Discussion:Résilience (psychologie)

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

Discussions[modifier le code]

Article incompréhensible. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 83.201.122.222 (discuter), le 27 janvier 2006 à 11:46‎

c'est mieux là ? — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Joachim~frwiki (discuter), le 15 février 2006 à 12:27‎

je viens de lire cet article et je le trouve très clair. on m'a conseillé de lire un des auteurs cités, je comprends mieux pourquoi... bravo pour votre accessibilité. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 193.218.15.47 (discuter), le 4 avril 2007 à 16:23

Article très instructif comme toujours. Cependant deux réflexions :

- la première concerne la référence à Nietszche et à la phrase citée, sortie de son contexte, devenu un cliché et totalement inexacte sous cet aspect pour ne pas dire dangereuse. En effet comment peut- on poser un postulat inaliénable vis à vis d'une composante d'une Science Humaine, qu'elle soit philosophie ou psychologie ?

Nietszche fût un excellent analyste et théoricien de la Pensée. Cependant son vécu, s'il fût souvent douloureux, voir insoutenable sur le plan psychologique, ne l'amena jamais physiquement à confronter des situations de survie.

Enfin, la fin de sa vie fût un calvaire : asile d'aliénés, mutisme totale, mort misérable (psychologiquement parlant). Est-il alors bienvenu d'utiliser son discours pour soutenir une thèse dont il illustre le contraire ?

- La seconde concerne un second cliché : la résilience appliquée aux survivants des camps de concentrations. Je ne citerai que Primo Levi et "Si c'est un homme" qui paraissait en 1947. En 1987 il se donnait la mort, et pas n'importe laquelle : la pendaison. Ca fait mal et ce n'est pas la plus rapide. Entre-temps il fût un brillant universitaire et conférencier, obtenant une dimension et une reconnaissance internationales. Il n'est pas une exception, mais le plus représentatif de ces êtres ayant été tellement torturés dans leur chair et dans leur âme qu'il leur était impossible de reprendre leur place dans le monde tel qu'il est.

Les survivants des camps de concentration ne sont donc pas un bon exemple appliqué à la résilience.

Peut être les "hibakushas",les survivants des explosions d'Hiroshima et de Nagasaki (au sens premier) en feraient-ils un meilleur. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 82.216.187.130 (discuter), le 5 mai 2007 à 15:33

Qu'en est-il de la résilience qui pousse un individu ou une communauté à retourner à ces anciennes façon de faire, vieilles habitudes lorsqu'ils sont soumis au changement ? Le principe de résilience peux mener à un nouvel équilibre mais peut aussi mener à reprendre sa forme originale. Question de janvier 2008 de Marginalway

répondu sur sa page de disc.Macassar | discuter 8 janvier 2008 à 10:29 (CET)[répondre]

La résilience (ou "renaître de sa douleur") consiste à prendre conscience des causes de son traumatisme et les moduler (ou minimiser) afin de les rendre supportables. La reussite depend de la personnalité du sujet et surtout de ses competences relatives à la neuropsychologie cognitive ainsi de l'aide conseillé d'une thérapie cognitive appropriée.

Bien cordialement Alessandro Pendesini

Francocentré = Boris Cyrulnik / Anglocentré = Emmy Werner[modifier le code]

Comme souvent les articles dans les différentes langues ne se ressemblent pas du tout. Si on compare cet article à l'article anglais, il y a quelque chose qui choque c'est qu'ici on en arriverait à croire que c'est Boris Cyrulnik qui a inventé le concept de résilience alors qu'il n'est même pas cité une seule fois dans l'article anglais (qui lui indique que c'est Emmy Werner qui serait l'initiateur de cette approche).
Alors, qui a développé ce concept? Et est-ce qu'on pourrait avoir une bibliographie sérieuse au lieu de ce francocentrage? A moins que les français ne lisent que les psy français et les anglais que les psy anglais, ce qui serait bien triste et qui ne fera pas avancer le monde... --Onesbrief (d) 17 septembre 2008 à 11:57 (CEST)[répondre]

A cet article je repondrais: "DE QUEL SEXE SONT LES ANGES"???

Bien cordialement Alessandro Pendesini

Boris Cyrulnik, initiateur??? Je ne crois pas, mais si oui, il faudrait appuyer cette affirmation...[modifier le code]

Je serais très très étonné si Cyrulnik avait référé à ce terme AVANT Werner et Smith (1982) et Rutter (1987, entre autres). Je me base sur le chapitre de Luthar (2006) qui fait un solide historique du concept (sans citer Cyrulnik... évidemment). Si on se fit à la date de publication de Werner et Smith et des première publications de Rutter qui font référence au concept, je crois bien que cette hypothèse de Cyrulnik comme pionnier de la résilience en psychologie est à écarter (je dois dire que je n'ai pas bien tracé l'historique en français, m'ayant concentré sur l'abondante littérature anglo-saxonne sur la résilience)--Zibudizz (d) 25 juin 2010 à 18:07 (CEST)[répondre]

Werner, E. E., & Smith, R. S. (1982). Vulnerable but invincible: A longitudinal study of resilient children and youth. New York: McGraw-Hill.

