Discussion:Sylviculture

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Bonjour, je ne veux pas intervenir directement en modifiant cette page mais je souhaite signaler que le CEMAGREF n'a pas fait une étude sur la biodiversité mais une méta-analyse (compilation et comparaison d'articles déjà publiés). L'article issu de ce travail n'est pas publié (peut-être le sera-t-il courant 2009 mais personne de le sait, c'est pour l'heure une spéculation). Il a été retoqué dans la revue à comité de lecture à laquelle il avait été soumis et les conclusion du CEMAGREF sont sujettes à une certaine contestation au sein de la communauté scientifique du fait de certaines fragilités dans la méthodologie adoptée par les auteurs. De ce fait, le contenu de l'étude n'est pas accessible ce qui nuit à la transparence du travail de recherche, ou considéré comme tel, qui en forme la base.

Il serait plus judicieux que l'auteur renonce momentanément à mentionner cette publication fantôme comme référence dans un article sur la sylviculture et attende sa publication officielle.


Sylvicole[modifier le code]

Une page d'Homonimie doit-elle être faite? Il y a une redirection sur Sylviculture pour Sylvicole. Le sylvicole représente une époque de l'évolution de l'homme en amérique du Nord se situant entre -400 av J.C. et 1534.

Ce serait à vérifier je crois...

utilisateur:Darkdragon

Effectivement, le Sylvicole correspond à une division de l'histoire pré-colombienne des amérindiens (au moins pour ceux de l'est du Canada). Le terme n'est cependant cité actuellement dans Wikipedia que dans l'histoire du Québec et pas dans l'histoire du Canada, alors que des provinces comme l'Ontario sont également concernées. Il y a également une discordance de dates entre l'article en français et l'article en anglais (en:History of Quebec). Il y aurait donc un petit travail de mise en cohérence à mener au préalable. Ensuite il serait bien sûr judicieux de transformer la page de redirection sur le mot sylvicole en page d'homonymie :
Channer 11 janvier 2006 à 05:40 (CET)[répondre]
En fait l'Est des États-Unis est également concerné (voir l'article en anglais en:Woodland period in southeastern North America) et justifierait finalement qu'un article spécifique en français soit créé, par exemple :Sylvicole (période historique précolombienne) avec liens de rattachement vers ou depuis Histoire du Canada, Histoire des États-Unis, Histoire du Québec, Amérindiens, etc. Channer 11 janvier 2006 à 09:28 (CET)[répondre]

Lien externe mort[modifier le code]

Bonjour,

Pendant plusieurs vérifications automatiques, et dans le cadre du projet correction des liens externes un lien était indisponible.

Merci de vérifier si il est bien indisponible et de le remplacer par une version archivée par Internet Archive si c'est le cas. Vous pouvez avoir plus d'informations sur la manière de faire ceci ici. Si le lien est disponible, merci de l'indiquer sur cette page, pour permettre l'amélioration du robot. Les erreurs rapportées sont :

Eskimbot 1 février 2006 à 01:50 (CET)[répondre]

Lien externe corrigé et rétabli.Channer 1 février 2006 à 05:01 (CET)[répondre]

Désaccord de pertinence[modifier le code]

Cet article retombe dans l'ornière dont j'aurais souhaité le sortir définitivement.
Mon désaccord porte principalement sur deux points :

  • 1°) la sylviculture ne se résume pas à l'organisation de la production de bois

La sylviculture, c'est l'art de cultiver la forêt, c'est-à-dire d'agir sur la végétation forestière pour l'amener de manière raisonnée vers un objectif déterminé.
Lorsqu'on coupe au bois de Vincennes, certains bouquets d'arbres vieillissants et que l'on en replante des jeunes, on fait de la sylviculture paysagère et urbaine. Lorsqu'on boise en pins les massifs dunaires d'Aquitaine ou de Mandchourie, on fait de la sylviculture de protection des sols. Lorsqu'au pied des falaises de la Grande Chartreuse on maintient des taillis denses capables de freiner les chutes de blocs, on fait de la sylviculture de protection contre les risques naturels. Lorsqu'à la Réunion on extrait les plantes exotiques envahissantes pour permettre la réinstallation d'un boisement en espèces indigènes, on fait de la sylviculture de conservation de la nature. Etc.
Bref, si la production de bois demeure le motif fondateur et majoritaire de la sylviculture, il est loin d'être le seul. Il faut ainsi exprimer cette diversité des motifs dans la définition même de la sylviculture et non pas considérer les motifs autres que la production de bois comme des effets accessoires.

  • 2°) la sylviculture ne se dissout pas dans des considérations conjoncturelles particulières de politique économique

Avant de commenter des phénomènes qui relèvent plus du marché du bois ou des stratégies forestières globales, il est nécessaire de préciser d'abord le contenu technique de la sylviculture, en faisant référence aux auteurs notamment allemands et français du XIXe siècle puis aux courants de réflexion de la fin du XXe siècle qui ont structuré les concepts sylvicoles et étudié les pratiques. Deux aspects majeurs sont en tout cas à considérer :

    • les méthodes sylvicoles qui se déclinent en notions de régime et de traitement (selon quels grands types de fonctionnement un peuplement forestier peut-il être conduit ?)
    • les opérations sylvicoles, coupes d'arbres ou travaux sur la végétation, qui sont les outils pratiques d'application d'une sylviculture et qui permettent d'infléchir la dynamique d'un boisement, ces opérations pouvant ensuite se décliner de manière plus détaillée en interventions élémentaires (préparation du sol, plantation, dégagement de la végétation concurrente, etc.)


