Discussion:Ostracon de Khirbet Qeiyafa

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Remarque de Claude Valette (d · c · b)[modifier le code]

On dit « un ostracon » et « des ostraca » Claude Valette (d) 17 janvier 2010 à 02:08 (CET)[répondre]

transfert ici d'un autre article à rajouter éventuellement dans celui ci[modifier le code]

Si la technique de datation par le carbone 14, grâce à de récents progrès, permet désormais des datations précises[1], elle n'est cependant applicable ni aux inscriptions gravées sur la pierre, ni aux inscriptions gravées sur des poteries, parce que ces matériaux ne comportent ni l'un ni l'autre du carbone dans leur composition. Trouver un ostracon sur un site daté ne prouve pas pour autant qu'il n'y a pas été déposé à une date ultérieure.

L'ostracon de Khirbet Qeiyafa, découvert en juillet 2008 par l'équipe de Yosef Garfinkel, semble être la plus ancienne inscription connue en hébreu ancien. Il a été trouvé sur le site de Khirbet Qeiyafa. Le site lui-même a été daté du Xe siècle (entre -1050 et -970, selon des mesures au carbone 14), mais, par contre, aucune datation de cet ostracon n'est donnée sur les deux pages du site Internet de The Hebrew University of Jerusalem qui présentent cette découverte : aucune datation ici, aucune datation là. Aucune datation de cet ostracon ne figure dans la liste universitaire des publications de Yosef Garfinkel. Le texte de présentation des activités du département d'archéologie est totalement muet sur la découverte de cet ostracon, comme il est muet sur la prétendue découverte du Palais de David, ce qui remet les choses à leur importance scientifique réelle là un un battage médiatique leur donne une importance de premier plan qui n'existe pas. La poterie trapézoïdale mesure 15 cm sur 16.5 cm.[2] et comporte cinq lignes de texte. Selon le déchiffrage proposé par Gershon Galil de l'Université de Haïfa, l'inscription rappelle au roi le devoir de défendre le pauvre, la veuve, l'orphelin et l'étranger[3]. Le déchiffrage est cependant en discussion et d'autres versions sensiblement différentes ont été proposées[4]

Trois inscriptions sont retrouvées à Tel Rehov dans des strates datées du Xe et IXe siècle.[5]

  1. Les récentes contributions professionnelles aux datations par le carbone 14 ont été rassemblées dans un livre : T. Levy and T. Higham, editors, Radiocarbon Dating and the Iron Age of the Southern Levant : The Bible and Archæology Today, Londres, 2005 (27 contributions, 448 pages).
  2. A Fortified City from the Time of King David. Khirbet Qeiyafa Vol. 1 (2007-2008 Seasons). Jerusalem
  3. you shall not do [it], but worship the [Lord] / Judge the sla[ve] and the wid[ow] / Judge the orph[an] / [and] the stranger. [Pl]ead for the infant / plead for the po[or and] / the widow. Rehabilitate [the poor] at the hands of the king / Protect the po[or and] the slave / [supp]ort the stranger.
  4. Do not do [anything bad?], and serve [personal name?] / ruler of [geographical name?] . . . ruler . . . / [geographical names?] . . . / [unclear] and wreak judgment on YSD king of Gath . . . / seren of G[aza? . . .] [unclear] . . .
  5. Amihai Mazar, Three 10th-9th Century B.C.E. Inscriptions From Tel Rehov, Saxa loquentur: Studien zur Archäologie Palälastinas/Israels – Festchrift für Volkmar Fritz (2003), 171-184.



en fait c'était déjà fait. sauf al dernière phrase, dont vous ne voulez pas là-bas, mais qui n'a rien à faire ici. RigOLuche (d) 17 janvier 2010 à 13:31 (CET)[répondre]

le blog de Bob[modifier le code]

Cette personne à l'air sérieuse, son article très polémique. voir les réponses en dessous. Si on accepte ce genre de source, on va devoir revoir à la baisse les exigences partout et ça va faire beaucoup de travail. Il me semble que [1] pointe vers d'autres discutions sur l'interprétation, qui sont publiées dans New Studies in the Archaeology of Jerusalem and Its Region et qui seraient plus sérieuses. RigOLuche (d) 17 janvier 2010 à 16:26 (CET)[répondre]

Je pense surtout qu'il n'y a pas le feu et qu'il faudrait mieux se contenter de mentionner la découverte factuelle de l'ostracon, sa datation partielle et sa première traduction. Il faut laisser un peu de temps aux communications universitaires. L'extrapolation de Galil qui à partir d'un tesson arrive à élaborer sur les scribes paraît tirée par les cheveux. Ce blog dit la même chose par quelqu'un qui paraît avoir les titres universitaires qui conviennent. --Olevy (d) 17 janvier 2010 à 19:56 (CET)[répondre]
oui mais il le dit mal. j'ai ramené la traduction de l'anglais, qui est plus élaborée sur le débat. Effectivement de toute façon il faut attendre que ça se tasse. RigOLuche (d) 17 janvier 2010 à 22:17 (CET)[répondre]