Discussion:Modèle colorimétrique

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Le fonctionnement de l'œil humain[modifier le code]

Bonjour. vous dites : « Le modèle RVB est également appelé modèle naturel car il suit le fonctionnement de l'œil humain. »

En êtes-vous bien sûr. Si vous considérez les courbes de sensibilité de chacun des trois types de cônes de l'œil humain, vous obtenez quelque chose de fort différent du modèle RVB. Les cônes "rouges" par exemple perçoivent avant tout le jaune !

D'autre part, on m'a plutôt appris que le modèle correspondant le mieux à la sensibilité de l'œil humain est le modèle Lab C'est d'ailleurs ce que dit Wikipédia sur la page CIE L.a.b. : " Il a été spécialement étudié pour que les distances calculées entre couleurs correspondent aux différences perçues par l'œil humain."

RVB est un modèle correspondant à des constats techniques. Le RVB s’accommode bien des pigments disponibles dans la nature pour la photos couleur, puis les écrans cathodiques. Du reste, les appareils photos sont pourvus d'autant de photosites vert que de photosites rouge et bleus réunis car l'humain est principalement axé sur cette teinte, ce qui n'est pas pris en compte dans le modèle RVB.

D'autre part, vous allez bien vite dans la définition du CMJN. Vous n'expliquez pas pourquoi le noir a été ajouté. Vous n'expliquez pas non plus que le CMJN est une synthèse soustractive. Vous ne mentionnez d'ailleurs même pas l’existence des synthèses additive et soustractive, ni, forcément, ce que c'est. Votre article est très incomplet. Le lecteur ne peut comprendre pourquoi il existe ces différents modèles colorimétriques. Je vous encourage donc à poursuivre votre effort.

Dominique 2 février 2013 à 16:18‎

Question de définition[modifier le code]

Faute de source, je ne saurais rien affirmer, mais AMHA un modèle colorimétrique devrait répondre par définition à ces conditions :

  1. Le modèle a un nombre fini de paramètres.
  2. Toute couleur visible doit avoir une représentation et une seule.
  3. Deux rayonnements métamères doivent avoir la même représentation.
  4. Une procédure existe pour faire correspondre tout échantillon arbitraire avec une représentation.

Évidemment, ça élimine les systèmes descriptifs basés sur la synthèse des couleurs, qu'elle soit additive ou soustractive (à moins qu'ils n'acceptent des coefficients négatifs, ils ne peuvent représenter toutes les couleurs). Il y a une définition qui dit que les espaces colorimétriques sont des sous-ensembles des modèles. Ce serait le cas.

Répondent à ces conditions les modèles CIE, peut-être Munsell, probablement Retinex.

On trouve des sources disant tout et son contraire. On n'a pas à établir des faits de langage, mais à trouver des autorités. PolBr (discuter) 2 juillet 2014 à 22:40 (CEST)[répondre]