Discussion:Olivier Delavault

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Recherche de sources. Je m'adresse à la communauté pour m'indiquer des sources pour le texte suivant, concernant Olivier Delavault.[modifier le code]

Si vous connaissez des sources permettant d'étayer des informations contenues dans le texte ci-dessous, merci de me le faire savoir.

Librairie
Quand TF1 est privatisée en 1987, Olivier Delavault envisage de faire ce à quoi il pense depuis quelque temps : ouvrir une librairie uniquement consacrée à l’Amérique indienne. En avril 1988 il quitte TF1 et ouvre sa librairie au 11 de la rue Charlot dans le 3ème arrondissement à Paris. Le champ couvert englobe toute l’Amérique indienne du Pôle Nord au Pôle Sud, mais aussi de l’Île de Pâques aux îles Martinique et Guadeloupe. L’ensemble présente également un secteur jeunesse, et compte près de 7000 références, en incluant livres anciens et rares toutes époques confondues depuis le début du XVIIe siècle, ainsi que le livre neuf et d’occasion parfois épuisé. En faisant le catalogue du stock de la librairie, Olivier Delavault s’aperçoit au bout de quelques mois qu’il est en train de faire une bibliographie détaillée et commentée sur les livres en français, traductions comprises, consacrés aux Indiens des Amériques. À ce jour, cette bibliographie, toujours inachevée, compte près de 11 000 titres.

Télévision
Après un passage de deux ans en 1967 à la librairie Joseph Gibert, boulevard Saint-Michel à Paris, Olivier Delavault entre le à la télévision, à l’époque Office de radiodiffusion-télévision française (ORTF). Il y apprend divers métiers à la cinémathèque du centre Pierre Brossolette, situé rue de l’Université, proche du 15 de la rue Cognacq-Jay, où il devient technicien film. Sa « petite carrière » s’interrompt une année lorsqu’il effectue dans l’Armée de l’Air son service militaire en 1971 ; également musicien, il est affecté à la Musique de la 2e Région aérienne à la Base Aérienne 104 à Dugny au Bourget. Il y côtoie des musiciens classiques et découvre une grande partie du répertoire. Il s’inscrit au conservatoire (à la mairie du 10e arrondissement) et entre à la Classe de trompette du professeur William Charley, alors au pupitre de l’orchestre de Paris avec Marcel Lagorce. En avril 1972, de retour à l’ORTF, il y rencontrera Yves Berger, alors adjoint auprès du directeur de la 2e chaîne de l’ORTF Pierre Sabbagh, pour les documentaires à caractère culturel, artistique et littéraire ; à ce titre, Yves Berger (avec l’appui de Marcel Jullian, nouveau directeur de la 2e chaîne) fera venir Bernard Pivot, qui exerce alors sur la 1ère chaîne avec l’émission littéraire Ouvrez les guillemets, sur la 2 où il créera Apostrophes.
Ce qui réunit Berger et Delavault, c’est leur passion commune pour l’Amérique indienne du Nord. Ils collaboreront à ce sujet bien plus tard dans l’édition, Berger allant devenir dès janvier 1975 le directeur littéraire des éditions Grasset.
Également, dans son travail sur les films, Delavault rencontre et sympathise avec celui qui est alors l’adjoint de Jacqueline Baudrier, directrice de la 1ère chaîne de l’ORTF, le journaliste, producteur et futur écrivain René Marchand.
Muté à l’automne 1972 au 18 de l’avenue Matignon, où se crée la 3ème chaîne de l’ORTF, Olivier Delavault quitte le 15 de la rue Cognacq-Jay. Il y effectue une rencontre capitale en la personne de Jean-Claude Albert-Weil, nommé, par le PDG Jean-Louis Guillaud, comme prospecteur/acheteur de programmes dans l’équipe du futur PDG de TF1 Films Productions Roger-André Larrieu. Une complicité professionnelle, intellectuelle et artistique se crée entre Albert-Weil et Delavault : en effet, outre ses activités à la télévision, Jean-Claude Albert-Weil, féru de philosophie, écrivain, est musicien de jazz professionnel.
Le 1er janvier 1975, lors de la division de l’ORTF en sept sociétés distinctes, Olivier Delavault se retrouve au 17 rue de l’Arrivée, à Montparnasse, au siège de TF1, dont le PDG est Jean Cazeneuve, de l’Institut, et le Directeur-Général Jean-Louis Guillaud. Puis, de retour à Cognacq-Jay où TF1 partage les locaux avec Antenne 2 dans l’immeuble Cognacq-Jay-Alfred Lelluch, Olivier Delavault est quelque temps rédacteur des Cahiers de la production de la Chaîne dans le service de Prune Berge, sous l’égide de Monique Trnka.
En 1977, il revient à TF1 Montparnasse et entre au service des achats de programmes en 1977. Il y devient l’assistant de Jean-Claude Albert-Weil : visionnage de séries et téléfilms (surtout anglo-américains, sous la direction de Roger-André Larrieu, puis, après le départ de ce dernier pour la direction de TF1 Films Productions, de Jacques Zbinden). Cette équipe achètera notamment Dallas, Starsky et Hutch, et Columbo. À partir de 1983, sous l'autorité de Roger-André Larrieu pour la filiale cinéma de TF1 que ce dernier dirige, et sous l’égide bienveillante de Jean-Claude Albert-Weil, Olivier Delavault travaille sur le court-métrage français : co-productions et achats de courts-métrages, préparations d’émissions consacrées au court-métrage coproduits ou achetés par TF1, émissions animées par le journaliste Jean Lanzi puis par le réalisateur Robert Enrico. La chaîne, à travers sa filiale cinéma, sera très présente au Festival du Court-Métrage de Clermont-Ferrand qui sera aussi une sorte de « pépinière » de nombre de futurs scénaristes et réalisateurs de longs-métrages, dont certains ont eu, à leur débuts, leur court-métrage coproduit ou acheté par le tandem André-Larrieu/Albert-Weil.

