Discussion:Séraphin (Bible)

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Neutralité[modifier le code]

Bonjour,

Je demande à ce que cet article soit estampillé "non conforme aux règles de neutralité". Il prend position notamment contre l'Eglise catholique, alors que la tradition de celle-ci parle des séraphins avec beaucoup de respect. Je n'ai pas les éléments aujourd'hui pour citer des sources fiables qui le prouve, mais suis prêt à le faire prochainement. En attendant, il est clair que cet article n'est pas neutre.

Bonjour, je suis entièrement d'accord avec le commentaire précédent. Cet article n'est absolument pas objectif et fait preuve de graves manques méthodologiques et historiques.

Bonjour,

avant tout je tiens à dire que je ne suis pas une professionnelle mais je tiens à souligner quelques points. Je ne suis pas croyantes mais je m'intéresse beaucoup à la religion chrétienne ainsi qu'a toute l'histoire qui l'entoure. En lisant cet article, je n'ai vu aucune allusion néfaste contre l'Eglise catholique.

Je précise encore une fois que je ne suis pas une professionnelle. Au vu de ces commentaires, ça m'intéresserai de connaître ce qui vous à fait tilter dans cet article afin d'en apprendre plus sur les séraphins, leurs position dans la hiérarchie céleste et comment ils sont perçu au seins de l'Eglise. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 92.105.94.174 (discuter), le 11 avril 2020 à 12:48 (CEST)[répondre]

Refonte de l'article[modifier le code]

L'article avait fait l'objet d'une sorte de guerre d'édition, et comportait deux versions assez différentes mais posant toutes deux problèmes : l'une dissertant sur l'angéologie en général, l'autre plus précise mais se lançant dans de grands exégèses bibliques partiellement hors-sujet.

J'ai donc réécrit l'article en le structurant, et en ne gardant que les éléments factuels. J'ai également ajouté quelques précisions historiques (les uraei égyptiens), ainsi qu'une illustration.

Par ailleurs, j'ai déplacé vers cette page de discussion les éléments hors-sujet, mais qui peuvent quand même présenter un intérêt pour le lecteur passionné par la question. - Fils du Soleil (d) 26 janvier 2009 à 01:03 (CET)[répondre]

Déplacement d'un texte hors sujet[modifier le code]

Déplacement vers cette page d'un texte hors sujet (dont je ne suis pas l'auteur). Tout ceci appartiendrait plutôt à la page angéologie. - Fils du Soleil (d) 26 janvier 2009 à 01:07 (CET)[répondre]


La description des séraphins pourvus de pieds, de trois paires d'ailes… doit être comprise comme étant symbolique. Leurs ressemblances avec des créatures terrestres représentent simplement leur capacité ou leur fonction, tout comme Dieu parle souvent de lui comme ayant des yeux, des oreilles et d'autres caractéristiques humaines. Montrant qu'aucun homme ne connaît l'apparence de Dieu (Premier livre de Jean 3:2). On trouvera des traces intéressantes de cet anthropomorphisme dans la littérature kabbalistique avec le Shiour Qomah, ce qui a conduit ultérieurement à la mise à l'index de ce genre d'ouvrage.

Ainsi beaucoup d'ouvrages religieux ou mystiques, souvent d'inspiration chamanique (Hildegarde de Bingen, Swedenborg, et bien d'autres innombrables et méconnus…), acceptent l'existence et la description physique d'entités, de dieux et déesses dont le spectacle visuel constitue l'essence de ce genre d'expérience personnelle.

Aux yeux des autorités cléricales, quelles qu'elles soient, l'extravagance de tels spectacles visuels et l'intensité symbolique et émotionnelle qu'ils apportent, susceptibles d'être accessibles à n'importe quelle personne, ont dû être perçus comme légèrement subversifs vis-à-vis des travaux de théologie et des structures religieuses de telle ou telle époque, telle ou telle région.

Ainsi beaucoup de textes relatant de telles expériences sont aujourd'hui commentés ceci est à prendre au niveau symbolique. Ce fut également le cas du livre d'angéologie SepherHaRazim, renormalisé en SepherRaziel. Ce fut également le cas du témoignage de Bernadette Soubirous, simple paysanne qui aurait vu une mystérieuse Immaculée.

Il existe un quatrième ange "coranique", Israfil (Raphaël), chargé à l'inverse d'Azrael, de relier l'âme d'un homme qui va naître à un fœtus.

Il existe également un quatrième ange biblique, nommé Auriel et qui signifie « La Lumière de Dieu ». Toutefois, l'Église a bien vite fait de le comparer à Lucifer « le porteur de Lumière » et voilà qu'il passe à la trappe. De plus, les tétralogies angéliques rappelant par trop les tétralogies païennes et magiques, ont entraîné sa condamnation.

On pourra facilement retrouver la trace des anges censurés :

Dans le Livre d'Énoch (apocryphe) version éthiopienne. Dans le passage du Coran concernant Idriss. De manière générale, l'étude des textes apocryphes d'une part, et celle du Coran d'autre part s'avèrent à l'usage être d'excellents compléments symboliques, spirituels et même historiques indispensables pour obtenir une vision neutre et étayée de références de l'angéologie ou tout autre concept spirituel.

