Discussion:Robert J. Courtine

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Quelques précisions[modifier le code]

Ce que je sais du personnage, connu alors qu'il travaillait au Monde (il y collabora passé l'âge d'une retraite normale, dans des conditions peu habituelles), relève trop du souvenir perso.
Cela serait surtout anecdotique (son obsession au restaurant du "fromage ET dessert", son goût pour les pommes, une relative frugalité liée sans doute à un diabète, son hostilité souvent paradoxale à la "Nouvelle Cuisine").
L'article actuel me semble d'une précision irréprochable. Le papier de Vincent Noce (Libé) est pertinent. On peut noter que le passé politique marqué de R.-J. C., source de rumeurs dénonciatrices mais floues de son vivant, n'a été évoqué franchement par des journalistes qu'après sa mort.
Il semble que certains des membres "fondateurs" de l'AAAAA aient été eux aussi collabos, sans doute de façon plus simplement pétainiste.
Vais repenser au personnage, classique et régionaliste, très terroir et cuisine "ménagère" à une époque où la mode n'était pas trop à l'"authentique", ni au "traditionnel revisité".
En ce qui concerne la 5 A, il en fut indiscutablement le pilote dans les années 70. --Saveurs France (d) 23 février 2013 à 02:16 (CET)[répondre]

Bon nombre de relectures faites, quelques découvertes en prime à la BnF, je vais essayer de préciser et compléter l'article Courtine, en évitant de donner dans le "souvenir personnel". Il reste beaucoup à préciser, y compris sur ses apports considérables de polygraphe gastronomique, sur sa conception de la cuisine diététique, d'une nouvelle cuisine... assez conservatrice. Je m'appuie évidemment sur l'important article de Raphaëlle Bacqué dans le Monde, et dois retrouver celui qui parut dans le Nouvel Observateur en mai 1980 (long papier très nourri célébrant les 70 ans de Courtine). Il faudrait rappeler l'amitié qu'André Daguin lui porta, les louuanges que lui décerna l'écrivain et journaliste gourmet Bernard Frank, peu suspect d'antisémitisme, ses rapports amicaux avec Pierre Perret, J-F. Revel, Maurice Casanova, ex-roi de la rue Saint-Benoît devenu patron du Fouquet's. Et parcourir la presse de l'occupation... --Saveurs France JLD (discuter) 26 décembre 2016 à 03:36 (CET)[répondre]
Je persévère, en essayant de ne pas commettre d'"inédit"... Il sera nécessaire de mieux classer et présenter les références, de citer des textes plus ou moins importants, et, surtout, de donner davantage d'infos sur la production "gastronomique" d'un chroniqueur à forts parti-pris qui emplissait vraiment les salles de restaurant. De le situer par rapport à la Nouvelle cuisine selon Gault et Millau, confrères avec lesquels il se chamailla, mais dont les positions n'étaient pas forcément très différentes. Courtine, un après-Curnonsky souvent chauvin, parfois très diététique, dont l'œuvre imprimée, irritante de paraître de nos jours à la fois surannée et contemporaine, défie par son abondance toute relecture complète. --Saveurs France JLD (discuter) 8 janvier 2017 à 20:24 (CET)[répondre]