Discussion:Terre et Peuple

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Je propose de supprimer cette page, l'extrême droite n'est pas acceptable. Sa propagande sur Wikipédia ne doit pas être assurée. Qu'en pensez vous?

Que WP n'est pas fait pour juger d'une idéologie, mais de recenser des savoirs. Par contre, le prosélytisme n'est pas acceptable sur Wikipédia. Maloq causer 7 août 2007 à 15:33 (CEST)[répondre]
Que par ailleurs on voit mal pourquoi il faudrait se censurer sur l'extrême droite et pas sur l'extrême gauche, ou l'islamisme, ou n'importe quoi ouvrant à débat. Autant fermer le site. Par ailleurs, il me paraît abusif et hâtif de qualifier terre et peuple d'association d'extrême droite.erig

Le nom de Ryssen apparaissait lors de recherche sur Terre et Peuple. J'ai enfin trouvé l'éxplication. En fait, il s'agit de compte-rendus de lectures de livres de Ryssen : Les espérances planétariennes dans le n°26 et Ciné sans frontières dans le 51. Donc Ryssen n'a semble-t-il pas écrit dans cette revue. J'ai donc enlevé son nom dans la liste des collaborateurs. --Olivier Tanguy (discuter) 22 avril 2019 à 17:03 (CEST)[répondre]

Affiliation Terre et Peuple/Nouvelle Droite[modifier le code]

L’article présente parmi les fondateurs de Terre et Peuple une certain Christophe Bordon, issu soi-disant de la Nouvelle Droite. Pourtant l’article de Reflexes, le présente comme un simple militant du Front National, et du Renouveau Etudiant, mais nullement comme issu de la mouvance précitée. Par ailleurs ranger Terre et Peuple dans la catégorie Nouvelle Droite est problématique, puisque cela ne tient pas compte des divergences idéologiques importantes entre les deux groupes sur des sujets essentiels. En effet Alain de Benoist est opposé à la pensée racialiste identitaire de Pierre Vial : « La revendication identitaire devient un prétexte pour légitimer l’ignorance, la mise à l’écart ou la suppression des autres. Elle est ce qui permet de conjurer, dans une perspective obsidionale, la peur suscitée par la différence des autres. […] Dans une telle optique, la distinction entre « nous » et « les autres », qui est à la base de toute identité collective, est posée en termes d’inégalité ou d’hostilité de principe. Les identités sont figées dans un idéaltype intemporel, interdisant désormais tout échange au lieu d’en être l’instrument. […] Les races et les peuples sont traités en quasi-espèces distinctes, qui ne possèdent plus rien en commun. Défendre son identité, ce serait nécessairement ignorer ou mépriser les autres : un Européen, par exemple, trahirait son identité en aimant la poésie arabe, le théâtre japonais ou la musique africaine ! » (Nous et les autres. Problématiques de l’identité, Paris, Krisis, 2006, p. 109). Alain de Benoist est également islamophile et non opposé à la présence de l’immigration sur le territoire français, et a même défendu le voile islamique, ce n’est absolument pas le cas de Pierre Vial, et a probablement expliqué son départ dans les années 80. Alain de Benoist nie même explicitement le facteur ethnique mis en avant par la mouvance Terre et Peuple comme racine des problèmes, au profit du facteur économique d’inspiration marxiste : « Il faudrait (…) que [la mouvance identitaire] cesse de confondre l’appartenance avec la vérité, et qu’elle cesse d’attribuer aux facteurs ethniques le rôle que Karl Marx attribuait aux facteurs économiques. Il faudrait surtout qu’elle repense à nouveaux frais la notion même d’identité, en consentant à admettre que l’identité n’est pas une essence éternelle, qui permettrait à ceux qui en sont porteurs de ne jamais changer, mais une substance narrative qui nous permet de rester nous-mêmes en changeant tout le temps. » (Entretien « Terre et Peuple »).