Discussion:Philippe Videlier
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Suppressions répétées[modifier le code]
Bonjour 
apparemment il y a eu plusieurs guerres d'édition avec des interventions de quelques WP:CAOU. Dont celui-ci - je trouvais la version initiale plus claire, mais j'admets que c'est pas mon rayon, je passe ici au hasard d'une chronique sur une BD...
En 1993, il démissionne du poste qu'il occupait à Lyon, Yves Lequin, suivant en cela les recommandations de Madeleine Rebérioux et Pierre Vidal-Naquet, ayant refusé de sanctionner un autre historien, François Robert (voir aussi, ci-après, la condamnation de Philippe Videlier pour diffamation). Henry Rousso considère, dans son rapport sur le négationnisme à Lyon, que Ph. Videlier et ses partisans (souvent « trotskistes » ou du Parti communiste français) procèdent à des « amalgames », ont « une approche “biologique” peu compatible avec les principes qu’il s’agit précisément de défendre », et qu'ils s'inspirent du « modèle bolchevique ». Pendant plusieurs années, aucun laboratoire du CNRS, notamment à Lyon, ne manifeste son intérêt pour le recrutement de Philippe Videlier, lequel, remarque Henry Rousso, « s’est exclusivement consacré à la défense de sa cause durant plusieurs années » mais a « continué à toucher son salaire[1] ».
Enfin... comme des personnes sérieuses sont passées sur la bio, je suppose que ça reflète mieux la situation qu'avec les infos ci-dessu. Bien cordialement, — Bédévore 
[plaît-il?] 19 juillet 2019 à 19:49 (CEST)
- Henry Rousso, Rapport à Monsieur le Ministre de l’Éducation nationale, 2004, pp. 172-177 et 199.