Discussion:Trouble obsessionnel compulsif

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Je viens de rédiger la première version de névrose obsessionnelle ; j'ai choisi un article séparé pour deux raisons :

  • pour l'article psycha, vers lequel il y aura des renvois, et qui renvoie vers des notions de psycha dont certaines techniques - bien que je n'ai pas traité la cure des la névrose obsessionnelle.
  • pour cet article, car cela semble intéressant d'avoir un article psychiatrie qui pourra développer un aspect historique dans le TOC, un aspect sémiologique propre à la psuychiatrie, et renvoyer à des traitement variés.

Donc, à mon aivs, mieux vaut ne pas fusionner les articles. Buddho 24 octobre 2005 à 18:42 (CEST)[répondre]

TOC photographique ?[modifier le code]

Bonjour, le fait de prendre systématiquement la même pose sur une photo, par exemple en montrant du doigt une personne se situant à coté de soi sur la photo, en penchant la tête d'une certaine manière ou bien en faisant un autre geste ou grimace, ceci de manière bien précise et répétitive peut-il être considéré comme un trouble obsessionnel compulsif ?

Je prendrai ceci comme exemple: http://www.lepiredunet.fr/videos/1432/toujours-la-meme-pose-photo.html C'en est inquiétant, s'agit-il d'une pathologie ?

Merci Cordialement
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par Aurelienbis (discuter), le 1 septembre 2011 à 00:13 CET

Un peu faut[modifier le code]

A mon avis, cet article est un peu faut et peut même pérturber les obsessionnels-compuslifs que le lisent. Un des grands peurs des suffreurs de T.O.C. c'est de devenir psychotiques. Ce n'est pas bien de donc décrire la maladie comme ça. Dans tout cas, je pense que la perspective psychanaliste est trop présente ici , et le vrai problème relié au suffreurs de TOC n'est pas très bien exploité. J'aimerais que vous lisiez l'article sur T.O.C. en anglais et remarquez-en les différences. Par example, les troubles purements obsessionnels ne sont même pas exploités dans cet article en français. De même, n'oublions pas qu'il y aura certainement beaucoup de suffreurs de TOC que veindront lire cet article , puis que ça c'est très typique aussi chez les TOC de voulois savoir plus sur la maladie. Il faut donc faire attention a ne pas faire pire pour leurs souffrances qui sont déjà énormes.

Merci

La maladie[modifier le code]

Je suis atteint de T.O.C. (non diagnostié officiellement) et j'ai lu l'article. Il n'y a rien qui m'a effrayé. Par contre d'associé des idées telles que l'amour et la haine avec la maladie devrait être conditionnelle, car chaque personne est différente, mais il est certain qu'il y a refoulement. Les causes réelles des T.O.C. demeurent encore nébuleuses. Je crois parfois que c'est la confiance en soi qui est en doute. Chacun doit avoir des raisons différentes, sûrement qu'il y a des points qui concordent chez tous ces gens, mais je ne crois pas que l'on peut dire officiellement qu'elle en est la cause (ou ce qui se passe à l'intérieur des gens) sans avoir pris connaissance de chaque cas.

Je le pense aussi ! (+1) Il faut rassembler les TOC entre eux pour qu'ils puissent discuter de ce qui les rapproche et de ce qui les différencie, afin qu'eux même puissent mieux se définir. Il faut leur proposer une définition, et à eux de voir ce qu'ils en pensent.
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par un utilisateur sous l’IP 78.125.115.10 (discuter), le 12 mai 2011 à 07:13 CET.

Psychanalyse et TOC[modifier le code]

Je n'y connais pas grand chose dans ce domaine, mais je suis choqué par :

  • 1) cette explication vaseuse sur l'amour et la haine dans le premier paragraphe
  • 2) La cure psychanalytique est tout à fait indiquée lorsqu'elle est menée par un psychanalyste reconnu; elle vise à appréhender les conflits psychiques sous-jacents et actualisés dans le transfert.  : c'est indiqué par qui? Ça manque de sources. En tout cas, c'est sujet à caution.

Mon impression, c'est que l'article a été écrit par quelqu'un qui vit encore dans le XIXe siècle. Il faut à tout prix sourcer ces points de vue, et les balancer avec des interprétations scientifiques modernes sur cette maladie et ses traitements. Arnaudus 27 septembre 2006 à 17:30 (CEST)[répondre]

Je souscris totalement à ce point de vue. Le passage psychanalytico-vaseux est à supprimer, il est totalement incompréhensible et dénué de tout fondement... Ca serait bien si les parties 'biological explanations' et 'treatement' de l'article en anglais pouvaient être reproduits ici par exemple. Cet article a besoin d'un sérieux coup de balai...

