Discussion:Michel Peyramaure

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Informations complémentaires[modifier le code]

Le titre "Les Tambours sauvages", ouvrage édité en 1992 par Les Presses de la Cité, ne semble pas figurer dans la liste donnée par l'article. Je ne l'ai pas rajouté car j'ignore comment sont classés les œuvres citées.

D'autre part, j'ai trouvé cette "Fiche d'identité" à la fin d'une de ses éditions et je vous la propose, très légèrement modifiée sur la forme. Si l'auteur de l'article souhaite la mettre en forme et l'inclure...

Né en janvier 1922, à Brive-la-Gaillarde, en Corrèze. Il n'a jamais quitté cette ville, sauf pour de nombreux voyages en France, en Europe et dans le monde. Il débute dans le métier de journalisme à l'âge de douze ans, par un dessin humoristico-politique qui lui valut une polémique avec un journal d'opposition. Premières universités à l'école Jules-Ferry, à Brive, en compagnie de Georges Mamy, ex-éditorialiste du Nouvel Observateur, puis à l'école primaire supérieure ("élève très médiocre, qui passe son temps à écrire des poèmes..."). Il décroche péniblement son brevet. Pour se procurer l'argent de ses livres (Victor Hugo surtout, son maître) il chaparde des journaux dans l'imprimerie paternelle, les revend à des amis de collège, distribue des prospectus, imprime lui-même son premier recueil de poèmes, "Sèves". Son professeur de français disait de lui : "Un crétin de génie..." Ouvrier imprimeur jusqu'à 40 ans, à l'Imprimerie Nouvelle, la plus antique de la région, dirigée par son père, il continue à écrire des poèmes, des contes, un roman "mythologique" qu'il illustre lui-même, des articles pour "La Corrèze Républicaine" de Henri Fabre, qui lui ouvre une rubrique hebdomadaire. Aux environs de la quarantaine il renonce à diriger l'imprimerie paternelle et devient journaliste à part entière à "Brive-Information", "Centre-Presse", "La Montagne". Marié, père d'une fille, Martine, conservateur du patrimoine et écrivain, il a pris sa retraite en 1987.

Il publie en 1953 (ou 1954 ?) son premier roman, "Paradis entre quatre murs", qui n'obtint aucun succès. En revanche, son deuxième, "Le Bal des Ribauds", réédité en permanence, lui ouvre la voie du roman de l'histoire, un genre auquel il n'a jamais renoncé. Il fait aujourd'hui partie de ce regroupement d'écrivains attachés à la Corrèze, que l'on a appelé l’École de Brive , où figurent, entre autres, Claude Michelet, Christian Signol, Denis Tillinac, Gilbert Bordes, Colette Laussac et quelques "membres associés".

— Le message qui précède, non signé, a été déposé par 83.199.103.550 (discuter) le 25 février 2009.