Discussion:Saveur de l'année

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L'information donnée sur les Saveurs de l'Année est orientée ! Il serait bon de respecter la neutralité du propos en s'en tenant aux faits, et de ne pas systématiquement s'opposer aux précisions et enrichissements de textes factuels.

ex : 1ère phrase L'appellation Saveur de l'Année SE PRESENTE COMME un signe de qualité... non l'appellation EST un signe de qualité

Quand on mobilise 60 000 consommateurs (Source organisation sous contrôle DGCCRF) qui expriment leurs avis dans un cadre méthodologique très strict je pense pouvoir dire EST un signe de qualité

ex  : 2ème paragraphe Ce nombre de dégustateurs correspond au double de l'échantillon recommandé par l'Association de Coordination des Techniques pour l'Industrie Agroalimentaire pour que les résultats de tests soient significatifs. Ceci est factuel.

etc j'invite les lecteurs à se reporter à la version du 6 mars 05:43, et de se forger leur avis.

A mon sens wikipédia est un outil de partage fantastique et sauf erreur Wikipedia n'est pas un lieu politique. Enfin je crois ...

Effectivement, cet article est souvent remodelé, et aucune version n'est neutre selon moi (pourtant, j'en suis l'auteru de certaines)
60000 consommateurs : faux, le site officiel en mentionne 9528 (1ère colonne, bas de page), je corrige sur l'article.
La phrase "Comme le Elu Produit de l'Année, Max Havellar, Monastic, Produits de Bretagne, ... il s'agit d'un concept marketing" me chiffone. Car produit en Bretagne et Max Havelaar fonctionnent par seuil (on respecte certains critère, ok, on respecte pas, tant pis), alors que saveur de l'année est un concours où tous les produits ne sont pas mis sur un pied d'égalité, mais uniquement ceux qui ont payé. Ce n'est pas forcément la purée qui arrivera la première la meilleure de toutes les purées, mais la meilleure de toutes les purées qui ont payé. Je vais enlever la comparaison pour éviter tout litige.
Eric 6 mars 2007 à 20:20 (CET)[répondre]

Merci de revenir à une version plus neutre et sincère respect pour votre connaissance documentaire du sujet. Pour précision 60 000 tests consommateurs (et non 60 000 consommateurs : méa culpa) est le chiffe du millésime 2007 ; 9 528 consommateurs est un chiffre du millésime 2006. Les labos ne peuvent pas faire déguster plus de 5 produits au même consommateur en raison de la saturation des sens du dégustateur. Le nombre de tests consommateur avoisinait donc 47 000 sur le millésime 2006.

Votre commentaire sur les purées m'amène à une précision. Il serait impossible matériellement d'évaluer tous les produits alimentaires du marché (environ 30 000 pour info x 120 tests consommateurs = 3,6 millions de tests = 720 000 consommateurs mobilisés). Mais il y a un principe de bon sens très simple : sauf s'ils y trouvent un plaisir à participer, ne s'inscrivent à une compétition que ceux qui ont un espoir de gagner. Les autres restent chez eux (ainsi je me verrai mal m'inscrire à un sprint de 100 M aux JO). Donc, ce sont les industriels eux-mêmes qui font la présélection. C'est logique : ils connaissent bien leur produit, leur concurrence... et savent si ils ont un minuscule ou un réel espoir de recueillir les bonnes notes des consommateurs. Et n'entrent donc en jeu que des compétiteurs sérieux.

Ensuite vient la question de l'argent ! Toute évaluation rigoureuse va avoir un coût. Les laboratoires d'analyses sensorielles mobilisés doivent être payés, ils ne travailleront pas pour la gloire, pas plus que les auditeurs des signes officiels lorsqu'ils contrôlent le respect des cahier des charges bio ou autres. Et qui doit payer ? Le citoyen - contribuable ou l'industriel (et donc indirectement les seuls consommateurs de ses produits ?). Les Saveurs de l'Année ont retenu ce second principe, sachant que les frais d'inscription sont inférieurs au tarif habituel de l'étude sensorielle équivalente sur le marché. Dans les faits, il faut vraiment gérer une toute petite entreprise pour être exclu du système pour des raisons financières : les plus petites PME lauréates comptent entre 5 et 10 salariés.

Chacun pense ce qu'il veut, mais les faits sont têtus. 87 % des consommateurs sont satisfaits des produits Saveur de l'Année qu'ils ont achetés (études LH2 -Louis Harris 2005 et idem en 2006). Faites un grand dîner chez vous et interrogez vos convives : vous verrez que ce n'est pas si simple de satisfaire autant de monde à la fois. Le principe des Saveurs de l'Année n'est pas d'être le grand jury absolu et définitif, ce qui serait une chimère digne de Big Brother, mais de permettre aux consommateurs de pouvoir choisir des produits savoureux. Apparemment ceux ci le font et continuent à le faire, car il faut aussi mesurer une petite chose toute simple : la promesse de saveur est immédiatement vérifiable. Si la démarche Saveur de l'année avait généré nombre de déceptions, après 10 ans d'existence elle serait morte et entérée. Alors après tout cela, libre à chacun d'y souscrire ou pas, et de choisir, entre deux confitures ou deux saucissons, celui ou celle qui porte éventuellement le logo.

En conclusion, j'apporterai une dernière réflexion. Wikipédia est riche de toutes ses contributions et de la synthèse qui se crée. Les signes de qualité de Monadia portent des valeurs voisines. Des consommateurs s'expriment pour guider le choix d'autres consommateurs. C'est une innovation majeure dans le domaine des signes de qualité, cantonnés trop souvent à de prés carrés d'experts...et la meilleure façon pour s'en convaincre c'est, je crois, d'y participer.

Doutes...[modifier le code]

Cet article n'est-il pas un peu promotionnel et d'intérêt peu encyclopédique ?