Mais il faut de même mentionner que pour l'approche psychopathologique digne de ce nom, il y a une distinction entre des symptômes obsessionnels selon qu'ils relèvent d'un rituel névrotique, d'une stéréotypie psychotique ou d'un agrippement borderline. La démarcation n'est donc par entre "psychanalystes" et "psychiatrie" mais entre professionnels qui se servent de leur sens clinique et de leur capacité d'analyse des signes relevés pour en en faire une entité psychopathologique qui tienne ! De ce point de vue, au risque de décevoir certains, on ne photographie pas un TOC ou une phobie comme un paysage de mer ! Un symptôme demande à être analysé - pas pris au pied de la lettre - pour être distingué puis soigné ! Donner un antidépresseur à un psychotique parce qu'il présente quelques conduites de lavages n'est pas précisément ce qui relève d'une bonne psychiatrie. (Chestov)

Modifications[modifier le code]

J'ai rejeté les représentations cinématographiques et littéraires à la fin. Le paragraphe sur la parenté supposée (mais non vérifiée...) entre la névrose freudienne et le toc a rejoint l'article sur la névrose obsessionnelle où il me semble plus à sa place...

Troubles sans rituels?[modifier le code]

J'ai 24 ans et pense avoir été sujet aux troubles T.O.C depuis l'adolescence. Mon cas a été dianostiqué à l'age de 21 ans. On m'a parlé de troubles obsessionnels de la " forme idéative", ce qui semble être, mais je me trompe peut-être, les " compulsions cachées " que vous décrivez. C'est un cas de troubles que certains psychiatres ( quelques-un des spécialistes que j'ai consulté ) ont qualifié de "plus facile à traiter", et d'autres, au contraire, "plus difficile" car dénué de rituels visibles. Cela se caractérise par une pensée " en boucle": phrases absurdes et comprises comme étant de l'ordre de l'absurde, parfois oui, "blasphématoires" dans le sens large du mot, ( je ne donnerai pas d'exemples, car ils sont aussi grotesques que douloureux), suivies de "phrases d'apaisement", d'une "lutte" contre ses pensées, puis un retour irrémédiable aux pensées en question. Cela peut durer plus de cinq par jour ( au plus fort de la crise ). En un sens, les rituels sont mentaux ( invocations, phrases de lutte ). Une autre partie de la conscience ( on peut parler de mise en abime ) semble à ce titre observer ce petit jeu... et désespérer de ne pas s'en sortir. C'est, en quelque sorte, un enlisement "phénoménologique" ( je ne sais pas si le mot est réellement adapté ici ) perpétuel. Dans mon cas, pas de rituels visibles ( pas de vérification, pas d'ordre excessif ou de désordre excessif, pas de rituels numérologiques ), pas de traumatismes notables; au contraire, une vie désespérément normale ( études bien menées, vie sociale riche, activités artistiques importantes - écriture, lecture, musique, peinture -) . On m'a parlé d'une depression larvée, causée en partie par la prise régulière de cortizone ( ! ) ( j'ai été victime d'eczema atopiques durant l'adolescence ). Ces troubles-là se caractérisent uniquement par une lutte au quotidien, secrète, une sorte "d'odyssée mentale" sans perspective de retour. On m'a conseillé le livre du D. Sauteraud, mais je ne me suis pas entièrement reconnu dans les descriptions ( et les solutions ) proposées. Je pense que l'enjeu ( si on peut parler d'enjeux pour ce "jeu" sans autres buts qu'une liberté hypothétique, celle de "penser correctement" )est de laisser passer les pensées ( dans le sens où elles ne doivent plus mettre en mal la sensibilité ), de ne pas leur donner cette charge angoissante ( elles peuvent être aussi abbérantes que malsaines ), bref, désacraliser leur portée. Aujourd'hui les crises se sont espacées ( les troubles ne disparaissent jamais, mais ils sont dans un état que je qualifierai de "larvaire", et reviennent lorsque je suis sujet à un état d'émotivité intense - tristesse ou joie excessive- ), et cela même après l'arret progressif de la prise de d'antidepresseurs ( la dose prescrite étant beaucoup trop elevée). Ce témoignage ce voudrait informatif, dans le sens où ce phénomène de "trouble de pensée idéative" me semble décrit de manière relativement fragmentée dans les différents ouvrages sur la question ( ouvrages enchainant assez régulièrement sur les rituels visibles ).
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par un utilisateur sous l’IP 147.210.201.7 (discuter), le 7 février 2008 à 13:11 CET.