En conclusion, n'essayons pas par des raccourcis étonnants de vouloir tout dire et finalement très peu. Il y a matière à developper plusieurs articles sur la foresterie, notamment sur la gestion forestière, sur les politiques forestières et sur le marché du bois. Les sujets sont bien sûr liés mais ils ne se confondent pas tous dans le mot « sylviculture ».
Channer 14 décembre 2006 à 19:47 (CET)[répondre]


Salut Channer, ce désaccord de pertinence est justifié. Nous sommes une nouvelle fois "victime" d'une vision étriquée de la sylviculture. Il faut dire que les écolos ont tellement enfoncé dans le crâne des gens que les forestiers sont des vilains qui ne pensent qu'à couper du bois pour engranger du fric qu'il nous est difficile de se faire entendre et de mettre en avant notre côté écologique. Sans oublier de reconnaître qu'il existe des pourris dans nos rangs comme partout.
Au sujet des méthodes et des travaux forestiers, contrairement à ce que l'on pourrait croire, la sylviculture fait appel à des définitions bien plus fines qu'il n'y parait. Il en est de même sur le terrain.
Cela dit, même si parmi les dernières modifs, certaines sont malheureuses, elles permettent de créer le débât et de progresser, ce qui n'est pas plus mal.

Siocnarf 14 décembre 2006 à 21:13 (CET)[répondre]


J'ai rétabli la phrase d'intro et supprimer le bandeau de désaccord de pertinence. Je pense que s'était cette phrase qui poser problème. --Lithium57 8 janvier 2007 à 01:55 (CET)[répondre]

Foresterie ≠ sylviculture[modifier le code]

Salut, les forestiers! En passant à travers les versions anglaise, française, allemande et bulgare, je remarque un problème chez vous. Faites-vous la différence entre sylviculture et foresterie? Le lien de redirection de 'foresterie' vers 'sylviculture' est à mon avis faux car il s'agit de deux choses différentes. Par conséquent il y a pleins d'autres liens faux avec les versions dans les autres langues. Faut-il discuter sur le sujet ou j'introduis directement les corrections telles que je les vois? --ForestDim 19 septembre 2007 à 22:34 (CEST)[répondre]

petits problèmes et grosses erreurs[modifier le code]

bonjour,

Je ne corrigerai pas tout. Il faut surtout revoir la définition des mots, réorganiser et arrêtez de dire n'importe quoi. Certaines choses sont discutables mais certaines sont des insultes aux forestiers.quelques exemples:


--Le régime est différents du traitement. Régime : expression utilisée pour distinguer les modes de renouvellement des peuplements forestiers. Traitement :le traitement sylvicole caractérise la nature et l'organisation des opérations sylvicoles dans une unité de gestion. Il conduit l'evolution de la structure du peuplement forestier. --Il existe 3 régimes :taillis, taillis sous futaie et futaie. Dans la futaie, il ya traitement en futaie régulière, traitement en futaie irrégulière (par bouquet, par parquet ou par pieds) et futaie jardinée par pieds. Dans le taillis, il y a taillis simple, par bouquets, par parquets, fureté. Dans TSF, il y a TSF (taillis avec reserve si TSF non entrenu)

--dans le chap. "Systèmes d'exploitation des arbres" : "on rase l'ensemble de la forêt ", ce serait plutot : coupe en une seule fois de la totalité des arbres du peuplement. Dans une forêt, il y a des unités de gestion dans lesquelles, on peut faire des coupes rases.L'exploitation mecanisée s'effectue aussi en eclaircie (pas qu'en coupe rase). La coupe de jardinage ne prélève pas que les "arbres matures" elle associe des operation d'amélioraion et de régénération. coupe d'ensemencement (tout est faux, et pire ça ne veut rien dire).La coupe d'ensemencement, c'est la première des coupes progressives, suivi par 0, une ou plus de coupe(s) secondaire(s) et enfin la définitive.

--méthode de régénération : les méthodes de régénération sont plus que nombreuses avec des variantes selon les essences, les stations...Régénération :opératin par laquelle un arbre ou un peuplement forestier, parvenu au stade de la récolte, est renouvelé. Et le reste est faux. exemple de méthode de régénération : plantation sous abri, par bandes successives,

--Les allemands faisait des plantations avant le XIXeme siecle...je ne corrige rien d'autres jusqu'à operations sylvicoles( non pas que ce soit exact puisque tout est au minimum mal formulé et au pire carrement faux)

--alors eclaircie :coupe selective reduisant le nombre de tiges (en faveur des arbres objectifs) et s'accompagnant generalement de produits marchands (sinon c'est un depressage). L4eclaircie permet de doser le melange des essences, de favoriser la biodiversité, de placer le peuplement dans les meilleurs conditions de vigueur et de stabilité et d'obtenir les produits de qualité recherchée. Une de plus en moins. quant à la phase de compression pfff. et on parle de baliveau en TSF ou en taillis, pas en FR, baliveau :tige de franc pied (issue de semis) ou, par extension, de brin de taillis, conservé lors d'une coupe de taillis ou de TSF, pour constituer une "reserve" .balivage :choix et designation des baliveaux à chaque passage en coupe dans un TSF ou un taillis. Le balivage ne conduit pas a la futaie. balivage intensif : choix et designation d'un grand nombre de baliveaux qui seront progressivement eclaircis et eduqués de manière à obtenir une futaie sur souches.


sources : Manuel d'aménagement forestier, ONF BAAR F, 2005 précis de sylviculture, LANIER, ENGREF

91.207.176.198 (d) 11 août 2011 à 19:23 (CEST)[répondre]