Discussion:Sonneries réglementaires de l'armée française

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Pour une raison de style, j'ai supprimé les parties en gras. Si ce sont des vielles éditions Larousse (plus de 70 ans), scannez-les et importez-les sur commons. Donnez les liens sur le site de la Défense : On peut en trouver les partitions dans les anciennes éditions des encyclopédies Larousse. À noter que souvent il y a deux versions d'une même sonnerie, clairon pour l'infanterie, trompette pour la cavalerie. Des fichiers MP3 sont téléchargeables sur le site du ministère de la Défense.

En fait, tous les internautes ayant effectué leur service militaire ont gardé en mémoire les sonneries qui ponctuent la vie des casernements: réveil du matin, suivi du rassemblement et du lever des couleurs, soupes de midi et du soir, rassemblements et appels divers ( aux gradés, aux consignés, etc) jusqu'au couvre-feu du soir.

Il est bien évident que depuis la grande guerre l'on ne charge plus au son du tambour ou du clairon, comme il était d'usage lorsque les troupes en formation de combat devaient évoluer sur le champ de bataille, et qu'il n'y avait pas d'autre moyen de transmettre les ordres. Toutefois les anciens de 1914-18 ont conservé un souvenir ému de la sonnerie du cesser-le-feu du 11 novembre 1918. D'ailleurs le "clairon Sellier" devint un héros national, qui fut appelé durant des décennies à reprendre la même sonnerie lors de diverses cérémonies officielles à Verdun ou à l'Arc de triomphe de Paris.[1]

Voilà - Zil (d) 18 avril 2008 à 21:57 (CEST)[répondre]