Post-scriptum : à l'adresse des apprentis cliniciens, ce n'est pas ici la description d'un état psychotique ( même si je parle de crises ). Les pensées sont de moi et réalisées comme étant de mon ressort, et les T.O.C. ayant été dianostiqués par plusieurs spécialistes.
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par un utilisateur sous l’IP 147.210.201.7 (discuter), le 7 février 2008 à 13:17 CET.
Il est écrit dans l'article : "La cure psychanalytique n'a pas réussi à prouver son efficacité dans le traitement de cette pathologie". Cette assertion n'est pas sourcée et fait état d'une prise de position idéologique sur la question.

Je considère donc que l'article sur les TOC est incomplet et partial. --90.2.157.166 (d) 14 avril 2009 à 22:23 (CEST)[répondre]

Introduction : névrose obsessionnelle et TOC[modifier le code]

Je souscris aux remarques de 193.49.30.34 (cf Modifications, supra.) : le W:résumé introductif tel que rétabli par Léon66 ne correspond pas aux recommandations de Wikipedia. En effet, j'avais préalablement fait un effort pour replacer la comparaison avec la névrose obsessionnelle en fin de cette section introductive car il s'agit essentiellement d'un aspect historique et qui n'est pas central dans la définition contemporaine du TOC. On peut s'en convaincre en lisant les articles des autres wikipedia. De façon générale, il n'est pas recommandé d'utiliser un Modèle:loupe dès les premières phrases du résumé introductif. Je propose donc une réversion. Qu'en pensent les autres contributeurs ? knd (d) 3 février 2010 à 19:02 (CET)[répondre]

Je préfére également ta version. À la rigueur, on peut utiliser un modèle comme {{autre}}, ce qui donnerait :
GL (d) 3 février 2010 à 19:21 (CET)[répondre]


Bonjour, Je veux bien discuter mais pas avec GL qui n'y connaît rien (la différence entre un psychanalyste et un philosophe c'est qu'un psychanalyste voit des patients; lui !)!

Il est un fait indéniable qui doit apparaître dans l'introduction sous une forme ou une autre c'est que le terme dérive de celui de névrose obsessionnelle qu'a érigé Freud en 1894. Je lis: Névrose obsessionnelle ("zwangsneurose" en allemand et "névrose de contrainte" selon les récentes traductions de Laplanche) est une classe de névrose dégagée par Freud et constituant un des cadres majeurs de la clinique psychanalytique [1]. C'est l'alliance des pharmas, d'un ancien reichien [(Robert Spitzer]] et des behavioristes qui a fait que le terme névrose a été abandonné pour celui de TOC [2]. Ca a été fait pour éradiquer tout concept psychanalytique des classifications, pour acoller des médicaments aux troubles dans la logique: tel trouble tel médicament (et accessoirement 10 séances d'apprentissage à ne pas se laver les mains qu'on appelle psychothérapie (sic)!). Il est donc historiquement indéniable qu'on ne peut pas ouvrir l'article sans ce fait, quelque soient les conclusions et partis pris. Quand à la solution qui consiste à coller la névrose obsessionnelle dans la partie historique, je la refuse parce bien qu'en déplaise à quelques personnes, il y a - encore - des psychanalystes qui traitent des patients obsessionnels, écrivent des articles et des livres sur cette question sans se référer au charabia commercialo-éducatif des DSM et varias CIM, pour ce dernier d'ailleurs, dont on a pu apprécier la perspicacité en matière de pandémie et de vaccins. Léon66 (d) 5 février 2010 à 12:05 (CET)[répondre]

