Discussion:Soprano

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Madame Edita Gruberova n'est pas le soprano lyrique leger, elle est certainement soprano de colorature. Elle a chante Zerbinetta et Reine de la Nuit - les roles typiques pour soprano de colorature. Elle est l'une des rares cantatrices à donner les deux contre-sol dans le redoutable "Popoli di Tessaglia". Meme dans le article Edita Gruberova elle est appellee "soprano colorature". 77.253.89.62 (d) 24 février 2011 à 21:31 (CET)[répondre]

"le soprano wagnérien (fa2 - do5), principalement dans les opéras de Richard Wagner ;"[modifier le code]

Comment peut-on écrire de telle bêtises sans que personne chez Wiki ne réagisse ? Comme si 'soprano wagnérien' voulait en soi dire quelque chose, et comme si en plus donner des limites d'ambitus avait un sens ... Ah, la "normalisation", la "classification", la "catégorisation", quelles belles choses ... Pas totalement inutiles , parfois, mais en matière de chant lyrique d'une ineptie quasi totale ! --130.185.187.135 (discuter) 28 avril 2014 à 16:28 (CEST)[répondre]

Mais non, mais non, il ne faut pas s’emballer, les experts ès voix lyriques de Wikipédia sont hyper-compétents et incollables.
Par exemple Birgit Nilsson, exemple type de soprano « wagnérien », la preuve : elle fut l’une des plus grandes Turandot de son temps. Turandot, c’est bien de Wagner, hein ?... 🤣😂 Socrates2022 (discuter) 29 mai 2023 à 21:18 (CEST)[répondre]

Définition erronée du soprano Falcon "à l'aigu limité"[modifier le code]

Je suis dérangé par la définition du soprano Falcon comme étant un soprano limité dans l'aigu, "jusqu'au si 4". Un simple coup d'oeil aux partitions des rôles créés par Cornélie Falcon invalide cette affirmation. Rachel comporte plusieurs contre-uts et même un contre-ré, le rôle de Valentine abonde en contre-uts et en contre-uts dièses. Alors qu'on a coutume de définir le rôle de Marguerite des Huguenots comme un rôle de soprano léger et celui de Valentine comme un rôle de soprano sans aigus, les contre-notes de la seconde sont bien plus sollicitées que celles de la première au cours de l'opéra!

Falcon s'est d'ailleurs illustrée dans les rôles de soprano les plus exigeants du répertoire en son temps : Pamyra dans Le siège de Corinthe, la comtesse Adèle dans Le comte Ory, Mathilde dans Guillaume Tell, Donna Anna dans Don Giovanni...

Les témoignages de l'époque et les partitions laissent supposer chez Falcon des possibilités dans le grave et un bas-médium dense. Son contemporain Berlioz a évoqué à plusieurs reprises le caractère sombre de sa voix et la qualité de ses notes graves, peu communs chez un soprano. La comparaison avec le mezzo-soprano est éloquente en ce sens. Mais pour peu qu'on se donne la peine de chercher, l'affirmation de l'aigu limité vole en éclat! En ce sens, il me paraît nécessaire de modifier la définition du soprano Falcon dans l'article.

Pour les sceptiques, je renvoie à l'article bien référencé de Vincent Giroud, en ligne sur le net : « Cornélie Falcon : une interprète d’exception. » Ses recherches et son argumentation sont sans doute plus pertinentes que l'affirmation erronée actuellement consultable sur Wikipédia.