Musique
En parallèle de ses activités à l’ORTF et à TF1, Olivier Delavault, de 1968 à 1971, joue de la trompette dans un orchestre de rythm and blues, les Lord's ; la formation vouée, entre autres, au répertoire d’Otis Redding, Wilson Pickett, Arthur Conley, écume le nord de Paris, secteur Enghien-les-Bains, avec incursions à Paris.
Continuant l’étude de la trompette dans le domaine du classique, il entend parler de l’enseignement du professeur Robert Pichaureau ; ce sera une vingtaine d’années de travail avec cet enseignant familier de Maurice André et de ses principaux élèves.

Université
Tout en continuant d’exercer à la télévision et dans la musique, Olivier Delavault entreprend des études de Lettres. Il obtient à Jussieu Paris VII la Licence et la Maîtrise entre 1980 et 1984 (L’énonciation ironique dans Bouvard et Pécuchet de Gustave Flaubert).

Librairie
Quand TF1 est privatisée en 1987, Olivier Delavault envisage de faire ce à quoi il pense depuis quelque temps : ouvrir une librairie uniquement consacrée à l’Amérique indienne. En avril 1988 il quitte TF1 et ouvre sa librairie au 11 de la rue Charlot dans le 3<sup>e</sup> arrondissement à Paris. Le champ couvert englobe toute l’Amérique indienne du Pôle Nord au Pôle Sud, mais aussi de l’Île de Pâques aux îles Martinique et Guadeloupe. L’ensemble présente également un secteur jeunesse, et compte près de 7000 références, en incluant livres anciens et rares toutes époques confondues depuis le début du XVIIe siècle, ainsi que le livre neuf et d’occasion parfois épuisé. En faisant le catalogue du stock de la librairie, Olivier Delavault s’aperçoit au bout de quelques mois qu’il est en train de faire une bibliographie détaillée et commentée sur les livres en français, traductions comprises, consacrés aux Indiens des Amériques. À ce jour, cette bibliographie, toujours inachevée, compte près de 11 000 titres.

Merci pour vos contributions.
--Arthur Alphonse (discuter) 8 mars 2020 à 21:06 (CET)Arthur Alphonse --Arthur Alphonse (discuter) 9 mars 2020 à 13:10 (CET)[répondre]


Bonjour. L'article reste profondément promotionnel et je soupçonne certaines sources de ne citer Delavault qu'accessoirement au lieu d'être centrées sur lui, comme les articles relatifs à La Maison de l'aube : si le roman est un succès, il peut bénéficier d'une page distincte, mais le sujet de cet article c'est Olivier Delavault, pas La Maison de l'aube et les distinctions de son auteur. D'autres passages me semble correspondre au même procédé de "gonflage". Restons-en strictement aux articles qui parlent directement d'Olivier Delavault svp. — Bédévore [plaît-il?] 24 juin 2020 à 22:42 (CEST)[répondre]