Merci pour ce commentaire, Leon66. Je comprends votre position mais je crains que ce problème ne se pose pour de nombreux articles liés à des pathologies du DSM. Il me semble mal venu de relancer la polémique DSM/psychanalyse (pour la résumer ainsi) sur chacun de ces articles. Il est certes important de mentionner dans le corps de l'article l'origine psychanalytique (et autres, cf Pinel ou Janet) mais l'introduction de l'article TOC doit être faite pour celui qui veut s'informer spécifiquement sur cette notion-là qui, quoi qu'on en pense, appartient au système du DSM. C'est ce que j'espérais avoir fait dans la version que vous avez remplacée et que j'espérais assez neutre. En outre, je pense que la proposition de GL est aussi bonne : elle aiderait à détromper les lecteurs qui chercheraient effectivement un article sur l'approche psychanalytique mais alors c'est celui justement intitulé névrose obsessionnelle qui est pertinent et qui doit développer l'état de l'art en dans le champs psychanalytique sur cette question. Ceci étant, je vous propose d'ajouter une section dans l'article TOC sur les critiques formulées par les autres approches (dont psychanalytique) contre cette notion. Qu'en pensez-vous ? knd (d) 8 février 2010 à 00:49 (CET)[répondre]
Que des psychanalystes hélas traitent des patients atteints de TOC n'implique pas qu'il comprennent et éclairent l'origine de ces troubles. Une référence à la psychanalyse peut être faite dans un paragraphe historique mais non en introduction où il s'agit de définir les TOC.--Cerhab (d) 8 février 2010 à 16:30 (CET)[répondre]
Tandis que certains neurologues qui croient - et essaient de faire croire - avoir tout compris proposent encore des sortes de lobotomie pour ce qu'il croient être des TOC, c'est pas choquant ça ? (Retournez à vos noyaux caudés et lisez Nacache pour constater que la prétention et l'arrogance ostentatoire n'est pas la seule attitude possiblément adoptable parmi les "neuro... quelque chose !) Léon66 (d) 12 février 2010 à 12:29 (CET)[répondre]
Hormis la couverture, avez-vous lu la partie consacrée aux phénomènes d'amorçage qui conduit à la définition d'un "inconscient" cognitif (qu'il faut éviter e substantialiser) puis à la critique de l'inconcient freudien? Vraisemblablement pas! Il me semble au contraire que ce sont surtout les psychanalystes qui prétendent avoir tout compris, assertion qui leur permet de rester sourds aux progrès scientifiques: la lobotomie n'est pas où l'on croit! --Cerhab (d) 12 février 2010 à 15:25 (CET)[répondre]

Notes[modifier le code]

  1. Jean Laplanche, Jean-Bertrand Pontalis : Vocabulaire de la psychanalyse, Ed.: Presses Universitaires de France, 2007, Coll.: Quadrige Dicos Poche, (ISBN 2130560504)
  2. Christopher Lane : Comment la psychiatrie et l'industrie pharmaceutique ont médicalisé nos émotions, Ed.: Flammarion lettres, 2009, Coll.: La bibliothèque des savoirs, (ISBN 2081212331)

neutralité[modifier le code]

Il est extraordinaire de lire l'assertion : "la psychanalyse n'a pas prouvé son efficacité", qui ne repose sur rien. Les outils dits d'"évaluation" écartent l'approche analytique par leur nature même. La réalité clinique montre au contraire que nombre de patients ont été traités de façon très efficace par la psychanalyse, grille d'évaluation ou pas, et c'est quand même bien ça qui importe, non ?!
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par un utilisateur sous l’IP 213.56.124.27 (discuter), le 18 octobre 2011 à 16:42 CET.

Il est extraordinaire de lire un texte comme le précédent. Nous vivons en 2012, et la Psychanalyse a eu tout le temps de prouver qu'elle a fait tant de mal a tant de malades.
Laissée errer des patients dans des états suicidaires.
On sait très bien aujourd’hui que ce traitement n'est absolument pas adapté, aux personnes bipolaires et ceux depuis de nombreuses années.
Pourtant personne n'a hésité a l'utiliser.
Je n'ai pas de statistiques mais j'en ai personnellement fait les frais.

Laissez-moi rire à propos de "vôtre réalité Clinique" Mr,
çà prouve quoi vôtre histoire, Paroles, Paroles..............

Alors là, OUI, Les spécialistes du langage, et qui de plus n'ont rien à vous dire, Tellement ils semblent s'ennuyer en vôtre présence.
De véritable dévoreurs de cervelles.
Il n'y a qu'une solution, je pense qu'ils ont d'excellents salaires.

Comment espérer retrouver à travers type d'exercice un peu d'Humanité?
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par un utilisateur sous l’IP 82.67.110.26 (discuter), le 3 février 2012 à 03:22 CET.