Luthar, S. S. (2006). Resilience in development: A synthesis of research across five decades. In D. Cicchetti & D. J. Cohen (Eds.), Developmental psychopathology, Vol 3: Risk, disorder, and adaptation (2nd ed.). (pp. 739-795). Hoboken, NJ, US: John Wiley & Sons, Inc.

Rutter, M. (1987). Psychosocial resilience and protective mechanisms. Am. J.Orthopsychiat. 57: 316–331.--Zibudizz (d) 25 juin 2010 à 18:07 (CEST)[répondre]


RESILIENCE - 2001 Une (ou la première) utilisation du terme résilience par B Cyrulnik est dans le Monde de l'Education n°292 de mai 2001. "Pour s’en sortir, il faut disposer très tôt de ressources en soi et pouvoir bénéficier des mains tendues ou tuteurs de résilience"

Le concept français n'est pas le même que l'anglo-saxon... C'est bien Boris Cyrulnik l'inventeur du concept fançais de "résilience": Il a interprété/adapté à sa façon le concept anglo-saxon. Il suffit de lire l'article en anglais pour voir que ce ne sont pas les même concepts. Le concept de Cyrulnik relève de l'hallucination affabulatrice obscurantiste(Certains psychothérapeuthes diront en OFF que c'est du placebo utile en thérapies positivistes pour les tartuffes...), alors que le concept anglais, même si critiquable, relève surtout d'une approche scientifique espèrant d'autres résultats que mercantilistes/zombifiants. Il y a bcp d'autres concepts en SH, telles la "théorie du genre", qui sont trés éloignés/incompatibles avec les concepts anglo-saxons(et inversement aussi: certes il y a un micro-climat en France en SH mais c'est pas parfait ailleurs non plus).109.209.166.178 (discuter) 24 février 2015 à 12:28 (CET)[répondre]

Oscar Chapital Colchado (2013) «groupe résilience sociale et: quand un groupe, la structure sociale, l'institution ou de la nation, forment des structures cohésion, l'appartenance, l'identité et la survie des structures sociales illimités ou complexes Développer les moyens de faire face et d'événements. situations qui mettent en danger le groupe et de l'identité, la formation intégrateurs des lignes directrices permettent la survie, l'expansion et l'influence du groupe ".

je me permets d'attirer l'attention du rédacteur sur les pb de syntaxe de cet extrait : traduction automatique ou relecture inattentive ? C'est dommage--46.218.239.10 (discuter) 2 mars 2015 à 14:32 (CET)[répondre]

«J'ACCUSE!»[modifier le code]

Comment et pourquoi améliorer cet article qui démontre parfaitement la vacuité du concept de résilience (appliquée à la psychologie) «bricolé» et importé en France par un M. Cyrulnik, non seulement intellectuellement malhonnête mais également proche de l'escroquerie, notamment médiatique?

À l'exception des contributions critiques et… de la photo de cet arbre intégrant un panneau signalétique comme possibilité de continuer à vivre (mais certainement pas «comme avant»: le joli mot de «rebond» est totalement ridicule), tout tend à éclairer la porte de sortie, voire de fuite, à l'intention du lecteur (du croyant?).

Un unique exemple, je cite:

«La résilience serait rendue possible grâce à la structuration précoce de la personnalité, par des expériences constructives de l'enfance (avant la confrontation avec des faits potentiellement traumatisants) et parfois par la réflexion, ou la parole, plus rarement par l'encadrement médical d'une thérapie).

Conséquences — Puisque tout se jouerait au cours de l'enfance et avant un quelconque traumatisme, pourquoi convoquer ensuite, après le traumatisme, une foule bigarrée d'individus ou de communautés possiblement auxiliaires?

Le / La conjointe et le couple fondé sur un déséquilibre patent (non, Sigmund Freud n'est pas tout à fait mort) serait-il capable de ne pas voler en éclat? «L'amour», ce beau concept aux contours bien définis que nous sert M. Cyrulnik, représenterait-il notre sauveur?

Pourquoi encore convoquer, ici ou là, dans le désordre (je n'ai plus l'article sous les yeux), la famille (de l'arrière-grand-père au dernier né!), les amis, les enseignants, les communautés spontanées et spontanément bienveillantes, les religieux et qui sais-je encore?

Pourquoi affirmer l'incapacité de toute aide médicale pour finalement y revenir faute d'argument (voir à ce sujet le simpliste schéma de ce en quoi consisterait le parcours résilient de l'individu avant et après le traumatisme: une honte scientifique!)?

Ainsi, selon notre amical «gourou», en quoi consiste donc la résilience? Effectivement, il faut absolument croire qu'il s'agit «d'un processus dynamique» et plus encore!, puisqu'ironique sans le souhaiter l'article explique bien dès les premières lignes qu'il n'existe aucune possibilité de faire quoi que ce soit pour s'achever dans un salmigondis d'énumération pseudo-empirico-théorique de tout et son contraire, de possibilité d'être aidé et, in fine, cerise cyrulnikienne sur le gâteau du jeune Boris, de faire en sorte que «tout redevienne comme avant». Scandaleux. N'est-il pas criminel de présenter un tel assemblage de… bêtises à, disons par exemple, une victime de viol? À pleurer.

Courage: fuyons vers l'hypothèse vérifiée, elle, de la croissance post-traumatique! Stanislas COQUIN (discuter) 16 décembre 2020 à 15:59 (CET)[répondre]