 septembre 2013 à 22:54 (CEST)[répondre]
Mais ce ne sont plus les mainframes de l'époque avec, comme UNIQUE interface, des terminaux PHYSIQUES dénués de toute intelligence...
Tu le dis toi-même : actuellement, tu installes des SERVEURS, et les utilisateurs s'y connectent avec des terminaux LOGICIELS, non plus des terminaux MACHINES. Et le même serveur physique héberge plusieurs serveurs logiques (ou virtuels), qui eux-mêmes font souvent tourner plusieurs logiciels serveurs.
Bref, tu viens donc de le confirmer : les mainframes pré-80 sont bel et bien morts. Maintenant, ce sont des serveurs.
L'étymologie est une chose, utile pour ne pas dire nécessaire, mais l'usage prime sur TOUT. Car c'est uniquement l'usage qui détermine l'évolution d'une langue et/ou d'un jargon... Exemple ? Même si le terme "officiel" est "processus léger" ou "fil d'exécution", ce terme n'a JAMAIS percé auprès des professionnels qui disent absolument TOUS "thread" à la place.
Donc, même si quelques uns appellent ça "mainframes", pour l'immense majorité des gens, "mainframe" veut dire "mainframe pré-80" tandis qu'actuellement, le terme "serveur" le remplace. Il n'y a rien d'étonnant à ce que les clients "historiques" des mainframes continuent à les appeler ainsi, mais le reste de la planète utilise le terme "serveur". Et oui, c'est un abus de langage, mais c'est comme ça.
Et quoi que tu en dises, l'architecture mainframe (ou maître/esclave) est obsolète (je parle en logiciel/machines, pas des circuits électroniques en temps réel où c'est souvent un bon choix au contraire), heureusement remplacée par l'architecture client/serveur. Il y a quand même une grosse marge entre une WebApp (qui requiert un navigateur, un système d'exploitation, etc. pour tourner sur le client) et un terminal VT100, je pense, non ?
 Mac LAK Discuter ] 1 octobre 2013 à 12:10 (CEST)[répondre]