Discussion:Pauline Dubuisson

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La vérité sur film de Clouzot c'est qu'il ne dépeint pas une caricature de jeune idiote. La vérité sur cette piètre ébauche d'article (étrangement grandiloquente venant de quelqu'un qui a si peu d'informations à offrir sur celle qu'il prétend réhabiliter), c'est qu'elle est extrêmement partiale, lourde, et creuse. Et que le viol collectif (souvent abordé, jamais démontré) ne justifiait en aucun cas qu'elle tire sur un jeune homme dont elle a elle-même repoussé les avances. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 85.169.104.54 (discuter), le 4 décembre 2011 à 06:32‎

Viol collectif et tonte[modifier le code]

Pour ceux dont le sujet intéresse :

L'auteur Philippe Jaenada, dans son roman La petite femelle (Julliard, 2015), soutient que Pauline Dubuisson n'a pas été tondue et qu'elle n'a pas subi un viol collectif à Dunkerque à la libération ; se serait une rumeur écrite en 1992 par un romancier. Voir cette source : « Philippe Jaenada revient sur l'histoire de Pauline Dubuisson. », une interview sur France Info (1er extrait à 1:05), ou l'auteur parle du sujet.
À creuser pour les spécialistes.--Zugmoy (discuter) 25 janvier 2016 à 00:39 (CET)[répondre]

PS : c'est Vandel qui parle de la tonte, j'ai donc biffé ça--Zugmoy (discuter) 25 janvier 2016 à 01:00 (CET)[répondre]

Invraisemblance[modifier le code]

Qu'en 1951, des journalistes en goguette aient dégoisé des invraisemblances pour rassasier une opinion publique en mal de sensationnel, c'est dans l'ordre des choses : le sang et le sexe font vendre. Mais qu'un demi-siècle après, des prétendus historiens reprennent ces propos sans broncher, c'est inacceptable : une part essentielle du métier d'historien est la critique des sources.

Or, quand je lis que la seule femme du jury a accordé les circonstances atténuantes, ce qui a évité la peine de mort, les bras m'en tombent. C'est aux USA que le jury doit parvenir à l'unanimité pour condamner. En France, il suffit de la majorité qualifiée, comme le sait n'importe quel étudiant en droit. Donc un seul vote ne suffirait pas. En outre, les délibérations du jury sont secrètes, et la violation de ce secret, encore punie lourdement de nos jours, l'était bien davantage alors. J'ai peine à croire qu'une jurée de 1951 ait dévoilé son vote.

Cette phrase a priori infondée en dit surtout beaucoup sur son auteur ou sur sa source : ou bien, que seule une femme était capable de juger vraiment l'accusée ; ou bien, qu'une femme était incapable de juger l'accusée avec toute la rigueur qu'elle méritait. Dans les deux cas, c'est très sexiste.

Pour toutes ces raisons, je demande que cette phrase soit fondée sur une source acceptable par des historiens. Et il serait bon que l'ensemble de l'article fût également retravaillé avec cette exigence de rigueur historique.--Ramsès Deux (discuter) 2 novembre 2020 à 14:24 (CET)[répondre]