Discussion:Ne me quitte pas/LSV 17093

Archivage de la discussion

Cette page contient l'archivage de la discussion d'une proposition d'anecdote.

Brel et Liszt

Proposition validée. L’anecdote qui suit, proposée par Mgquebec, a été validée par Fanfwah et va être déplacée sur la page de préparation des publications, pour être ensuite insérée automatiquement sur la page d’accueil :

• Une partie de la chanson Ne me quitte pas de Jacques Brel reprend un air de la Rhapsodie hongroise no. 6 de Franz Liszt.

Proposant : Mgquebec (discuter) 14 mai 2019 à 00:17 (CEST)

Discussion :

• À titre informatif, on peut entendre l'air à partir de 2min 9sec dans la rhapsodie de Liszt. Malheureusement, elle n'est pas disponible sur Wikimedia Commons -- Mgquebec (discuter) 14 mai 2019 à 00:21 (CEST)

Brel n'était pas un vrai compositeur de musique mais il en était un très bon amateur. Bien sur il y a « Ne me quitte pas »... mais surtout, il y a « Amsterdam » qui vaut pour sa plus grande particularité, car pour cette chanson, Brel s'est totalement inspiré d'une musique composée par un homme qui n'était pas non plus un vrai musicien, mais un amateur éclairé comme lui, le roi Henri VIII, lui-même ! De plus, il est fort possible que le premier passage du grand Jacques au Québec, lorsqu'il fut invité par Félix Leclerc, soit à l'origine de son inspiration, comme quoi, le monde est petit ! --JPC ^{n'hésitez pas à m'en parler} 14 mai 2019 à 08:52 (CEST)

Sourcé et amusant, et tant pis pour ce qu'il faut lire au passage (« Brel faux compositeur », dixit un vrai encyclopédiste amateur). --Fanfwah (discuter) 14 mai 2019 à 17:30 (CEST)

Je ne sais pas comment il faut prendre ça... --JPC ^{n'hésitez pas à m'en parler} 14 mai 2019 à 17:58 (CEST)

Pour l'expression d'une désapprobation à l'égard de ce type de commentaires. --Fanfwah (discuter) 14 mai 2019 à 18:10 (CEST)

Pourtant, je n'ai strictement rien écrit de négatif. Brel n'était pas musicien et il l'a reconnu lui-même. Il n'avait pas appris le solfège mais il avait une bonne mémoire musicale (peut-être même de « l'oreille » ?) et savait inventer des mélodies simples, ce qui n'est pas antinomique. Il était influencé par ce qu'on appelle la « grande musique » avec les deux exemples cités dans ma précédente proposition. On retrouve également Ravel dans "Quand on a que l'amour", Prokoviev dans "Ces gens-là". C'est d'ailleurs sa grande différence avec Ferré et Brassens, Brel ne compose pas, il écrit sa musique dans son texte et inversement (avec l'aide de Rauber, au début puis de Jouannest), alors que les deux autres interprètes sont capables de mettre en chanson les poèmes d'autres auteurs. Brel était incapable faire ça, mais cela n'empêche pas le génie.--JPC ^{n'hésitez pas à m'en parler} 14 mai 2019 à 19:54 (CEST)

Ce qui n'empêche pas non plus qu'une mélodie simple et répétitive puisse évoluer en chef d'œuvre musical → [1] --JPC ^{n'hésitez pas à m'en parler} 14 mai 2019 à 20:05 (CEST)

Discussion de l'anecdote archivée. --GhosterBot ^{(10100111001)} 15 mai 2019 à 13:00 (CEST)

 Mgquebec : ton anecdote proposée le 2019-05-14 00:17:00 a été acceptée. GhosterBot ^{(10100111001)} 15 mai 2019 à 13:01 (CEST)