Déplacement d'un autre texte[modifier le code]

Déplacement vers cette page d'un autre texte (dont je ne suis pas non plus l'auteur), qui n'est pas inintéressant mais qui relève plus de l'exégèse biblique que de l'article encyclopédique (certains aspects ont été intégrés dans l'article). - Fils du Soleil (d) 26 janvier 2009 à 01:12 (CET)[répondre]


Aucune description n’est faite de la Personne divine. Cependant, il est dit que les pans de son vêtement majestueux ont rempli le temple, ne laissant à personne la place de s’y tenir. Son trône ne reposait pas sur le sol, mais, en plus d’être “ haut ”, était “ élevé ”. Le fait que les séraphins “ se tenaient au-dessus de lui ” peut signifier qu’ils “ planaient ” grâce à une de leurs paires d’ailes, tout comme la colonne de nuage “ se tenait ” ou planait à l’entrée de la tente de Jéhovah dans le désert (Dt 31:15). Le professeur Franz Delitzsch fait le commentaire suivant sur la position des séraphins : “ Les seraphim ne dominaient certainement pas la tête de Celui qui était assis sur le trône, mais ils planaient au-dessus du vêtement qui Lui appartenait et dont la salle était remplie. ” (Commentary on the Old Testament, 1973, vol. VII, partie 1, p. 191). Au lieu de dire : “ Des séraphins se tenaient au-dessus de lui [Jéhovah] ”, la Vulgate déclare qu’ils se tenaient au-dessus de “ lui ” [probablement le trône]. — Is 6:1, 2.

D’un haut rang. Ces puissantes créatures célestes sont des anges qui occupent sans doute une position très élevée dans l’organisation de Dieu, puisqu’ils sont montrés en train de servir auprès de son trône. Les chérubins décrits dans la vision d’Ézékiel correspondaient à des coureurs qui accompagnaient le char céleste de Dieu (Éz 10:9-13). Cette notion de rang ou de pouvoir dans les cieux est en harmonie avec Colossiens 1:16, qui parle de choses “ dans les cieux et sur la terre, les visibles et les invisibles, que ce soient trônes, ou seigneuries, ou gouvernements, ou pouvoirs ”.

Leur fonction et leur devoir. Le nombre de séraphins n’est pas indiqué, mais ils s’appelaient l’un l’autre, ce qui signifie sans doute qu’il y en avait de chaque côté du trône et qu’ils proclamaient la sainteté et la gloire de Jéhovah en se répondant ; chaque séraphin (ou groupe de séraphins) répétait après l’autre ou lui répondait avec une partie de la déclaration suivante : “ Saint, saint, saint est Jéhovah des armées. La plénitude de toute la terre est sa gloire. ” (Comparer avec la lecture de la Loi et les réponses du peuple en Dt 27:11-26.) Par humilité et modestie en présence de l’Être suprême, ils couvraient leur face avec une de leurs trois paires d’ailes et, comme ils étaient dans un endroit saint, ils couvraient leurs pieds avec une autre paire, montrant le respect qui convient pour le Roi céleste. — Is 6:2, 3.

Le cri des séraphins à propos de la sainteté de Dieu montre qu’ils veillent à ce que sa sainteté soit proclamée et sa gloire reconnue dans toutes les parties de l’univers, y compris la terre. Un des séraphins toucha les lèvres d’Isaïe avec une braise prise de dessus l’autel pour le purifier de son péché et de sa faute. Cela pourrait indiquer que leur tâche a un rapport avec la purification du péché du peuple de Dieu, cette purification étant fondée sur le sacrifice de Jésus Christ sur l’autel de Dieu. — Is 6:3, 6, 7.

Leur forme dans la vision. La description des séraphins, pourvus de pieds, d’ailes, etc., est à prendre au sens symbolique ; leur ressemblance avec des créatures terrestres représente simplement leurs capacités ou leurs fonctions, tout comme Dieu dit souvent de lui-même, d’une façon symbolique, qu’il a des yeux, des oreilles et d’autres caractéristiques humaines. Montrant qu’aucun homme ne connaît la forme de Dieu, l’apôtre Jean déclare : “ Bien-aimés, maintenant nous sommes enfants de Dieu, mais ce que nous serons n’a pas encore été manifesté. Cependant, nous savons que lorsqu’il sera manifesté, nous serons semblables à lui, parce que nous le verrons tel qu’il est. ” — 1Jn 3:2.

Le symbole du feu / Le tétramorphe[modifier le code]

Dans la vision d’Ézéchiel, le feu représente aussi Aziluth le premier des quatre mondes, où est située la sephiroth Keter, la Couronne/Divinité/Godhead, donc logiquement cela est le lieu des "trônes" et des anges supérieurs tels que les Séraphins et les Hayyoth.

PS : Je suis complètement d'accord avec le commentaire de " Fils du Soleil " concernant le fait que de nos jours les rencontres angéliques et avec les "dieux" (pour reprendre la hiérarchie du néoplatonisme) est parfois accessible à des humains "ordinaires" au travers d'expériences chamaniques et méditatives.

Notamment il y a une très forte corrélation entre le tétramorphe de Ézéchiel et les visions sous DMT, la preuve avec l'art visionnaire :

https://www.deviantart.com/salviadroid/art/Death-by-Astonishment-560205513


Lorsque votre commentaire dit :

"Il existe un quatrième ange "coranique", Israfil (Raphaël), chargé à l'inverse d'Azrael, de relier l'âme d'un homme qui va naître à un fœtus."

Je rajouterais que selon certaines traditions, ce sont les grands dragons (pacifiques) qui sont chargés de la descente dans la matière et les anges qui sont chargés de la montée vers le Divin.

Peut être donc que le combat entre le dragon et l'archange symbolise seulement la résolution du cycle montée/descente, vers une nouvelle étape.