Discussion:Saint-Domingue

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

Druss, les sources que vous cités dans la page de discussion d'Hispaniola attestent que votre correction est injustifiée. Par ailleurs vous ne tenez pas compte des autres sources cités. Y a t'il une raisson à cela ? Par ailleurs avez-vous remarquesz que les entrées tels que vous les mettez dans cet article sont incohérentes ?PMA 21 octobre 2006 à 17:31 (CEST)[répondre]

Il me semble que vu la discussion sur les pages liés, la correction de Druss peut se comprendre. Un autre avis ? PMA 3 novembre 2006 à 08:54 (CET)[répondre]

D'après le correcteur Starus, si l'on en croit son commentaire de modification, le nom de Saint-Domingue ne serait pas la simple francisation de Santo Domingo (comme Don Diègue est la francisation de Don Diego). Domingue serait donc un nom bien français, la preuve: l'ancien premier ministre Domingue de Villepin. 87.90.221.65 21 août 2007 à 01:19 (CEST)[répondre]

Très drôle Émoticône ! D'ailleurs Londres est la francisation de en:London et it:Parigi l'italianisation de Paris. Mais l'évolution phonétique va pourtant au-delà : l'aqua latin a donné aussi bien notre eau qu'aqueux ou aquatique. Et pourtant tout venait du même mot. Les Français du XVIe siècle ont traduit Santo Domingo par Saint-Domingue, ils ne l'ont pas "francisé", alors qu'ils avaient pourtant traduit Dominicus par Dominique, les bougres !! Aucune logique,ces gens-là... Quant à Giacomo Colombo, frère de l'Amiral, et donc comme lui gênois, les Espagnols émigrés sur l'île d'Hispaniola l'appelèrent Diego, par déformation du latin Jacobus. Mais pour ces mêmes Espagnols, lorsque Jacques était saint, il n'était pas Santo Diego (ou San Diego) mais Santiago !! Les francophones émigrés, eux, déformèrent ce même Jacobus en Diègue (alors que leurs confrères du vieux continent le transformèrent en Jacques). Ah, les difficultés de l'évolution linguistique... Et pour boucler la boucle, celui qui accompagnait Dominique de Guzman dans ses périples en pays cathare n'était-il pas d'ailleurs l'évêque... Diègue ! — t a r u s¿ Qué ? 21 août 2007 à 06:59 (CEST)[répondre]