Discussion:Services industriels de Genève

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Critiques[modifier le code]

2 utilisateurs révoquent une affirmation sourcée et notable:

  • En 2007, le député au Grand Conseil genevois et membre du conseil d'administration des SIG Éric Stauffer s'insurge contre le système de rémunération ayant cours aux SIG en déposant une motion parlementaire[1]. La rémunération du président des SIG est par la suite réduit de moitié[2]. En 2008, ce sont des malversations qu'il y dénonce[3], en particulier le versement de fonds des Services industriels de Genève aux entreprises Energie Ouest Suisse (100 millions) et Gaznat (74 millions)[4]. Le député genevois et ancien réviseur des comptes des SIG Claude Marcet viendra confirmer ses propos lors de la scéance du conseil d'administration des SIG le 15 octobre 2008, en affirmant que les 74 millions versés à Gaznat l'ont été pour compenser les manoeuvres de dumping des prix pratiqués par l'entreprise Gaznat dans les années 90 pour prendre des parts de marché aux marchands de mazout[5].

Je souhaite que leur intervention soit expliquée en se basant sur: [Règle de Wikipédia]

--92.104.43.98 (d) 1 janvier 2009 à 18:35 (CET)[répondre]

En 3 mois personne ne s'étant expliqué sur cette page, je remet le paragraphe sabré par 2 utilisateurs. --Bizart (d) 6 avril 2009 à 17:38 (CEST)[répondre]
Alors comme demandé, voila des commentaires après lecture attentive :
  • La question des salaires (un dirigeant d'entreprise est considéré trop payé, et son salaire est réduit) est clairement non notable dans l'histoire des SIG. D'ailleurs, cette histoire, entre 1895 et 2006 est résumée dans l'article par "Les SIG sont créés le 4 juin 1895" — à comparer avec la place que prennent les discussions qui ont eu depuis 2007, c'est assez ridicule...
  • Le paragraphe est écrit en mettant en avant Eric Stauffer, et non pas les SIG ("ce sont des malversations qu'il y dénonce", "viendra confirmer ses propos); parfait format pour écrire dans son article, mais pas dans l'article des SIG.
  • Pour la question des malversations: je note que dans l'article de la Tribune de Genève d'octobre 2008, les SIG réfutent la dénonciation d'Eric Stauffer — il n'y a donc, dans cette source, que présentation d'avis opposés, qui n'ont pas été tranchés. Par contre, la présentation qui en est faite dans le paragraphe ci-dessus ne présente que l'avis d'Eric Stauffer, et est donc, au mieux, complétement partiale. L'article du Temps (que j'ai lu en diagonale) n'apporte pas non plus de détails (en particulier: position des SIG ?) Je n'ai pas accès à l'article de la Tribune de novembre 2008, mais si l'article est du meme genre que celui d'octobre, ça n'en fait pas une source. Il faudrait savoir ce qu'il est advenu de cette affaire avec un peu plus de recul que l'article paru le jour même !
Voila... C'est bien si vous êtes motivé par cet article, mais il me semble que les priorités devraient aller à parler du fond (ce que fait l'entreprise, son historique, etc), plutôt que de controverses sur lesquelles (par définition !) les parties ne sont pas d'accord, et sur lesquelles on n'a pas encore de recul. Schutz (d) 7 avril 2009 à 10:22 (CEST)[répondre]

Notes et références[modifier le code]

  1. Philippe Bach, « Administrateur aux SIG, Éric Stauffer risque l'exclusion », Le Courrier, 5 septembre 2007
  2. Eric Stauffer, l'urticaire de la République, par Cynthia Gani et Sandra Moro, Le Temps, 5 novembre 2008
  3. Antoine Grosjean, « Nouvelle attaque d'Éric Stauffer contre les Services industriels », Tribune de Genève, 7 octobre 2008
  4. Eric Stauffer, l'urticaire de la République, par Cynthia Gani et Sandra Moro, Le Temps, 5 novembre 2008
  5. SIG: Une affaire à 74 millions ressortie du placard, par Marc Bretton, Tribune de Genève, 5 novembre 2008, p.24