Discussion:Stefan Heym

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

Dans son livre « Nachruf », édité par « Fischer Taschenbuch Verlag GmbH » en juillet 1990, l'auteur indique être parti de Berlin par le métro, puis par le S-Bahn jusqu'à la gare de Köpernick qu'il pensait être moins surveillée que la gare centrale. Il voyagea ensuite en train jusqu'à Hirschberg. De là, il a continué avec un tramway « hors d'age » en direction de Breslau et a teminé à pied sur un chemin de montagne qui menait vers l'auberge de montagne « Spindlerbaude », à cheval sur la frontière, dont il savait que les toilettes se trouvaient sur le territoire Tchèque. Il dit avoir grimpé péniblement ce chemin avec des chaussures de ville qui n'étaient pas adaptées à la marche en montage, où il a rencontré la neige en fin de parcours. A la sortie de l'auberge il est monté dans l'autobus de Prague. Effectivement, ce bus était rempli de skieurs de retour d'excursion, mais sa propre excursion n'était évidemment pas de même nature. Détail intéressant : le chauffeur qui s'est rendu compte de la situation ne lui a pas fait payé le trajet. « Der Mann mustert ihn, dann scheint er sich seinen Reim gemacht zu haben auf die Erscheinung. Brauchst nichts zu zahlen, sagt er. Steig ein. »